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Hôpital Jean-Verdier Bondy, 937:32

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Hôpital Jean-Verdier
Bondy, 93
7:32


la brigade sur place s'apprêtait à rentrer dans la chambre à Nadir. Ziyad se leva très rapidement laissant seul,Merveille dans la salle d'attente.

Ziyad s'interposa très vite entre la porte de la chambre et la police.

Officier 1-Jeune homme veuillez nous cédez le passage.

Ziyad-Bonjour, veuillez m'excusez mais mon cousin n'est pas apte à répondre à vos questions.J'étais présent lors de son agression, alors laissez moi répondre pou-

les deux autres officiers ne semblait pas contre l'idée, mais le premier, certainement leur supérieur, regarda d'un oeil mauvais Ziyad et s'entêta en le coupant.

Off 1- Je ne me répéterais pas, laissez-nous entrez.

Ziyad-Je ne me répéterais pas non plus. Mon cousin est blesser par balle, certainement sous anesthésiant entrain d'agoniser. Alors interrogez moi maintenant, ou attendez son rétablissement. OU bien revenez avec un mandat stipulant que vous avez le droit de faire pression sur vos victimes.

un véritable jeu de regard c'était créez entre Ziyad et l'officier brun, aux yeux verts et de tailles moyenne. Ziyad faisait une tète de plus que lui, et avait une carrure largement plus imposante ce qui n'avais pour autant pas l'air d'intimider notre officier, qui était plus préoccuper à soutenir le regard du jeune homme.

le duel s'éternisait, lorsque le talkie-walkie se mit à parler. "Officier Taylor ,rendez-vous et votre brigade aux estudines, deux jeunes individ-...."

l'Officier Taylor, éteignis le talkie-Walkie et replongea son regard sur le jeune homme, fier.

Off Taylor-On en a pas fini.

Ziyad-Bonne journée Monsieur l'agent.

celui-ci le toisa du regard et s'en alla avec ces collègues. La pression était immédiatement redescendu. Ziyad craignais qu'en acceptant d'être interroger, Nadir ne lance inconsciemment une enquête ce qui risquait fortement de mettre leurs affaires en péril...Ziyad était soulagés, mais avais perçu la ténacité de ce jeune officier, qui n'allais certainement pas les lâcher de si tôt.

Ziyad toqua à la chambre de Nadir une fois les officiers partis, et y rentra...le jeune tunisien était allongés , tenant son épaule que les infirmiers avait bander en attendant la libération d'un bloc opératoire. Merveille le rejoignis aussi tôt.

Ziyad-T'en à eu de la chance toi. Un peu plus et c'était la tête qu'ils auraient visé.

Nadir-Merci...Çà serai certainement arrivé,si...tu..enfin...vous n'aviez pas été là.

𝐴𝑢 𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑢𝑒Où les histoires vivent. Découvrez maintenant