Chapitre 8 : Hurlement

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Pdv Shiouko :
*sous la douche* 

Ca fait du bien une bonne douche chaude.
Mais c'est bizarre... Je ne sais pas pourquoi j'ai dit ça tout à l'heure. Je l'ai pensé un peu, c'est vrai, mais mon corps et ma voix on agi tous seuls. C'est comme si j'avais perdu les pédales. Une fois sortie, séchée et mon pyjama enfilé, je vais dans ma chambre, la boîte à pharmacie dans mes mains.
Je commence à m'appliquer du désinfectant sur mes genoux. Mais j'en renverse trop, et la douleur m'arrache un petit cri de surprise.

Shikadai : Besoin d'aide ?

Shiouko : ... Oui S'il te plaît. Finis je, par dire.

Shikadai s'avance vers moi. Récupère le produit, et me l'applique correctement. Il fait pareil avec toute mes blessures et les recouvre de pansement. 

Shikadai : Et voilà !

Shiouko : Merci. Dis-je, simplement.

Shikadai : De rien. Allez viens la. Dit-il, en s'asseyant sur mon litOn va  parler un peu toi et moi.

J'hoche la tête et je pars m'assoir à côté de mon grand frère. Et là je lui dit tout ! Je fonds en larmes. Shikadai entoure mon corps de ses bras, et me berce un peu. Je crois qu'il fait sa inconsciemment. Je lui raconte même tout ce qui c'est passez avec Kaito. Du début à la fin. En passant par sa première apparition dans le jardin, à ma dernière chute, juste avant de tourner dans la rue. 

Shiouko : Je suis tellement désolée. Sanglotais je.

Shikadai : Je sais... Mais ce n'est pas à moi que tu dois dire ça.

Shiouko : Oui, je sais... J'irai présenter mes excuses demain ! Promis.

Shikadai : Bien, allez, je te laisse. Sinon papa et maman vont se demander ce qu'ont fait.

Shikadai sors de ma chambre.
Je sèche rapidement mes larmes et me mets à sourire bêtement. Je m'endors tellement rapidement, que je ne sais même pas à quel moment j'ai fermé les yeux.


Homme : Tu dois oublier ta maman. 

Garçon : Non !

Homme : SI ! Sinon elle va mourir !

Garçon : NOOOON ! Pas ma maman !

L'homme s'approcha de la table ou était enchaînée une femme et lui coupa un orteil.
La femme se tordait de douleur.
Elle hurlait à la mort. L'homme lui en coupa un deuxième puis un troisième. La femme le suppliait d'arrêter tout se passait sous les yeux du petit garçon. 

Tout le spectacle se déroula dans la tête de la jeune Nara.
Tous ce spectacle se déroula sous les yeux d'une gamine de 8ans.

PDV Shikamaru :

Shiouko : AAAAaaaaAaaAaAAaaahhHhhHHH

Temari se réveilla à coter de moi, en panique.
Nous nous levons et quittons la chambre en courant, inquiets. La porte de Shiouko est  déjà grande ouverte. Nous pénétrons dans la chambre. Shikadai est déjà la. Il sers très fort Shiouko dans ses bras. Il la rassure. Shiouko, elle, est en sueur et pleure. Elle est rouge.

Temari : Ma puce.

Elle accoure vers Shiouko. S'agenouille et pose sa main sur la cuisse, écorchée de notre petite fille. Je fais de même. Mais je pose ma main sur le haut de sa tête.

Shikamaru : Qu'est ce qui ce passe ?

Shiouko : Je... Je... J'ai... Peur... Pleura t-elle de plus belle.

Shikadai : Chut. Papa, maman, je vais m'occuper d'elle. Vous vous devez vous reposer. Vous travaillez demain. Déclare t-il, d'un ton étrangement sévère.

Temari s'écarte des enfants, a contre cœur. 
Mais tout au fond d'elle, elle sait que c'est mieux pour Shiouko. Après tout, Shiouko à toujours était plus proche de son grand frère, Shikadai, que de nous. 

Temari : Bien. Appelle nous en cas de besoin mon chéri.

Nous sortons de la chambre, abattu face à notre impuissance. 
Je referme la porte derrière moi. Observant Temari s'assoir du le lit. Elle prend son visage entre ses mains et se mets à pleurer.

Shikamaru : Temari... Chérie. 

Temari : Oh mon dieu... Shikamaru... Qu'est ce qu'on a fait. Qu'est ce qu'on a fait pour en arriver la ? Me demande t-elle, toujours en larme. 

Je ne peux m'empêcher de soupirer, et m'agenouille en face de Temari, attrapant ses mains pour voir son visage.
Je lui fais un petit sourire et déclare :

Shikamaru : Allons, tu n'as pas compris le message de Shikadai. Son regard interrogateur me répond.   Il nous a demandé de partir, car notre peur est trop voyante. Cela n'aurait pas aidé Shiouko.  

Temari : Oui, mais... C'est nous ses parents. Pourquoi... 

Shikamaru : Chut. Ne t'inquiète pas. Je me penche vers elle, et l'embrasse tendrement. Repose toi. Tu es fatiguée. Je sais que tu ne dors pas bien la nuit récemment. Alors, malgré ton inquiétude, peut tu faire l'effort de dormir. Fait le pour Shikadai, Shiouko et moi.

Elle souffle, et m'embrasse à nouveaux, avant de me serrer dans ses bras. 

Temari : D'accord chéri. Souffle t-elle.

Oyassumi
Wow, je viens de réécrire trois chapitres aujourd'hui ! 
Certes, les deux derniers n'était pas très long. Mais j'ai rajouté une scène entre Shikamaru et Temari.

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// Grand Frère // Shikadai x sœur // 🍜Où les histoires vivent. Découvrez maintenant