Chapitre 28: Elle veut partir?

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Point de vue de Dolorès:

Une semaine est passée depuis notre "entrevue" dans les loges, en tête à tête avec Colin. C'est aussi ce soir là qu'un producteur nous a repéré. Nous sommes actuellement dans son bureau afin de signer le contrat et de parler du disque que nous allons enregistrer ainsi que d'une éventuelle tourné.

Producteur: Vous avez été géniaux la semaine dernière, je veux absolument vous enregistrer. Etes-vous d'accord pour signer un contrat avec moi.

Adam: Carrément, c'est une opportunité géniale.

Doris: Bien sûr que je suis d'accord, c'est le rêve de tous musiciens la chance que vous nous offrez là.

Moi: C'est vrai que c'est une opportunité en or et elle ne se représentera pas tous les jours. Moi qui ai toujours voulu vivre de ma passion, je ne vais pas refuser. Et je suppose que, si nous sommes là, c'est parce que vous en avez parler avec Colin et que celui-ci à déjà donner son accord.

Colin: Tu me connais bien chaton.

Je ne me lasserais jamais de ce surnom. Il me tient la mains quand on nous interrompt.

Adam: Ho Colin! On est là je vous rappelle. Et au travail par la même occasion.

Colin et moi nous reprenons, mais il ne lâche pas ma mains pour autant. Le producteur nous regarde. Il a les coudes posés sur le bureau, les mains jointes et le menton posé sur celles-ci. Il nous souri.

Producteur: Je n'ai rien contre le fait que vous soyez en couple, loin de là, mais tâchez de vous tenir un minimum. Vous pouvez montrer votre affection aux fans, mais ne vous jetez pas l'un sur l'autre en plein concert. De plus, continuez votre duo, j'ai été charmé par votre complicité la semaine dernière, ça permet une parfaite entente.

Adam: C'est bien que ça pose pas de problème qu'ils soient en couple, ils sont toujours agglutinés l'un à l'autre.

Colin/Moi: Ta gueule Adam!

Producteur: Qu'est-ce que je disais? Une parfaite entente.

Une fois notre rendez-vous terminé, nous rentrons chacun chez nous. Enfin, presque. Adam ramène Doris chez elle. Colin et venu en voiture et moi en moto. Il a dormi chez lui la nuit dernière car j'avais besoin de réfléchir. Toujours à cette foutu date et ce putain de tatouage. Donc à part me regarder réfléchir dans mon bureau, il aurait pas fait grand chose. Colin n'est toujours pas au courant du fait que je compte repartir en Espagne. Je part pas pour toujours. La seule raison qui ferait que je ne revienne pas d'Espagne serait que...non, je préfère ne pas y penser. Il ne m'arrivera rien. Il n'est pas né celui qui arrivera à me buter.  

 J'arrive devant chez moi bien avant Colin, une moto est bien plus rapide que sa petite citadine. Et, étant donné que je n'ai plus mal aux côtes, je peu me permettre de faire de excentricités à moto. Bref, je profite de ce moment de moment pour essuyer les quelque larmes qui avaient commencées à se former au coin de mes yeux. Je fonce en direction du bar de ma cuisine afin de me remettre les idée en place. J'entend un bruit de moteur et regarde par la baie vitrée. C'est Colin qui vient d'arrivé. Je me regarde dans le miroir, je n'ai pas les yeux rouge, mais il faut que je souri, il va se faire des idée sinon. Je l'entend montés les escaliers, il arrive dans ma direction et, je suis toujours accoudée au bar. Il arrive dans mon dos et m'enlace ma taille.

Moi: Tu veux un truc à boire mi amor?

Colin: Non merci. Dis-moi, ça fais longtemps qu'on a pas dormi à deux dans ton lit; ça te dirait de venir avec moi vérifier les suspensions?

Je fais volte face et lui souri.

Moi: J'adore cette idée. Mais j'ai une condition.

Colin: Laquelle?

L'homme qui m'a transformé (Is it love Colin Tome 1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant