Fall in love (TBS)

chapitre 28:on peut plus rien faire pour lui

Thomas

Pourquoi j'ai fait ça !? Non pourquoi il a fallu que j'ai cette idée de merde, pourquoi il a fallut que se soit sa mère !? 

Je viens tout juste d'arrivé dans la chambre 250, Maëlys à la tête poser sur le lit, en pleure. Mais ce que j'ai remarqué c'est cette femme dont il y a quelques heures j'ai ordonné la mort, je veux revenir en arrière, ne pas le faire, et ne pas faire souffrir l'amour de ma vie. Je ne suis pas un criminel, je ne voulais pas la tuer, j'étais seulement plein de rancune. Je m'approche, ne voulant pas être de trop. Elle remarque finalement ma présence et me fait un léger sourire, je n'arrive même plus à la regarder dans les yeux, j'espère qu'elle ne saura jamais. Si elle l'apprend je suis mort pour de bon, je serais seul.

-je...je suis désolé, et me voilà déjà en pleure je veux aider sa mère plus que tout putain, comment un homme peut m'avoir vendu une arme aussi facilement ? enfin je suis con je l'ai demandé tout seul, il n'a fait que me vendre une arme après m'avoir mis en garde.

-ce n'est pas de te faute... oh que si maelys. S'il y te plaît... ne pleure pas thomas... j'ai besoin que tu sois là pour moi...

-je n'aime pas te voir comme ça mon cœur... Qu'est ce qui c'est passé ? je hausse les sourcils en essayant de montrer une quelconque incompréhension,  si seulement c'était le cas.

-je... quelqu'un a tenté de tuer ma mère dans le parking... ils ne savent pas si elle se réveillera... je te jure si je retrouve celui qui a fait ça... je le tue, je veux tellement qu'il souffre... Et me voilà dans la merde, elle vient de me dire clairement que si elle savait que c'était moi, elle me tuerait. Je suis dans une merde pas possible, heureusement pour moi mon fournisseur avait tout préparer je savais au moins que j'avais peu de chance de me retrouver en taule. Il m'avait repris l'arme et l'avait détruite ou je ne sais quoi. Il faut que je me sorte de cette situation...

On toqua à la porte et deux policiers entrent dans la chambre, mon rythme cardiaque s'accéléra, et si ils étaient déjà là pour moi ? 

-entrez, dit Maëlys en reniflant.

-Bonjour mademoiselle Jones, nous avons de nouvelles informations concernant l'enquête. Et bonjour jeune homme. Comment ont-ils pu avoir de nouvelles informations ? Nous avions été discret en en seulement une journée ils savent déjà beaucoup trop de choses.bonjour nous somme de la police, nous avons de nouvelles informations.

-oh, ah bon ? s'étonne Maëlys en relevant la tête soudainement.

-oui, plusieurs caméras ont été casser mais une d'entre elles a été oublier elle est en cours de visionnage, putain de caméra, nous avons aussi prit connaissance de l'arme du crime.  C'est un pistolet acheter sur internet, nous retrouverons bientôt le ou les coupables ne vous inquiétez pas.

-merci beaucoup

-c'est notre boulot, sur ce, bonne journée mademoiselle et bonne journée monsieur.

Je suis dans la merde jusqu'au cou, ils savent bientôt toute la vérité, ce putain de fournisseur à oser me dire que je n'aurais aucun problème. J'ai payé le double pour tout ça. Mais ce que je me demande aussi c'est est ce que la mère de May me reconnaitra une fois réveiller, elle ma sans doute vu. Après avoir été touché elle c'est retourné et c'est ensuite effondré. Elle a peut être eu le temps de nous voir, l'homme et moi. En attendant je me lève chercher un café et du chocolat pour Maëlys.

Maëlys

Thomas vient de partir chercher à manger, je ne sais pas quoi je n'ai pas eu la force d'écouter, Heureusement il est aux petits soins. Je pense, je pense trop. Et si ma mère n'avait pas survécu, si elle ne survit pas, si je dois un choisir de la débrancher comme cette femme dont elle m'avait raconter l'histoire ? Thomas est vraiment dans tous ses états, il éclate en sanglot par moment, puis est perdu dans ses pensées, tellement perdu qu'il peine à m'entendre. On dirait que voir ma mère dans ce lit lui fait encore plus mal que moi, c'est sûrement dû à son passer. Je ne fais que penser et lui pleurer, on se complète assez bien finalement.

Quand les policiers parlaient j'étais folle de rage, comment un enfoiré à pu faire ça, de sang froid. Une simple infirmière qui a choisi comme vocation de sauver des vies. Thomas, lui, avait les yeux écarquillé tout le long du récit des policiers, de la terreur se dégageait de son visage, il était terrifié, mais pas surpris par ce qu'on lui disait comme si il savait déjà tout.

Mais je suis fatiguée, je commence à m'imaginer des choses qui n'ont aucun sens.