𝐸́𝑝𝑖𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒

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Sous les applaudissements de nos proches, je tiens la main de mon mari où nos alliances brillent. Tout ce beau monde me fait particulièrement sourire, surtout en ce jour si spécial.

On s'assoie tous à nos tables et ma main ne lâche pas de celle à qui j'ai dit oui quelques heures auparavant.

Le repas se passe dans la joie et la bonne humeur, comme celle que j'ai toujours connue. Je discutais avec ma meilleure amie lorsqu'on entend quelqu'un tapé avec son couvert dans sa coupe de champagne. Je tourna la tête vers le son qui attirait mon oreille et un sourire prit place sur mon visage.

Hugo : Bonsoir à tous ! Excusez-nous de tous vous dérangez dans vos occupations mais avec cette brochette de personnes, on voulait passer aux discours.

Kylian : Préparez les mouchoirs pour Léonie s'il vous plaît, dit-il en se penchant assez pour atteindre le micro du capitaine.

Théo : Lucas prépare ton épaule, dit-il en rigolant.

Je regarde l'homme à ma gauche en rigolant.

Théo : Bon je commence parce que je suis le plus important hein. Les gars se trouvant à ses côtés se mettent à se moquer de lui. Bah quoi ? De ce que je sache, vous êtes pas son frère ? Les gars se tuent. Merci bien. Alors que dire de vous ? C'était une évidence en quelque sorte, avec nos talents d'inspecteurs Gadget avec Antoine. Ils se tapent dans les mains, fiers de leur coup. J'ai juste à vous souhaiter tout le bonheur du monde, tout ce que vous méritez. Ce mariage marque votre amour. Et je suis bien heureux de le vivre avec vous. On applaudit tous le discours et il tend le micro à Antoine.

Antoine : À mon tour ! Pour revenir aux propos de mon confrère, un bonheur de vous avoir uni et de vivre ce moment avec vous. J'ai vu Lucas grandir et votre couple évoluer et c'est un bonheur de vous avoir de nos vies. Merci d'être les personnes que vous êtes. Je vous souhaite tout le bonheur du monde.

Hugo : J'aime pas les discours de base, mais en ce jour si spécial, je me sens obligé d'en faire un. Je pense qu'on peut tous dire ici merci à Didier d'avoir choisi Léonie comme photographie car on ne connaîtra pas la magnifique personne qu'est Léonie et surtout, on serait pas tous réunis ici pour célébrer leur amour. C'est un bonheur d'avoir vécu cette aventure avec vous, qui restera gravé à vie avec cette coupe. Je vous souhaite juste d'être heureux ensemble, plus que vous ne l'êtes déjà aujourd'hui.

Kylian : Alors alors. Merci de partager votre bonheur à nos côtés, c'est un plaisir de vous connaître. La Coupe du Monde, restera un moment important dans nos vies au niveau professionnel, mais aussi privé avec votre union mais d'avoir connu Léonie. Désolé je fais ma petite parenthèse. Je ris à sa phrase tout en ayant les larmes qui montent. Tu sais déjà ce que je pense de toi. Je te remercierai jamais assez, depuis ton premier jour à Clairefontaine. T'es la grande sœur que j'ai jamais mais que la vie m'a donnée. On a peut-être pas le même sang, mais je te comporte comme telle. Merci de nous intégrer dans vos vies. Je vous souhaite tout le bonheur du monde. J'arrête là sinon je vais vraiment pleurer.

Je lâche la main de Lucas pour qu'on puisse se lever pour remercier les garçons. Je fonce directement dans les bras du plus jeune.

Kylian : Nan là je vais vraiment pleuré.

Léonie : Toi tu me fais pleurer endouille.

Kylian : Tu sais que je t'aime hein ?

Léonie : Moi aussi tu le sais ?

Je vais prendre les autres dans mes bras, et Kylian me tend le micro.

Léonie : Je me permets de commencer parce que je sais très bien que je vais pleurer. Je tiens d'abord tous à vous remercier d'être présent à nos côtés en ce jour assez spécial. Mais je pense que la première personne à remercier ici c'est toi Lucas. Je souffle un bon coup avant de prendre la parole. Je pense que les garçons ont raison sur le coup que cette Coupe du Monde nous a tous marqués, moi la première. Moi qui partais juste pour un été avec des footballeurs que j'allais photographier pendant deux mois. Mais j'étais loin d'imaginer que j'allais rencontrer quelqu'un et encore moins avec celui avec qui je vais passer les restants de mes jours. 2 ans de bonheur à tes côtés, de joie, de moments inoubliables, de disputes, de soutien. 2 ans à tes côtés qui paraissent des années. Merci d'être toi, merci de me rendre meilleure, merci de me rendre belle. Juste merci. Sache que je t'aime.

Il se rapproche de moi pour m'embrasser et me prendre dans ses bras pendant que notre entourage nous applaudit.

Lucas : Je pense que t'as tout dit. On remercie le coach et la Russie de nous avoir rapproché car maintenant je suis à tes côtés et je pense que je vis la période de ma vie où je suis le plus heureux. Je suis heureux de me réveiller chaque matin, de voir ton visage et de me dire que tu es mienne. Chaque moment avec toi, est un nouveau souvenir. Tes rires, tes pleurs, tes paroles, tes blagues, ton sourire, tes yeux. Je remercierai jamais assez la vie de t'avoir mis sur mon chemin. Merci de me soutenir au quotidien, de m'encourager à chacun de mes matchs, d'être de bon conseil et de toujours vouloir mon bien. Je te répéterai jamais assez que je t'aime et que même ce mot n'est pas assez fort pour te dire à quel point je t'aime.

(...)

On se retrouve alors sur la piste de danse pour lancer l'ouverture de bal. Pour ce moment spécial, on a choisi une chanson qui nous est chère. Lorsque les premières notes, je souris instantanément en regardant mon amoureux. Il me sourit automatiquement et il m'embrasse sur le front avant que je m'enfonce dans ses bras. Cette fameuse chanson de la soirée avec les familles à Istra.

Lucas : Cette chanson...

Léonie : Les souvenirs hein ?

Lucas : Bah bien sûr. C'était notre première danse.

Léonie : Je viens de me souvenir que tu avais fais ton jaloux.

Lucas : Chut, dis pas des bêtises s'il te plaît.

Léonie : Je dis juste la vérité mon cher.

Lucas : En vrai "Hernandez" ça te va bien.

Léonie : Ah ouais ?

Lucas : Bah bien sûr. Tu portes mon nom madame.

Léonie : Léonie...

Lucas : Hernandez.

Léonie : J'avoue que c'est pas mal, j'approuve.

Lucas : Bah vaut mieux.

On écoute alors la musique, sans parler.

Léonie : Lucas ?

Lucas : Oui ?

Léonie : Je suis enceinte.

Il repoussa ma tête en me regardant avec les larmes aux yeux, ce qui provoque les miennes.

Lucas : C'est vrai ? Dit-il d'une petite voix.

Je hoche de la tête, incapable de répondre. Lui fonça sur mes lèvres, exprimant son bonheur de la nouvelle.

Lucas : Si j'avais su que t'allais changer ma vie...

-

Et voilà la fin de cette histoire 🥺 Je vous remercie encore de l'attention que vous avez porté pour mon histoire ! Je vous conseille de rester connecter car je vais écrire d'autres histoires sur d'autres joueurs de football ! Love u <3

Sɪ ᴊ·ᴀᴠᴀɪs sᴜ ﹣ Lᴜᴄᴀs HᴇʀɴᴀɴᴅᴇᴢOù les histoires vivent. Découvrez maintenant