Un jour, à l'université deux mecs qui se ressemblaient sont venus me chercher. Je me demandais pourquoi jusqu'à ce que je tombe dans cette organisation criminelle, dont mon frère fait partie. Il fallait que je reste auprès d'eux,
pour ma soit disant...
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Lorsqu'il s'apprête à passer le pas de la porte, je l'interpelle une dernière fois au sujet du flamant rose.
— Il est ennuyant, en plus il veut ma mort.
Il rit légèrement avant de planté son regard améthyste dans le mien.
— On veut tous ta mort.
— Le monde est méchant. Dis je d'une moue boudeuse.
— Bon, bisous reposes toi. Dit il en partant.
Je le regarde perplexe, j'ai bien entendu la ? Genre vraiment bien entendu ? Alors je l'interpeller (la dernière fois c'est promis), afin qu'il répète, parce que sans le savoir, les paroles qu'il vient de dire font fondre mon coeur.
- T'as dit quoi ?
— Rien. Dit il avec son visage stoïque. Il est redevenu dur comme de la pierre.
- Ouais ouais, il m'aime hihi. Dis je en pliant mes bras comme signe de victoire.
— Aucun risque, t'es qu'une gamine.
- Ouais et ?
— T'es exaspérante. Souffle-t-il.
Il passe alors le pas de la porte. Peu de temps après être partit, c'est le flamant rose qui vient me rejoindre. Il s'asseoir sur un fauteuil, me regarde d'un air jugeur et tueur, avant de dire froidement :
— Tu m'fais chier.
- C'est à cause de toi que jsuis comme ça TOXICO. Dis je en insistant sur le dernier mot.
— Ton frère il est pas là donc j'peux te buter tranquillement.
- pff, tu feras jamais ça.
Un court instant sans parole (un gros blanc) s'abat sur la pièce, quelques minutes plus tard, il reprend.
— Bref pourquoi tu m'as vidé ma lsd ?
- Tu crois vraiment que j'avais eu l'idée de prendre de la lsd ? je voulais seulement prendre des cachets pour rester éveillée.
— Ouais bref, il se passe quoi entre Rindo et toi ? parce que t'es un peu naïve.
- De quoi ?
— Tu crois vraiment que lui peut aimer une fille comme toi ?
- c'est à dire ?
Je le regarde en fronçant les sourcils, ne comprenant vraiment pas ou il veut en venir, même si après ce qu'il va me dire, j'aurai préféré ne jamais comprendre.
— Ce mec il a l'habitude de jouer avec les filles.
- ok et ?
— Quand il aura ce qu'il voudra il te lâchera comme la vulgaire merde que tu es.
Je me relève alors, et avance ma tête près de la sienne afin de mettre son visage face au mien et de lui souffler quelques mots.
- Sauf que moi aussi je joue, on fait seulement un paris lui et moi.
