Je t'aime, mais je te déteste (Percabeth AU)

Chapitre 12

IMPORTANT : A LIRE ABSOLUMENT

Hey ça fait hyper longtemps que j'ai pas posté non ? J'ai énormément de devoirs et d'évaluations donc j'ai pas le temps de publiés. Vous aimez bien mes nouvelles couvertures ? J'ai aussi dit que je vais faire une réécriture de "la rencontre" qui s'appelle maintenant "Une rencontre qui peut tout changé". J'ai la fin de l'histoire mais pas le milieu c'est un peu embêtant. Donc je vous préviens il y a aura 23 chapitres dans cette histoire et un épilogue qui est juste, magnifique. Voilà j'en dis pas plus parce que je veux pas spoiler et laisser du suspens.

La journée se passa lentement, trop lentement au gout de Percy. Il voulait aller parler à Annabeth, mais celle-ci semblait accompagner d'une personne. Pas moyen de lui parler en privé. C'était comme si elle l'évitait. Enfin non, elle l'évitait. Percy voulait lui parler rapidement car si il n'arrangeais pas ça maintenant, ils n'allaient plus jamais avoir l'occasion d'en reparler sachant qu'ils partaient le lendemain.

A la fin de la journée, le moment arriva. Conformément à leurs habitudes parisiennes, Percy et Annabeth sortirent de l'hôtel afin d'observer une dernière fois la tour Eiffel. Au début, personne ne dit un mot, ils se contentaient de marcher en silence. Puis au fur et à mesure qu'ils avançaient sur les Champs Elysées, la discussion revint petit à petit grâce à une remarque bête de Percy sur une certaine voiture jaune. Certes, ils étaient gênés mais ils faisaient leur possible pour que l'autre ne s'en rende pas compte.

Ils se dirigèrent alors vers le Grand Palais. Les lumières des lampadaires se reflétaient sur le grand monument, créant des gigantesques ombres sur les façades. Ils s'arrêtèrent quelques minutes afin de laisser le temps à Annabeth de commenter chaque pierres de l'édifice. Et oui, Annabeth avait beau être une agent secrète ça ne l'empêchait pas d'espérer pouvoir un jour construire de magnifique bâtiment. Percy la taquinait toujours à ce sujet, au fait qu'elle aurait dû devenir architecte plutôt que de risquer sa vie dans des missions périlleuses. Mais ce jour-là il se tût. Allez savoir pourquoi, il ne releva pas.

Ils se remirent en marche, puis éclatèrent de rire face à une nouvelle blague débile de Percy. Ils allaient là où leurs pas les menaient ce qui faisaient qu'ils ne se rendirent même pas compte qu'ils étaient arrivés sur le pont Alexandre III. Ils contemplèrent une nouvelle fois les lumières des lampadaires se refléter sur les façades des immeubles haussmanniens. La tour Eiffel brillait de mille feux, brillante comme un phare dans la nuit. La Seine reflétait cette lumière dans ses remous, rajoutant un certain charme au lieu. Le soleil venait à peine de se coucher et les étoiles brillaient déjà comme des diamants.

Ils continuèrent à marcher le long des grilles jusqu'au banc où une vieille femme avec deux petits chiens couchés était assise. Les chiens se relevèrent à l'approche des deux jeunes gens et ils se dirigèrent vers eux pour leurs renifler leurs chaussures. Annabeth ne put s'empêcher de les caresser. C'est comme ça qu'ils commencèrent petit à petit à parler à la vieille dame. Ils discutèrent environ dix minutes, et la parole qu'ils redoutaient d'entendre arriva plus vite que prévu.

-Vous savez que vous êtes un très beau couple ?

-Mais... Mais madame nous ne sommes pas ensemble ! s'écriât Annabeth, prise au dépourvus.

-C'est ce qu'ils disent tous... marmonna la vieille dame dans sa barbe. Vous savez il y a longtemps j'ai connu une jeune femme comme toi, avec un garçon comme toi et bien je suis sure qu'ils regrettent de ne pas avoir révéler leurs sentiments à la personne qu'ils aimaient. Vous êtes peut-être jeunes mais n'oubliez pas que la vie est courte alors il faut la vivre pleinement. Regarder où j'en suis. Je suis rongée par les remords à force de ne pas avoir fait ce dont j'avais envie. Comme me l'as dit un jour une vieille amie, vaut mieux vivre avec des remords plutôt qu'avec des regrets. dit-elle plus haut.