Jusqu'après la fin

La fin

Un soir de pluie, en rentrant d'un repas entre amis, sur les pentes de la ville, un jeune couple se disputait en voiture lors du trajet de retour.
A la soirée, Joseph avait eu à tenir des propos qui ont déplus Lucile, et par conséquent ceux ci ont provoqué une dispute lors du trajet. Cependant, la route qu'il ont eu à emprunter, était très mauvaise, très mal éclairée et pour boucler le tout celle ci se trouvait sur une falaise, de pratiquement 25 mètres au dessus de la surface du sol.

Dans la voiture, Lucile étant énervée mais ne pouvant rien dire , c'est mise à faire couler des larmes, son cher compagnon, qui était en tord, et qui lui ne supportant pas qu'elle soit dans cet état, voulu lui faire un bisou tout en s'excusant d'avoir agit de cette façon, fut glisser le volant.
Comme vous l'imaginez bien, la voiture a dérapé, et avec l'eau sur la route, celle ci fut trois tonneaux avant de se jeter dans le ravin. Tout ceci blessa Joseph et Lucile toujours à l'intérieur de la voiture. La voiture cogna les parois du ravin, le couple étant à moitié en vie se pris la main et fut leurs derniers aveux avec des voix fébriles.
« Joseph: je suis désolé pour ce soir, pardonne moi.
- Nous allons vraiment finir comme ça ?
- Non. Aimons nous jusqu'après la fin.
- Je t'aime. »
Tout en se parlant, leur voiture heurtant afin le sol, subit une violente explosion propageant alors des flammes. Sortant de leurs corps, leurs âmes assistaient au spectacle qu'est leur mort, tout en se questionnant « où est mon amour ? ».
Des âmes errantes marchant dans une forêt, se cherchant. Lucile, aperçut un spectre translucide, et se précipita vers celle ci, c'était Joseph. Les deux tellement heureux d'être arriver jusque là ensemble qu'ils ne se soucient plus de leurs passé physique, ils voulurent se prendre la main main mais ils n'y arrivaient pas, alors ils comprirent qu'ils ne pourraient plus se toucher. Il allèrent alors marcher dans le pré .
Arrivé près d'un petit ruisseau, ils s'assirent sur un rocher puis se regardaient, durant plus ou moins quinze minutes, la flammes de l'amour brûlait toujours de mille feux elle était toujours aussi vive qu'à l'époque.

Par ailleurs, ils ne se rendaient pas compte que le bonheur et la paix ne seraient pas si long de l'autre côté de la vie. Mais cependant, une personne d'environ 1m95 portant des ailes et une espèce de robe qui sortait de la forêt et marchant au loin s'approcha d'eux.
Celui ci s'avancera vers eux puis leurs dit
- Bonsoir, je ne nomme Azrael, je suis l'ange de la mort, il s'avère que vous n'êtes plus du monde des vivants. Alors, vous aurez 5h pour vous décider.
- Nous décider ? Quelle décision ? Demanda Lucile.
- Celle entre rester des âmes errantes attendant leurs jugement, rien que vous deux dans ce monde où vous ne pourrez plus interagir qu'avec vous. Où, me suivre dans l'haut-de-là et là-bas vivre comme des personne normales mais sans vos famille, la seule condition de se monde, est que vous ne devez suivre les conditions de vie de l'autre monde. Replica Azraël.
- Quelles sont ses conditions ? Demanda Lucile.
Azraël ne l'a pas répondu.
Au même moment, l'ange de la mort fut apparaître de ses doigts une porte avec des objet de la forêt tél que des branches des feuille de la terre ,
vers laquelle il s'avança en disant « vous aurez 5h pour choisir, une minute de plus et la porte se refermera. Si vous décider de venir avec moi vers l'autre monde, il n'y aura pas de retour vers celui ci. Alors décidez vous bien.» Puis il prit la porte et s'en alla.

Le temps passait, mais Lucile et  Joseph ne savait toujours pas comment il devait réfléchir. Rester ici et errant pour l'éternité, ou vivre avec des conditions qui sont inconnue ?
Ils ne leur restaient plus de assez de temps, il restait 45 minutes. Les jeunes morts stressaient sans savoir quoi faire. Puis ils prirent le risque et choisiront d'aller à Azrael.
Devant la porte, Lucile demanda à son conjoint s'il était sur de se qu'ils faisaient, il lui répondu " oui " le coeur lourd. C'est ainsi qu'ils échangent leurs derniers "je t'aime" en franchissant la porte...