Under the Oak tree

Chapitre 18: Son amour pour elle (2)

Max pressa son visage contre son épaule et attendit que la sensation intense passe. Ses hanches tremblaient, quelque chose de chaud ruisselant entre ses jambes

« Chut, bon travail. Vous avez très bien réussi. Il lui murmura, comme s'il apaisait un enfant.

Elle se sentait molle sur les draps, incapable de sortir du pic dans les nuages. Il jeta rapidement ses vêtements sur sa tête et se leva du lit. Elle était certaine que ce n'était pas la première fois qu'elle le voyait, mais au moment où elle a vu son corps briller dans l'obscurité si raisonnablement, un mince frisson s'est détaché de sa poitrine.

La beauté de l'homme devant elle pénétra son cœur.

« Tenez-moi. »

Il retourna rapidement au lit et se baissa sur son corps. Quelque chose a commencé à frôler lentement ses cuisses et plus près de ses pétales. Elle serra ses bras autour de son cou, son corps chaud et battant pesant lourdement sur lui-même. Un sentiment si étrange était répandu.

La loi d'aujourd'hui et d'avant est-elle vraiment la même? pensa-t-elle. La longueur chaude qui entrait dans son intérieur la sentait toujours inconfortable comme la première fois, mais ce n'était pas aussi douloureux qu'elle s'en souvenait.

« Juste un peu plus ... » Il marmonna, la caressant dans le dos.

La lumière vacillante au chevet projetait une ombre sur son visage, où des perles de sueur sur le front de l'homme coulaient le long de ses joues comme des perles et sur le bout de son menton. Les perles brillaient sur sa peau lisse et dorée éthérée. Elle tendit involontairement la main et la toucha et les yeux de l'homme tremblèrent.

« Putain! »

Il s'enfonça lourdement dans un mouvement fluide, la gifle audible de son corps contre le sien attrapant Max par surprise. Essoufflée par la pression soudaine, elle se tordit et se resserra autour de lui.

Un gémissement douloureux sortit de sa bouche. 

« S'il vous plaît ... Moins fort.

« Je, je suis désolé ... » Elle leva les yeux vers lui avec des yeux au point de pleurer.

Elle se sentait comme une pâte d'argile moulée à lui, ajustée dans sa forme alors qu'elle essayait de se tortiller. Était-il même acceptable de sentir quelqu'un d'aussi proche? Leur respiration rugueuse, leurs battements de cœur lourds, les températures accablantes de leur peau humide... elle ne pouvait pas dire qui était à lui et qui était à elle.

La seule chose que Max a ressentie à ce moment-là était comme si son corps et lui étaient transformés en un seul.

« Je me sens si bien ... » Riftan gémit alors qu'il se rapprochait, plus profondément le long de ses parois humides, la sueur tombait sur ses épaules dribblant le long de sa poitrine et jusqu'à son corps.

Max leva les yeux tremblants vers son visage effrayant et endurci. Au premier coup d'œil, elle a vu les plis de ses sourcils comme s'il portait de la douleur et elle ne pouvait que penser, est-ce vraiment bon?

« S-se sentir bien? »

Quand la question sortit de ses lèvres, la bouche de l'homme se tordit en rire.

« Pourquoi pensez-vous que je m'accroche à une femme qui fait cela jusqu'à ce que je m'évanouisse aujourd'hui? »

Il saisit sa hanche, étirant ses jambes pour un meilleur accès et avança avec force. Alors que la sensation d'une masse de chair chaude et palpitante glissait à nouveau à l'intérieur, elle prononça un son douloureux, la bouche grande ouverte. Chaque fois que son corps sortait, elle respirait, et quand il repoussait à nouveau, elle essayait de rester calme.

Riftan murmura d'une voix tendue, expirant une courte respiration.

« Je suis comme un fou... Je n'avais pas l'intention de faire ça. J'allais juste vous laisser vous reposer. Mais vous en sous-vêtements... oh! »

Son ventre dur pesait lourdement sur elle, alors que leurs corps trouvaient un contact intime entre les autres. Chair chaude contre chair. Les ongles de Max avaient depuis longtemps trouvé leur chemin sur son dos pour se gratter la peau dans un effort inconscient pour étouffer le plaisir intérieur.

« Moi aussi, j'essaie de supporter... Je l'ai fait... » Ce qu'il disait n'était plus passé entre ses oreilles.

Son corps était le capitaine de ses sentiments. Ses gestes les vagues rugueuses deviennent plus démêlants, plus durs, la poussant latéralement.

Il était arrivé au point qu'il lui était impossible de savoir quand elle devait se détendre et renouveler ses forces. Son corps est devenu raide avec son incapacité à suivre ses mouvements mercuriels. Il a pris de la vitesse, la conduisant au point de non-retour, et a enroulé les jambes de Max pour trembler sous lui.

« Maxi ... » il ronronna, ses yeux étaient à peine ouverts alors qu'elle le regardait.

Alors qu'elle sentait sa grande main serrer sa joue, elle pensa, pourquoi m'appelez-vous de cette façon? Son cœur sautant un battement à la solennité sur son visage.

Pendant un moment, il se sentit comme un proche confident. L'homme enroula ses mains autour de son visage et l'embrassa frénétiquement alors que leurs corps se moulaient en un seul. Elle sentit son énorme corps trembler comme un étalon, se raidir. Un homme qui n'en pouvait plus, pourtant, persistait encore à en avoir plus.

Alors qu'il atteignait son apogée, son emprise sur ses jambes devenant plus puissante avec ses poussées voraces, une chaleur délicieuse remplissait soudainement sa région inférieure.

Les picotements voyageaient de tout son corps – une sensation qu'elle avait ressentie une deuxième fois, mais qu'elle ne trouvait toujours pas assez familière. Noyée dans un état second, ses poings s'affaiblissent involontairement, se transformant en une étreinte sur son dos en sueur alors qu'il s'affaisse sur elle avec son souffle rauque. Elle pouvait sentir son cœur palpiter aussi vite que le sien contre sa peau.

« J'ai essayé d'être doux cette fois ... »

Il haleta et marmonna, mais elle pouvait à peine lever ses paupières pour le regarder. Les yeux noirs brillaient comme une bête curieuse dans le noir alors qu'il dribblait de petits baisers sur ses épaules et son cou. Il s'attarda en elle, ne voulant pas séparer leurs corps qui étaient devenus un.