Je... J'ignore qui je suis. J'ignore d'où je viens et où je vais. Je suis, je suis dans une salle blanche immaculée. En face de moi il, il n' y a rien, je crois. Enfin je vois mal. Je vois flou. Je ne perçois rien a par quelques figures flous aux allures de choses. J'ai les paupières lourdes et je suis, je suis sonnée comme réveiller d'une hibernation.J'ai mal au crâne, mon corps me pèse.Je suis sur le sol il me semble, et je décide alors brusquement de me relever légèrement par réflexe. Dorénavant je suis assise et à peine fonctionnelle. Je ne vois toujours pas bien mais il me semble pouvoir commencer à pensé de manière plus fluide. Alors je me rend compte que j'ignore tout de ce qu'il m'arrive. Je ne me rappel rien, je suis rien, je sais rien. Enfin si, je me rend soudainement compte que je sais penser avec des mots et que, je sais alors parler. Parler... Une langue, aperement c'est comme cela que je nommerai cette capacité. Je me pose. Je commence à me faire envahir de questions. Comme une avalanche sur une piste de ski qui viens ensevelir absolument tout jusqu'à t'étouffer. Mon premier réflexe est de me toucher. De me sentir, de me chercher et de découvrir se que je suis. Je prend alors compte de mon corps. J'ai quatre membres dont je semble connaître les utilités, remarquables par ailleur. J'ai une peau plutôt beige voir presque blanche et j'ai des poils sur la tête. J'ai l'air d'avoir des yeux et un système respiratoire. Tout semble aller. Ni blessures, ni coup, ni coupes, ni douleurs. Rien, le trou noir complet. C'est alors que je me nomme ''humain''. Humain ? C'est moi ça je crois, c'est ce que je suis. Ça me dit quelque chose. Enfin en tout cas, je suis là et belle et bien en vie. Après avoir comprise se que je suis, du peu que je puisse savoir, je me met en recherche du lieu. J'essaye alors de me mettre sur mes membres. D'abord, à quatre pattes. Et quelle fut ma surprise et ma douleur de n'avoir aucun équilibre et de mettre balancer de manière à frapper mon menton contre le sol. Et je n'étais alors qu'encore au niveau du sol. Je fut envahi par ce que je nommerai plus tard de la ''frustration''. J'étais vexée de ce geste si mal dosé. Enfin, je ne m'attarde pas et retente avec plus d'adresse. D'assise je passais à quatre pattes et enfin, en plaçant les mains bien à plat je me suis propulsée afin de finir sur mes pieds. L'équilibre était impossible à trouver. Après de nombreuses chutes, j'ai fini par réussir à me lever, même tremblotante, je réussi alors à avancer systématiquement, doucement et sûrement. Un pied devant l'autre , et légèrement en canard. L'on aurai dit un bébé de un an cherchant sont tout premier équilibre en essayant instinctivement de se déplacer comme ces parents. Un bambin s'en sortirai surement mieux que moi Je fut heureuse quand j'eus réussi. Pour moi, a ce moment précis, ce fut un pas de géant. D'ailleurs, je ne me trouvais pas grande, je me sentait serrée et infiniment ridicule dans cette espace imperceptible. En réalité, je me sentais même comme une enfante. Je me suis donc représenter comme un ''enfant humain''. Néanmoins, rien de plus ne semblé resurgir de ma mémoire. Aucun souvenir, ni prénom, ni âge, ni parent, ni soeur, ni frère, ni ami... Rien. Pourtant j'étais bien consciente de tous ces termes et de leurs sens approximatif. Mais rien d'équivalent ou de plus précis. Juste une langue semblée me définir ainsi que quelques traits de caractères purement physiques.
Enfin debout et capable de marcher correctement ou presque. Je pars à la recherche d'indices. La salle semble en carrelages blancs mais les murs semblent crépis de beige. Un beige plutôt sale d'ailleurs. Et quelque pas plus tard il me semble sentir une porte. Elle est encrée, enfoncée par rapport au mur. Je peux promener ma main sur tout le contour alors, je m'attaque à sa surface afin de trouver une poignée. Mais il n'y en à aucune. Je passe une main, je passe deux mains. Je panique , je palpite et je m'ésouffle. Je passe mes mains, je les cognes et je me suréleve sur la pointe de mes pieds. Je cherche, je passe et je repasse. Il me semble que je panique et alors se silence de salle vide semble me percer les tympans. Sa siffle, sa grince ça semble me les déchirer violement comme l'on enlève un opercule de yaourt. Il me semblait que l'on m'arrache les tympans du fond de mon oreille. Je me fixe alors devant la porte et je cherche à me recentrer. Je respire fort et je régule ma respiration. Je tente de calmer mon corps qui semble se débattre de pars tout mes organes. Je souffle et je ris. Je suis calme ou presque. Je ne vois toujours rien et j'en déduis que je devais avoir quelques choses afin de voir mieux. Des lunette, j'avais des lunettes. Je me jette d'un seul coup au sol et me met à repasser tout le carrelage avec tout mon corps. Je cherche avec l'aide des peux de sens qu'il me reste. Il est certain que je ne peu pas compté sur ma vu. Néanmoins je reste certain que cette salle est vide. Je ne trouve rien. Soudain, j'entends un bruit de métal. Serai ce un loquet, un jet ou peu importe quelque chose semble s'être entre choqué avec une autre. Je pense immédiatement à la porte. Je me situe alors au centre de la salle. Mon réflexe et de reculé assise aussi loin possible de celle ci. En même temps celle si frotte tranquillement le sol lisse de la salle. Et de ce bruit stridant s'accroît tout mon stresse. Je fixe droit, je ne perçois rien. Je ne vois que des silhouettes qui sembles s'approcher. Alors mon seul réflexe est d'hurler. Je demande qui ils sont, ce qu'ils me veulent et qu'ils partent. Ils m'effraient, ils me font peur. J'entends alors une voix qui me signale doucement et sûrement que tout vas bien et que tout ira mieux. Cette individu certainement humain aussi viens poser devant moi une perd de lunettes que je saisis sans réfléchir. Je met ma paire de lunettes. Je lève enfin les yeux et je me rend compte que c'est silhouettes étaient là depuis le début. Elles étaient toutes les quatres pendus a moitié juste devant moi. Les corps sont semi détaché de leurs tête et entièrement égorgés. Seule la colonne vertébrale semble faire pacerelle entre les corps inertes et leur tête. Les corps sont tièdes. Bientôt ils seront froids. Je me rend alors compte de l'explosion de couleurs rouge et vive comme vivante qui émane de ces corps et viens alors se réfugier en moi un plaisir Discret et apaisant. Il me plaît alors de voir leur tripe palpitantes dépassées, coulées et relaté de cette vie qui coule aussi dans mon corps. Alors je prend instinctivement l'outils tranchant sur ma gauche. Lui aussi est d'une couleur chaude qui me plaît. Je sort alors de la salle en trépignant. La porte avais bien une poignée, il y avais bien une fenêtre et j'étais belle et bien chez moi. J'ai encore recommencé. Franchement je me laisserai jamais de ma folie.