Chapitre 15

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- Tu n'es pas sans savoir qui je suis maintenant, mais bon, je te donnerai des détails méconnus de tous, des confirmations, ainsi que des démentis rapportés par la presse, sur le clan Smirs.
Le clan Smirs au départ n'était que Smirs Nathanaël, mon alleu, le grand-père de mon arrière-grand-père.
Il vivait une vie des plus paisibles avec sa femme et ses enfants et était chef de l'armée russe.
Pendant la deuxième guerre mondiale, il mourut pour son pays en héros, même si ça n'as pas été suffisant pour arrêter la guerre.
Son fils étant aussi passionné par les armes, étant très proche de son père, va finir par opter pour l'armée aussi, mais lui y entrera comme tireur d'élite.
Il put voir les vraies réalités du terrain et c'était vraiment compliqué, surtout qu'on sortait d'une crise et que l'URSS s'était divisée.
Il y avait la pression comme pas possible, mais malgré tout ça, le père de mon arrière-grand-père n'a rien lâché et y a aussi laissé la vie.
Cela faisait donc deux hommes parti dans des circonstances des plus affreuses, laissant leurs femmes et leurs enfants.
Les deux femmes Smirs qu'étaient la femme de pépé Nathanaël et la femme de pépé Alexander, élevèrent leur enfant de sorte à détester la police.
Qu'ils n'aient même pas en tête d'y aller, mais comme si nos alleux avaient signé un pacte, tous les hommes se sentaient attirés par ce boulot, jusqu'à mon papi, qui retrouva des anciens documents longtemps enfouis dans la grande propriété des Smirs. Il connut les secrets des grands hommes politiques et de l'État même entière.
Il se fit donc passer pour un espion et demanda à travailler avec les grandes unités, pour mettre la main sur ce chanteur, qui n'était autre que lui-même.
Il était extrêmement doué ce papi. On disait de lui qu'il avait une faculté déconcertante à tromper les gens et l'a fait jusqu'à son dernier jour, où il révéla à tous ses collègues lors des adieux, qu'il était le fameux intrus depuis tout ce temps.
Le FBI n'eut outre choix que de travailler avec notre famille, car ils avaient compris que fallait mieux être Avec nous, que Contre nous.
Avec papi Martin, grand informaticien dans leurs locaux, tout leur logiciel étaient surveillés.
Ils faisaient savoir à tous les hommes de la famille, le secret des pays dont il savait, pour ne pas être surpris par le dernier jour, qui fera qu'il partira sans nous le dire, et nos parents nous le disaient à nous, prenant soin d'attendre l'âge d'adolescence.
Ce fut donc ainsi que notre famille commençait à travailler avec l'état, pour des opérations des plus sales et suicidaires.
On avait la possibilité de se fondre dans la masse sans se faire remarquer, surtout que la génération d'après pépé Martin incluaient des femmes.
C'était très passionnant de voir, mamie, maman, papa, grand frère et grande sœur, sortir comme ça, pour une opération. C'étaient nos héros.
C'étaient des plus normales pour nous, de tuer des gens qui gênaient l'état et on ne nous connaissait pas.
Seul notre nom était donné, mais de visage, on ne nous connaissait pas.
On faisait des cours à domicile et on épousait le nom de famille de nos maternelles quand on était en société et sur nos documents administratifs.
Puis, vint le jour de mon initiation.
Je devais tuer un tueur en série psychopathe et je n'ai pas réussi.
J'étais horrifiée, c'était dégoûtant. Je tremblais, suait.
J'étais tellement suante que ma sueur tomba dans mes yeux, me poussant à les frotter.
Le temps d'ouvrir, j'avais déplacé ma lentille, dévoilant mes pupilles jaunes à cet homme.
On ne sait par quelle magie, cet homme réussit à écrire cova avec son sang sur le sol quand on le laissa pour mort, mais la police eut à faire des enquêtes sur nous et finirent par donner cette interprétation comme quoi, on devrait avoir les yeux d'un jaune similaire à ceux d'un hibou.
On travaillait avec les grandes unités et cette histoire avait fait grand bruit, donc, on permit à ce qu'ils aient un indice sur nous, mais ce fut l'erreur de trop, on dirait, car les policiers de bas rang qu'on avait négligé, se sentant sur la bonne voie, nous trouvèrent des années après investigations et éliminèrent ma famille.
J'avais une petite sœur et un petit frère d'à peine douze et quatorze ans qui ont été abattus, de même que mes aînés, mon père, ma mère et mamie.
Je l'ai su à la télé... dit-elle douloureusement dans un sourire

NEED TO FEEL LOVED.. [ MAFIA FAMILY 3 ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant