Un jour, à l'université deux mecs qui se ressemblaient sont venus me chercher. Je me demandais pourquoi jusqu'à ce que je tombe dans cette organisation criminelle, dont mon frère fait partie. Il fallait que je reste auprès d'eux,
pour ma soit disant...
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Je le regardais dubitative, d'un air perplexe avec les sourcils froncés. Et une énorme envie de rire aussi.
— pourquoi t'as des serviettes dans ta main ? Dis je en me retenant d'éclater de rire.
— Va mettre ca quelque part. Il me tend le paquet et me le donne brusquement dans les mains.
— ça répond pas à ma question.
— t'es une fille non ?
— femme. Le corigé-je.
— t'es un être humain doté d'un vagin ?
— oui.
— alors chaque mois y'a du sang qui coule de ton utérus ?
- oui, pourquoi tu me fais un cours de svt ? Je sais quand même que j'ai mes règles. Bientôt tu vas m'apporter un petit calendrier.
— Anya sincèrement la ferme. J'étais pas obligée de lever mon cul, contrairement à toi qui n'a rien fait.
— oh merci c'est mignon. Dis je en mimant quelqu'un qui voit un enfant.
— j'l'ai pas fait pour toi.
— bah si du coup.
— bon prends les.
Il commence à repartir et au moment de passer la porte, je marmonne quelques petits trucs.
— t'es vraiment un daron enfaite.
— t'as dit quoi ? Dit il en haussant un sourcil et se retenant, et de manière sèche aussi. Bon j'ai plus besoin de le préciser, il l'est toujours.
— que t'étais un ? daron ?
Il s'avance vers moi, me prend les bras et me regarde brusquement. C'est alors qu'il me fait pivoter et me colle brusquement contre le mur, ses mains au dessus de ma tête.
— faut sourire à la vie hein, comme elodie. Dis je en souriant.
— Mais qu'est tu me baragouine encore.
— chut.
— joues pas à ça avec moi. Grogne t il.
— t'insinue quoi ? Tu veux jouer au monopoly ? Au trivial poursuite ? Je suis imparable dans la catégorie.
Je n'ai pas le temps de finir ma phrase qu'il cogne un coup au dessus ce qui me fait sursauter.
— jsuis pas ton daron, ni ton frère et encore moins ton pote.
- aie, tu me blesse fortement. Dis je en faisant une moue triste.
Un deuxième coup, mais je fixe ses yeux.
— j'le fais parce que Mikey me la ordonné et pas parce que j'en ai envie.
- je suis vexée.
Un troisième coup, et je continue de regarder brusquement dans ses yeux, qui ne lâchent pas non plus.
