Chapitre Unique

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Yo, c'est Solal. Petit avertissement : ceci est mon premier récit érotique lesbien et je sais qu'il est encore assez maladroit. Soyez indulgent.e.s et commentez ! XD

P.S. : La petite étoile à droite n'est pas faite pour faire jolie ! Merci bien ! XD


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• ORANGES AMÈRES •

M et toi venez d'enfin emménager en plein Paris. Votre balcon donne sur la Tour Eiffel et déjà, ton esprit enamouré imagine les douces nuits de tendresse que tu passeras, serrée contre M, une tisane à la main, un plaid sur vos épaules.

Parlons-en de M tiens ! Cette femme si forte, si douce, si belle ! Cette femme que tu aimes plus que tout ! Sans prévenir, elle s'appuie sur sin coude pour passer au-dessus de toi, se pressant délicieusement contre ton corps.

Elle embrasse ton front, puis ton nez et tes deux paupières. Ses lèvres frôlent ta joue droite, puis ta joue gauche. Il te parait une éternité avant qu'elle ne baisse la tête et t'embrasse tendrement. Pourtant, ce baiser te laissa sur ta fin.

Très vite cependant, sa langue trace son chemin jusqu'à ton lobe d'oreille que ses dents égratignes avant d'embrasser la peau tendre et sensible juste derrière ton oreille, te faisant frissonner. Sa bouche glisse le long de ton cou, mordillant et suçant ta peau rougie.

Toute à sa bouche, tu ne remarques pas ses mains qui passent sous ton sweat. quelle surprise pour M lorsqu'elle pose ses mains sur ta poitrine : il semble que ut n'as pas de soutiens-gorge.

"Coquine~ Susurre-t-elle, d'une voix taquine"

Et si jusqu'à présent, M est restée plutôt tendre, la passion prend maintenant le dessus. D'un geste expert, M t'enlève ton haut, dévoilant ta poitrine aux tétons dressés d'anticipation. Sa bouche chaude en saisit un, tantôt suçant, tantôt mordillant. M plonge deux doigts dans ta bouche, doigts que tu suces avec vigueur.

Tu fermes les yeux en suçant avec application. M retire ses doigts dans un petit "ploc !". Tu plonges à ce moment, ton regard dans le sien, brûlant de désir. Tu déglutis avec difficultés. Elle ne te quitte pas du regard et ce n'est que lorsqu'elle pose ses doigts humide sur la boule de nerfs ultra-sensible qu'est ton clitoris que tu t'aperçois que M t'a mise nue. Tu trembles face à cette constatation : tu es nue et elle non, elle te domine.

Elle pince une demie seconde ton clitoris, envoyant des décharges de plaisir dans tout ton corps, te laissant haletante. Ses doigts glissent, s'enfoncent en toi sans prévenir. Tu te cambres, rejetant ta tête vers l'arrière et crispant dans tes mains les draps de satin pourpre. M rit, d'un rire clair mais profond, des petits gémissements que tu laisses échapper. Elle redouble d'ardeur, t'embrassant à en perdre l'haleine et t'écartant délicieusement de ses doigts. La voilà qu'elle trouve ton point G, plusieurs fois. Ta vision devient brumeuse et ton esprit s'envole loin. Pourtant, dans un éclair de lucidité, tu tentes de l'arrêter, saisissant son bras : tu ne vas pas tarder à venir.

M sourit, satisfaite. L'orgasme est fulgurant. Tu jouis dans une petite coulée de cyprine, tachant les draps propres.
Tu mets biens cinq minutes à t'en remettre. Plongeant ton regard dans le sien, tu te redresses, frôlant le corps allongé de ta compagne. Tu la déshabilles avec toute la sensualité du monde, le regard joueur.

Une fois fait, tu te recules, admirant son corps si parfait à tes yeux. Tu l'admires, comme tu ne l'as jamais fait, comme si c'était la première fois. 

"Tu es magnifique, dis-tu en murmurant."

Ta bouche parsème le corps de M. Tu fais glisser tes lèvres le long de son cou, mordillant la peau juste au-dessus de sa clavicule. Ta langue se faufile jusqu'à son nombril, où tu t'arrêtes un instant, relavant le regard et te réjouissant de son visage écrevisses.

Tu es maintenant presque à genoux entres ses cuisses et tu la torture avec d'éphémères caresses. Mais tu ne tiens pas, ce serait mentir de dire que ses gémissements ne te faisaient aucun effet. Ta bouche reprend son trajet, rencontrant son clitoris palpitant. Tu le captures entre tes lèvres, le caressant de ta douce langue mordant de tes blanches dents.

Elle se cambre, murmurant ton nom comme si c'était celui de Vénus, la déesse de l'Amour. Tu fais pénétrer ta langue délicatement, suçotant ses douces lèvres d'en bas. Tu mouilles, excitée, alors tu fais glisser tes doigts jusqu'à te propre chatte et tu te mets à te masturber en cadence avec ta langue, rentrant et sortant sur le même tempo.

Vous vous délivrez en même temps, M criant son amour aux cieux. Tu te retrouves avec le goût de ton amante sur les lèvres : c'est amer, comme une orange.

Pantelante, M se penche vers toi pour t'embrasser. Un baiser doux et tendre, contrastant avec la passion des dernières minutes. Vous vous couchez à présent, vous chuchotant des mots d'amour comme pour ne pas briser la bulle de paix vous entourant.


.*°o00o°*.

by Solal Sirius Stanislas
⇢À la plus grosse pédale de la Terre.

ORANGES AMÈRES ~ récit lesbienOù les histoires vivent. Découvrez maintenant