" 𝗝𝗲 𝘃𝗲𝘂𝘅 𝗿𝗲𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝗰𝗲𝗿 𝗮̀ 𝘇𝗲́𝗿𝗼, 𝗡𝗮𝗻𝗮.✍︎︎"
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Quatre années se sont écoulées depuis leurs ruptures. Un avait repris sa vie en main et était devenu le meilleur de lui-même, l'autre regrettait amèrement et n'avait plus qu'un...
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14.février 2012,Tokyo
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14 Février
Ce jour était enfin arrivé.
Sortie de son sommeil par son réveil, le noiraud se leva et partie se laver. Quand il eut fini, il mit simplement un jogging noir et un haut noir. Il regarda son téléphone en mangeant son tamago kake gohan*. Après avoir fini de manger, il débarrassa son bol, enfila son manteau, ses chaussures et partit de chez lui.
Sur sa route, il passa devant un fleuriste et décida d'y rentrer. Le noiraud voulait acheter des Sakura pour la noiraude, mais malheureusement, ce n'était pas encore la saison. Alors il se rabattit sur des camélias rouges et blanches.
Les camélias rouges évocateurs de l'amour et les blanches de l'attente.
Il l'aimait et il l'attendra le temps qu'il faudra pour obtenir son pardon.
Sortie du fleuriste, il se dépêcha d'aller acheter une boite de chocolat et de monter sur sa moto pour arriver devant la grande salle de sport. Devant cette dernière, des barrières y étaient disposées, 2 voitures teintées se tenaient aussi devant l'entrée. Une foule de personnes commença à s'accroître derrière les barrières.
Très vite, il se fit abordé par un agent de sécurité qui l'amena derrière la salle où se trouvait une deuxième entrée. À peine avoir posé à l'intérieur, il aperçut sa silhouette
Elle se tenait devant lui.
ses longs cheveux plaqués en un chignon bas bien travailler, ses lèvres rosées par la fine couche de baume à lèvre qu'elle avait appliquée pour les protéger, son petit nez retroussé ainsi que ses joues rosées par le blush qui la rendaient plus que mignonne à ses yeux.
-Tu as perdu ta langue ? commença-t-elle avec un petit rictus scotché à ses lèvres. Bon suis-moi.
Il acquiesça énergiquement et suivit la jeune Tabani. Ils se dirigèrent vers la salle principale où se trouvait les machines. Quand ils furent entrés, un homme et une femme les accueillirent chaleureusement.
- Monsieur Baji, je suis vraiment contente que vous ayez pu venir. Je m'excuse d'avance pour cette requête imprévue, mais notre mannequin est tombé malade et il nous fallait un remplaçant d'urgence, s'excusa sincèrement la femme.
