Sanzu Haruchiyo x ReaderFem!

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— Hein ? Pourquoi ?
— Tu es sûrement la deuxième personne à qui je fais à manger.
Répondis-je en me repassant certains souvenirs.
— Quel honneur dis donc ! Et qui était la première personne ?
— Keisuke..
À peine dis que sa tête s'est décomposé.
— Oh merde, désolé.
— T'inquiète, je devrais m'y faire depuis le temps..
J'enlève mon bombers étant donné que je commence à avoir trop chaud et me retrouve donc en tee-shirt manche courte devant mon invité, si on peut l'appeler ainsi.
— C'est quoi ça ?
Dit-il en pointant mes bras du doigt.
— Rien de bien fascinant qui en valle la peine d'être entendu ou même juste raconté.
— Tu t'es mutilé ?
— Ca te regarde pas.
J'ai dis ça avec un ton plus sec que je ne l'aurais voulu.
— Désolé, encore..
Je souffle.
— J'ai l'impression que tu passes ton temps à t'excuser. Bref, c'est prêt.
Et c'était le cas, ça fait déjà deux fois qu'il s'excuse en même pas deux minutes.
On s'installe donc pour manger tranquillement nos pâtes sans plus parler, mais après ce qui vient de se passer, le silence n'est pas gênant, au contraire il est apaisant. Après avoir manger, je débarrasse et fais la vaisselle. Sanzu me tends un bout de papier avec son numéro de téléphone.
— Appelle-moi quand tu veux.
Et il est parti sans dire un mot de plus et sans que j'ai le temps de lui répondre. J'ajoute donc son numéro de téléphone dans mes contacts, en le surnommant "Malabar dogué" et je trouve que ce surnom lui va parfaitement bien. Et enfin, je suis allé me coucher ne regardant pas l'heure et tombant de fatigue dans mon lit.

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Je me fais réveiller par les rayons du soleil qui passent par la fenêtre car j'ai oublié de fermer mon volet. Je regarde l'heure sur mon téléphone, et il est 14h33. Je ne sais pas du tout combien de temps j'ai dormi, mais pas assez à mon goût.
Je prends ma douche, et enfile mon pyjama, qui est une combi Pikachu, au moins avec ça je serais à l'aise en ayant chaud. Puis je me décide d'envoyer un message à Sanzu.

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Malabar drogué

Salut, c'est t/p

Yo ! Ça va, pas trop mal à la tête ?

Non ça va et toi le drogué ?

Tu peux parler, mais on était dans le même état hier soir

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Après ça je lui laisse un vu, car sinon on va partir en débat sur lequel de nous deux était le plus défoncé hier ou ce matin je sais pas trop. Je prends mon ordi et retourne me poser dans mon lit et met Netflix avec un petit épisode de One Piece, avec un plateau avec plein de gâteau, de chips, bref tout le nécessaire pour être à l'aise devant Netflix.
Mais au bout de quelques épisodes mon téléphone me coupe, donc je le prend pour voir qui est le connard qui ose me déranger, et là je vois que c'est l'autre malabar, donc je décroche.
— Quoi ?
Dis-je sèchement.
— Oula, qu'est-ce qu'il y a ?
— Tu me déranges.
— Pourquoi, tu te tapais un gars ?
Demande-t-il curieux.
— Qui sait ? Jaloux ?
— Pas le moins du monde.
— Bref, pourquoi t'appel ?
Je demande, avant que la conversation ne dérape.
— Tu fais quoi là, genre maintenant, tout de suite ?
— Rien de bien spécial, pourquoi ?
Je lui réponds suspicieuse.
— Drogue ?
Dit-il tout simplement.
— Comment ça "drogue" ?
— Viens me rejoindre au repaire du Bonten, et on va se droguer.
Genre il me dit ça comme si c'était logique.
— C'est où ?
— Alors c'est un oui ?
Demande-il.
— Répond ou je viens pas.
— Ok ok, je t'envoie l'adresse.
Me répond-t-il content que j'ai accepté.
Je raccroche donc après ça, je me lève, met un jogging, je regarde l'adresse qu'il vient de m'envoyer, appel un taxi et m'y rend. Au final je suis habillé en jogging noir large avec un sweat noir oversize. Une fois arrivé je reprends mon téléphone et rappelle Sanzu pour lui dire que je suis arrivé.

Il débarque en défonçant limite la porte avec un joint à la bouche que je lui vole au moment où il veut me sauter dessus tout en me décalant, histoire que je ne me prenne pas un Sanzu sauvage drogué dans la gueule. Je fume sur le joint tandis qu'il râle car il a finit par terre tel une grosse merde. Une fois debout et qu'il a finit de se plaindre il me fait rentrer, je regarde alors tout autour de moi. Le hall est plutôt grand, mais il commence à me tirer vers des escaliers, car selon lui je met trop de temps. On monte donc ces escaliers pour arriver sur un long couloir ou nous croisons Kokonoi, qui ne fait même pas attention à nous. Toujours le joint à la bouche, on entre dans ce qui serait son bureau, avec une porte au fond de la pièce, où il me traîne. Et il s'avère que c'est une sorte de grand appartement super stylé. Je me pose donc dans le canapé en coutinuant de fumer jusqu'à ce que le malabar me le reprennes de force en échange d'une pillule.
— C'est de l'extasy.
Me dit-il simplement.
— Cool, merci.
Je l'avale donc sans me poser plus de questions et je m'étale encore plus. Il se pose alors à côté de moi. Et je lui sors :
— Dit ?
— Ouais ?
— T'a pas un autre joint ?
Et à cette question il sourit.