Chapitre 12

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Une fois que ma mère dort, je me faufile pour retrouver mon chère Jack. Celui-ci m'attends juste devant. 

-Ho tu es déjà là, je m'étonne de joie. 

-Oui, pour rien au monde je me permettrais d'être en retard pour toi. 

Je me laisse tombé dans ses bras. Il m'embrasse puis me prends la main, et sans se lâcher nous courrons ensemble jusqu'au bord de la plage. 

-Jack, je n'ai jamais été dans la mer. 

Il me regarde étonné. 

-Je vais te montrer ce que c'est et je te promet que tu n'oubliera jamais cette première fois. 

Je lui sourit et lui dépose un bisou sur ses lèvres. Il me porte et ensemble nous entrons dans l'eau. Elle est assez froide. Mais, Jack me prends dans ses bars. 

-Jack j'ai un peu froid. 

Il me sourit. Il se colle d'avantage, tellement, que nos lèvres sont sur le point de se touchés. 

-Tu me fais confiance Sarah ? 

-Oui bien sûr. 

A ces mots il accroche ses douces mains sur mes hanches, et me dirige vers le bas. Nous avons la tête sous l'eau, je ne vois rien avec l'écume qui me pique les yeux. Mes je sens une caresse me caressée la joue. Je frissonne, Jack me rapproche de lui. On remonte à la surface et on se regarde. 

-Jack je n'ai plus pied ! 

-C'est rien je suis là, fais moi confiance. Je ne te lâche pas et je ne te lâcherai jamais. 

J'enroule mes bras autour de son cou en le caressant légèrement. Je lui enlève son tee shirt. 

-Ho Jack, a chaque que je vois ton torse cela me donne mal. 

-Ma belle Sarah, ne t'en fait pas. 

-Tu ne m'a toujours pas dit comment tu t'es fais ces bleus. Et ces blessures, tes lèvres avait le goût de sang hier. 

-Peut-être avait t-elle le goût du sang, mais ce que j'éprouvais quand nous nous sommes embrassé n'avait guère le goût du sang, mais plutôt  le goût de l'amour. 

-Ho mais Jack l'amour n'a pas de goût. Malgré que ton parfum et ta peau sente si bon, je suis au regrets de t'annoncé aussi que l'amour n'a pas d'odeur. 

-Ma chère Sarah, si l'amour ne se sent pas et ne se goute pas, comment fait t-on pour prouver qu'il y a de l'amour ? 

-Rien qu'en fessant ça. 

Je sors mon canif et m'ouvrit une petite partie de mon bras. Jack me prends mon canif et le jette à l'eau. 

-Sarah, pourquoi as-tu fais ça !? 

-Sens tu mon amour pour toi, si je te dis, que ce que j'ai fais là c'est par amour pour toi. 

-Ho mais mon amour, pourquoi faire ça !? Si c'est ça l'amour, je pourrais mourir pour toi. 

-Moi de même, tu ne sais absolument rien de ce que je pourrais faire. 

 -Justement, tu ne sais pas à quelle point j'ai peur de te perdre. 

-C'est ça, ne me fait pas des faux témoignages comme tant d'autre, je sais très bien ce que les gens attendent de moi. Mourir. 

Je nage pour regagné la plage. 

-Sarah ! 

Il revient en essayant de me faire un câlin mais je le repousse. 

-Tu ne me croit donc pas, il me demande. 

-Tu as oublié ton tee shirt dans l'eau, je dis en évitant la question. 

-Au diable mon tee shirt ! 

Il hausse le ton, ce qui me terrifie et me fais trembler encore un peu plus fort. 

-Tu ne me croit pas ! Tiens regarde. 

Il sort de son sac un flingue. Il le colle sur sa tempe. 

-Tu ne me croit toujours pas ?! Je pourrais appuyer sur cette putain de détente pour toi ! 

Je le regarde en pleure. Nom de Dieu il pleure. Le fait de le voir pleurer, déclenche automatiquement chez moi une envie de me fourré dans ses bras et ne plus ressortir. 

-Jack ! Je te crois, je t'aime ! 

Ces mains tremblent. Je m'avance près de lui. Je lui tire des mains le flingue. Une fois qu'il est mis hors de danger, je le serre dans mes bars. Nos chaleurs corporelles se mélangent, je me sens partir. 

-Sarah, mon amour, je t'aime aussi. 

On se serre a s'étouffer. Au final on se laisse tombé sur le sable fin et froid. On s'arrête un moment de s'embrasser. Je suis au dessus de lui, je passe mes doigts sur son torse et je dépose un baiser sur chacune de ces blessures. Je m'endors sur son corps. Son bras droit me serre d'oreiller. Au milieu de la nuit je me réveille. 

-Tu ne dors pas, je lui demande. 

-J'y arrive pas. 

Il est en train de fumer. Je lui prends sa clope et tire un coup. Il me regarde avec ses yeux rouges. Il détourne le regarde en se frottant les yeux. 

-T'a pas pleuré ?

Il se retourne et me regarde. 

-Oui mais je ne voulais pas te réveillé.

Il reprends la cigarette. Je m'assied sur son ventre. Il me regarde. Je pose mes deux mains sur ces joues et l'embrasse Quand je m'arrête ses yeux et ses lèvres en redemandent. Il humidifie ses lèvres. Et la nuit se termine avec des bisous et câlins. Elle est très longues et torrides   

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