Chapitre 22: Maledikteur 2

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Le lendemain de ma petite farce chez Alya, je suis allée faire mon rapport à Gabriel qui l'attendait de pied ferme. Nous avions beaucoup de sujets à aborder aujourd'hui.

- Votre idée était remarquable Lena, je l'admet. J'ai pu ressentir toute sa colère, si intense. Vous vous êtes surpassée cette fois ci, dit il fièrement, le sourir au lèvre.

- Contente que cela vous ai plu Monsieur. L'important est que cela est servit votre cause.

- Et en plus elle se croit suivit en permanence alors que j'ai fait disparaître le sentimonstre comme je l'ai créé, d'un claquement de doigt. A présent nous pouvons nous concentrer sur des sujets plus important comme la date de notre combat final.

- L'ultime combat du mal vous voulez dire ?

- Exact. Que dites vous du 10 juillet ? Suggéra t-il en regardant le tableau de sa femme.

- Je trouve que la date du 14 serait plus judicieuse, repondis-je en croisant mes bras.

Gabriel hocha légèrement la tête.

- Et pourquoi ? Demanda t-il froidement.

- Nous voulons que le gardien soit sous pression et pour cela nous avons besoin que les parisiens aient peur et plus ils seront présents, plus le gardien se sentira dans l'obligation d'agir. Nous pourrions donc profiter des célébrations du 14 juillet, pour pouvoir accomplir notre plan.

Il ne répondit pas.

- Qu'en pensez vous Monsieur Agreste ? Je ne vois vraiment pas en quoi le 10 serait une meilleur date, sans vouloir vous vexer, dis je pour le relancer.

Il se retourna d'un mouvement sec, le visage serré, comme si il allait prononcé un argument qui allait faire pencher la balance en sa saveur.

- Mais le 10 est plus tôt que le 14 !

- Vous avez attendu tout ce temps Monsieur, alors ne pourriez vous pas attendre 96 heures de plus ?

Je lui tenais tête et il n'aimait pas ça.

- Je... il n'avait pas réellement d'argument. C'est un fait, commença t-il, je n'avais pas penser à ses tous ces détails. Je suppose que votre idée est plus juste que la mienne après tout... dit il en regardant vers le sol, la mine déçu.

Nathalie, qui était présente dans le bureau tapat du point sur la table avant de lancer un regard désaprobateur vers son Patron.

Nous l'avons regardé, moi je ne comprenais pas son geste et lui répondit simplement par un sourir froid tout en semblant comprendre la réaction de son assistante.

- Bien Lena, je ne vous retiens pas plus longtemps. Bonne chance.

- Bonne chance ? Demandais-je perplexe.

- Pour votre brevet, rétorqua t-il simplement. J'espère que tout ira bien pour vous

- Je l'espère aussi Monsieur, merci.

J'ai pris mon sac puis je me suis dirigée vers la porte, mais une question me trottait dans la tête.

- Monsieur ? Vous ne lui direz rien n'est ce pas ?

- De quoi ? Demanda t-il interloqué.

- Les notes du Brevet, vous ne lui direz rien quand vous les aurez, car je sais bien que vous les aurez avant nous ?

Il regarda Nathalie avant de me répondre.

- Vous êtes toujours aussi perspicace.

- S'il vous plait, ne dites rien à votre fils, laissez le les découvrir par lui même, dis je en refermant la porte avant de quitter le Manoir des Agreste pour le collège.

Miraculous: Le Héros de La Dernière ChanceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant