Chapitre 7: là où notre monde par en vrille

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Hello everyone ! Désolé& je suis vachement en retard mais il y a une partie que jai du réécrire pour des questions logistiques et pratiques, et ça mas donné du file à retordre. Sur ce bonnes vacances et à dans deux semaines (soit la rentrée) courage plus que deux jours !!

Chapitre 7: là où notre monde par en vrille

Plusieurs semaines c'était écoulé depuis ce fameux jour, et nous étions désormais au milieu des vacances d'été. La canicule était tombé quelques jours plutôt et depuis je passait la plupart de mes après-midi à l'intérieur, lisant ou jouant aux dames avec Emilie. J'avais toujours aimé joué aux dames avec elle, même si je préférais les échecs, ça avait quelque chose de reposant d'apaisant même. Luc se joignait souvent à nous pour commenter nos parties ce qui était assez comique.

Aujourd'hui les plus hautes températures étaient attendu et l'hôpital c'était donc replier sur lui même, incitant ses habitants à ne pas sortir.

Vers vingt-et-une heure trente alors que je lisais un livre que la mère de Clara m'avait prêté, une alarme sonna. Une alarme étrange, qui ne me disait rien qui vaille.

Je regardais par ma fenêtre et c'est là que je les vis, des flammes, consumant la salle d'en face de plus en plus rapidement, et des personnes en tenues noirs dont je n'arrivait pas à distinguer le visage, se précipitant vers la sortie de la pièce.
Et merde ! Je venais d'apercevoir un symbole de couronne sur la manche d'un des individus. Cela signifiait qu'il venait de la part du Royaume. Le temps que je reprennes mes esprits, j'entendis des bruits de pas dans le couloir se rapprocher de ma chambre. J'avais oublié que l'issu qu'ils avaient pris menait droit sur moi.

Dans un élan de folie je sortis de ma chambre, les sbires s'approchant de moi, suivis de près par les flammes. Elles gagnait du terrain à une allure hallucinante. Elles étaient comme possédé. Malgré l'appréhension je ne pus qu'être hypnotisé et tétanisé par la beauté dévastatrices qu'elles possédaient, me rappelant de mauvais souvenirs. Ma respiration s'accéléra soudainement, réalisant la situation dans laquelle je m'était fourré et mon corps se tétanisa, pris de peur, je ne voulais pas revoir des flammes, ni des brûlures, plus... jamais.

Mais quand l'un des intrus passa près de moi en courant, je me rendit conte, que désormais il fallait courir, mon début de crise de panique n'avait pas arrêter la progression des flammes, qui bien au contraire étaient plus près que jamais. C'est ainsi, en reculant d'un pas tremblant, que je sentis ma vu ce troubler et percuta une présence derrière moi. Mes yeux me brûler atrocementnt, je commençais à tousser et mes jambes tremblées comme deux feuilles. Je me baissais afin d'être plus près du sol et de l'air frais, mais mes yeux étant fermés je réussis juste à m'étaler par terre. J'entendais des gens, des mots, mais je ne saisissait pas le sens ni les voix, la douleur empirer et je sentis une larme dévaler ma joue, ce qui n'arrangea rien. Résignée, je me recroquevillai sur moi même, espérant juste que ce n'était qu'un mauvais rêve.

Au bout de ce qui me sembla durer une éternité, la douleur se calma, l'air redevint respirable et je supposais que les pompiers étaient arrivés et avaient éteint le feu, du moins je l'espérais.

Je me relevais lentement, désorienté dans le monde vivant autour de moi,comme une masse mouvante ne s'arrêtant jamais, je me sentais au ralentis, ou alors le monde était il en accéléré ? Je n'en savais rien, j'étais comme déconnecté. J'aperçus une silhouette flou s'approcher de moi, plus elle était près, plus je la voyais nettement.

- Justine ? Ça va ?
- Oui Emilie, oui oui ça va. Enfin je crois. Il c'est passé quelque chose d'étrange.
- Oui je l'ai sentie aussi. Viens avec moi, Adoni veut nous voir.
- D'accord. Je la suivis docilement ne faisant aucun commentaires.

*

Quelques heures plus tard le docteure Adoni nous avait examinés - Emilie, Clara ( qui nous avait attendu devant le bureau) et moi- sous toutes les coutures avant de nous livrer sont bilan.

-Je crois que c'est une mutation, on entendait des mouches volées. Par exemple toi Clara, j'ai observer une chose bizarre sur ton dos, on dirait un espèce de nouveau membre, toi Justine, tes yeux, je croit qu'ils ont été contaminé par quelque chose, leur couleur est plus clair et le blanc de tes yeux jaunis un peu il me semble, et toi aussi Emilie, on dirait qu'une masse étrange c'est placé sur ton épaule, réduisant tes mouvements. Bien sur il faudra faire des examens complémentaires pour vérifier tout ça mais j'en suis malheureusement presque certaine.

Je n'avais même pas regarder les filles pour observer leurs réactions, j'étais juste là, assise sur ma chaise, flasque et abattue, même si ce n'était pas une mutation ont risquée toutes les trois d'apprendre quelque chose quoi changerait notre vie....

- Sans vouloir être indiscrète, vous avez l'air de vous y connaître en mutation, l'interrogea Clara.
- Effectivement je m'y connais un peu. Vous n'êtes pas nos premiers cas et sans doutes pas les derniers. Mais d'habitude ça ne s'attaque pas ainsi, au corps et à sa santé, c'est juste soit une condamnation à mort ou bien un léger!re modification de l'ADN ou encore une mutation physique et complète. Désolé si je vous effraies, mais il faut vous préparer à toutes les éventualités et on ne pourra plus vous cacher ce qui se passe encore longtemps.
- D'accord acquiesça Emilie bien vite suivie par Clara et moi. Je ne releva pas le fait qu'ils nous cachaient des choses, j'avais eu ma dose d'informations pour la journée, voir pour la semaine.

*

Nous avions fait nos examens complémentaires dans la foulées étant encore éveillée malgré l'heure tardive. Et en voyant la tête que faisait Agathe en revenant dans son bureau, je sus que, quelques que soit la natures de ses informations, ce n'était pas des bonnes nouvelles.... Elle secoua négativement la tête devant le regard plein d'espoir de l'optimiste Clara et nous pria de nous asseoir.

- Comme vous avez pu le deviner, ce sont belles et bien des mutations. Elle nous laissa quelques secondes, le tant que l'information s'affirment dans notre esprit puis poursuivis, mais ne vous enfaite pas trop, à la base, pour éviter tout « débordement » nous avons créer une « unité » spéciale où vous pourriez vivre et étudier le temps de trouver une solution ou du moins que vous appreniez à vivre avec. Je sais que c'est dur à encaisser, mais je ne peux pas faire autrement, croyez moi. Bonne fin de nuit et bonne journée les filles.
- Bonne nuit Agathe. Répondit on en coeur.

*

Nous nous étions séparées dans un silence de cathédrale, sans doutes toutes en pleine réflection intérieur.

En retournant me coucher, je m'imaginait les conversations que nous allions sûrement avoir et les questions de Luc, la journée allez être longue.

La RésistanceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant