L'irrésistible nounou

Erin 2

Je parle un peu avec ma tante, qui est très heureuse que je prenne le poste. Le jeune homme de tout à l'heure vient me chercher et on repart chez moi.

En route, j'appelle mes parents qui sont ravis pour moi. Quand on arrive Clovis, m'ouvrir la porte de la voiture, je lui dis que je me dépêche. Je cours dans la maison sort mes deux grandes valises pour mes vêtements et deux gros sacs un pour mes chaussures l'autre pour mes accessoires et mon vanity pour mes affaire de toilette et je suis prête. Je descends le tout devant la porte et Clovis charge la voiture.

- Vous êtes sûr de tout avoir, me dit-il amuser.

- Oh, mais vous parlez ?!

Il sourit et je monte en voiture. On roule une demi-heure et on arrive devant un grand portail noir. La voiture avance dans une allée est ce stop devant une maison toute en pierre ou en sors une femme qui vient à ma rencontre, Clovis m'ouvre la porte de la voiture et je suis à peine sortie que je suis embarqué dans la maison.

- Bonjour, je suis Marianne, je t'attendais. Clovis, peux-tu mettre les sacs dans la chambre, nous on va manger.

- ...., Bonjour

- Je suis la mère d'Hugo, voici Elinor, je vous laisse faire connaissance, je vais chercher le poulet.

Je me retrouve devant un grand parc posé au sol avec des grands tapis molletonné. Une petite fille blonde au yeux gris me regarde. Je pose mon sac et enlève mes chaussures.

J'entre dans le parc et m'assoie à côté d'Elinor.

- Bonjour, je suis Erin je vais te garder, tu as un joli doudou.

Elinor, me sourie et me tend les bras. Je la prends pour la mettre sur mes genoux.

- Bon, il va falloir que tu m'aides, car je ne sais pas trop ou je mets les pieds.

- Je ne suis pas sûr que ma petite fille te réponde, mais moi oui, aller à table.

Je prends la petite dans mes bras et je suis Marianne dans le jardin.

La petite dans sa chaise, sa grand-mère lui donne une assiette. Je prends place également et Marianne nous serre.

- Merci, madame Barton.

- Ah, non, pas de madame, et on se tutoie. Bon, tu m'as l'air un peu perdu.

- A vraie dire, j'ai eu un entretien très bref avec votre fils, alors j'avoue que je découvre tout au fur et à mesure.

Marianne m'expliquer comment son fils enchaîné les nounous, mais surtout le peut de place qui laisse a sa famille voulant tout gérer. Après notre repas, on coucha la petite, Marianne me fit visiter la maison et je fus choquée. La maison et vide de meubles même la chambre de la petite,des mur blanc avec un grand tapis rose à poil et des photos magnifiques en noir et blanc de mon patron et sa fille.

- Ils viennent d'aménagé ?

- Il y a six mois, Hugo a dû se battre avec la famille de son ex, tout c'est enchainé l'opération et les tentative pour la garde de la petite. Sans parler de son travail. Il dit qu'il n'a pas le temps et reporte l'ameublement toujours à plus tard.

-Je peux comprendre, mais ce n'est pas bon pour la petite, elle a besoin d'un environnement stable.

- Je sais bien, mais Hugo a monté un mur et ci les nounou ne reste pas, c'est bien qu'il a une raison.

On fut coupé par un appel de mon patron qui m'informé qui serra là pour 18h00. Après la sieste, on fit goûter la petite et Marianne nous annonce qu'elle va rentrer chez elle.