Chapitre 2

24 3 0
                                    

*Hauts Parleurs* : Mlle Moore est attendu dans le bureau du directeur dans 5 minutes.
A ces mots je me depecha d'enfiler mon uniforme (que je ne mettais jamais) et me dirigea rapidement vers le bureau.

Je frappa et une voix roque me fit entendre que je devais entrer je poussa doucement la porte.

Directeur : bonjour Mlle Moore. [nda : elle ne doit répondre que lorsqu'il l'autorise] nous devons parler sérieusement de votre cas. Vous aurez 18 ans dans 3 jours, après cette date l'orphelinat ne pourra plus vous accueillir, vous devrez partir.

Grace : mais je n'est nul part où aller !! Il frappa sur la table brusquement ce qui me fit sursauter.

Directeur : je ne vous ai pas autorisé à parler. Ce qu'il adviendra de vous après vos 18 ans n'est pas mon problème. J'ai quelque chose à vous donner avant que vous sortiez.

Il me donna un lettre qui était a mon nom. Je me posais pleins de questions sur le contenu, je voulais sortir au plus vite pour briser ce suspens.

Directeur : vous pouvez retourner dans votre chambre.

Je sortis rapidement et marchais dans les couloirs en direction de ma chambre, la lettre dans ma main me faisait peur, elle me faisait une sensation étrange, comme si elle me brulait la main. Cela devait venir de ma peur de se que j'allais découvrir.

Au moment d'ouvrir la lettre, la sonnerie annonçant le repas retentit et me fit tressaillir. Si j'étais en retard au diné, j'allais être gravement punis, je déposa la lettre sur mon lit et fonça en direction du réfectoire.

Je tremblais encore, j'arriva devant la salle le coeur battant. Ce repas fut le plus long de ma vie, avant de commencer, le directeur nous faisait toujours la même sérénade : tout un discours sur la chance que l'ont avait d'être ici. Même si je n'étais pas du même avis.

Je mangea rapidement et demanda a retourner dans ma chambre car je ne me sentais pas bien, c'était la seule excuse que j'avais trouvé.

Je courrus dans les escaliers, en trébuchant quelques fois mais me relevant aussitôt et je poussa enfin la porte de ma chambre. La lettre était sur mon lit, je l'attrapa et la déchira, je lu la premier ligne et mon coeur ratta un mouvement.

Run To SurviveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant