Un jour, à l'université deux mecs qui se ressemblaient sont venus me chercher. Je me demandais pourquoi jusqu'à ce que je tombe dans cette organisation criminelle, dont mon frère fait partie. Il fallait que je reste auprès d'eux,
pour ma soit disant...
A toutes les personnes à qui on a prit une âme, un corps, et qui vivent avec ce traumatismes. Je dédie ce chapitre à toutes les personnes qui ont essayer de parler mais que personne n'a crues ou qu'on a refusé de vous croire. Il y a toujours un moyen de se relever et de repartir plus fort que jamais. Battez vous, vous vous relèverez quoi qu'ils en disent.
(TW : Ce chapitre contient une mention d'agression sexuelle et agression sexuelle, violences domestiques)
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Nous restons un instant collés ensemble Ran et moi, entrain de danser. Je sens les regards attendris des Kawazue, et leur souri timidement. Puis je rive mon regard sur Ran, et il me sourit à son tour. Il dépose ensuite un doux baiser sur mon front.
Papillons
Soudain, une vois retentit.
— Bon, arrêtez vos mots répugnants et monter dans le bureau, sonne la voix de Mikey.
- AH ! Y SORT D'OÙ LUI ! m'exclamé-je un peu trop fort.
Ran me fait les gros yeux avant de donner un petit coup au niveau de mon oreille. Ah oui... les oreillettes. Puis, il me prend doucement la main et parle à Mikey.
— C'est lequel ?
— Celui en haut à gauche, le quatrième.
— On y va.
Nous montons doucement les marchés, j'essaie de ne pas me fracasser la figure. Je suis très stressée. Même si Ran est avec moi, je n'ai jamais fait ce genre de chose. J'avoue que c'est perturbant.
Se retrouver dans une maison, bourrée de testostérone. Je pensais me rapprocher de mon frère mais au final je me suis rapprocher de son collègue. Et sa compagnie me plaît. Énormément même.
Nous avançons donc vers le bureau que Mikey nous a indiqué précédemment. Je me mords l'intérieur de la lèvre à cause de mon stress jusqu'à sentir le goût cuivré du sang. Et évidemment, juste au moment où je lèche ma lèvre inférieure pour enlever le sang, Ran me regarde.
— Ça va princesse ?
- mh mh.
— C'est la première fois que je te vois aussi sérieuse et aussi stressée, ça fait bizarre.
Je sais qu'il essaie de plaisanter, mais ça n'arrive pas trop.
- Tu voulais que je change non ? demandé-je un peu trop abruptement.
— Non Anya. J'ai pas envie que tu changes d'accord ? Si tu changes en petite bourge la précédente Anya me manquera. Ne change pour rien ni personne.
Papillons.
Évidemment, lorsqu'un moment devient trop sérieux avec quelqu'un ou que je ne sais pas quoi dire par peur de faire une connerie, je sors une connerie.
