Only part

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Ma journée avait mal commencé, mal à la tête et aussi au ventre, vertiges, nausées et je passe tous les détails. En tout cas ils avaient commencé quelques jours auparavant. J'ai commencé, mardi matin, par un simple rhume le nez congestionné où je ne sentais rien. Quand je disais que je ne sentais rien, c'était vraiment rien. Les odeurs étaient diffuses, voire incompréhensible. C'est comme un voile ou un opercule posait juste devant votre nez. Mais ne parlons pas de la fatigue aussi, je m'étais levé comme si j'était une pierre et que le lit était une moule. Impossible de me lever. Aller faire mes corvées ont été un travail pénible. Le lendemain, donc mercredi, mes symptômes ne se sont pas arrangés. Mal au muscles, courbatures, aux yeux aussi, c'étaient vraiment horrible, limite angoissant. Car faire chaque pas en vous demandant si vous allez tomber, ce n'est pas cool. Ou sentir vos yeux sortir de leurs orbites, tirées pas une corde dès plus invisible. Je n'ai clairement rien fais de ma journée. Mes corvées allaient attendre même si je ne pouvait pas m'en passer. Je suis resté vautrer sur mon "canapé". Ce meuble est fait maison avec des palettes en bois, et fourrures d'animaux posés sur le tout. Rustiques mais confortable. Tout ça, en regardant ma cheminée et en mangeant des fruits séchés, du pain, encore fait maison, et du miel. Mais quand je compare cette journée, hier, à aujourd'hui je trouve qu'elle était agréable. Parce que aujourd'hui était l'apothéose de toutes mes affections. Un mélange entre la fin et le début. Un kaléidoscope de douleurs, morves et fatigue. Je me suis interrogé sur le mal qui me ronger, au point de me croire mourrir, mais ce n'était ni la grippe, ni un simple rhume, ni toutes autres maladies. Je vivais trop loins dans la forêt pour je ne puisse avoir une telle maladie, ou même tomber malade quand on savait ce que j'étais. Sur qu'elle tourment suis-je tombé ? Surtout que je suis actuellement seul dans cette grande maison. Cette maison qui accueillait plus de quinze ou vingt personnes par jours. Avec trois chambres communes, 4 salles de bains et toilettes séparées, mais une grande salle à manger et salons à la fois et une cuisine ouverte. Pour finir, un grand garage avec normalement deux voitures dedans. Grande maison vide qui ne contenait que moi. Le pire c'est qu'elle ne m'appartenait pas, je ne suis pas son propriétaire mais c'est moi qui la garde, cette semaine en tout cas. Heureusement que mes compagnons reviendront ce soir, malgré que dans mon état cela me paraisse long, c'était bientôt dans quelques heures. Ils allaient très sûrement me torde en deux, et me mettre dans la seule des chambres avec un lit qui servait de punition, parce je n'avais ni surveillé le territoire, et ni m'occuper du potager, des abeilles et des poules. Parce qu'en plus des quatre chambres, deux chambres avec un seul lit servant de punition et l'autre était en cas de besoin pour un quelconque couple. En même temps cela fait deux jours que je suis bloqué, en boule sur le canapé. Le pire était que cette sortie pour la meute n'était pas si importante, je pouvais très bien les appeler par téléphone, mais on n'en avaient pas, seule les deux trois plus important hiérarchiquement en avait un. Ou aussi par télékinésie mais ils étaient trop loin pour que je puisse pouvoir les appeler. Enfin j'espère qu'il rentreront vite.

En quoi je serais efficace pour garder la maison, je suis même pas encore présenté. Pourquoi ce n'est pas, je sais pas, Chul-Moo lui il ferait l'affaire. Il est baraqué, protecteur de ses biens et en plus il impose, même s'il est pas présenté. Ou Jisung tient, hyperactif comme il est, il aurait tout fini en deux deux et puis lui il est présenté, au moins. Mais pourquoi m'avoir choisi moi un non-présenté, pile avant mes 18 ans donc ma présentation pour garder cette fucking maison.

Ce n'est pas tout mais il faudrait qu'au moins je me dirige vers la cuisine pour boire. Car j'ai ramené des bouteilles d'eau et des fruits quand j'ai sentais que je ne pourrais plus me lever mais maintenant il faut se ravitailler. Et cela faisait depuis 10 h, il est 15 h, que je n'avais ni bu ni mangé. Ce lever de cette amas de fourrures est plus que compliqué.

- « raahh ». Grogne-je

En essayant de me lever mes muscles me tirer, ma vision était flous et j'avais extrêmement chaud. Boire je devais boire, m'hydrater la gorge. C'était jusqu'à lors mon seul objectif. Mais je sentais qu'une autre partie de moi n'était pas d'accord. Elle ne voulait pas boire mais se faire un coin douillet, un coin ou je pourrais avoir ma propre odeur. J'étais debout maintenant mais un autre objectif se dessinait, il me fallait ma tanière, mon chez-moi. Je prenais alors une autre direction. L'étage, là où je pourrais être chez moi. Mes pas me guidant, je marchais comme si je n'étais plus moi, mes muscles me faisaient souffrir, mes oreilles sifflaient. Mais je crois que le pire était mon ventre et le bas de mon dos. Une douleur lancinante me prenait à ces parties là. Comme si à l'intérieur mes organes décidaient de se barrer. Ou un autre organe poussait.

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⏰ Dernière mise à jour : Dec 10, 2021 ⏰

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One- shot [Omegaverse]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant