Cette sensation, est ce de l'angoisse ?
Quelle est cette chose qui me froisse
Je ne veux plus y penser
Mais rien ne m'arrête dans ma lancéeAidez moi s'ils vous plaît
Recousez moi ma plaie
De chair et de sang j'ai vécu
Cette femme j'enviais son ***C'est une torture, pourquoi ?
En amour on a pas le choix
On est attiré comme des aimant
Si puissants, c'est tellement blessantLe destin nous foudroie
Nous pointe du doigt
On se sens coupable
Que ces choses sont impensablesPourtant ces pensées nous rattrape
Rien ne leur échappe
A ces petit démon coquins
Qui s'infiltre dans notre quotidienJe ne veux pas savoir
Je ne peux pas le croire
Aimer une femme quand on est une femme
Le reconnaître c'est se planter une lameDésolé je ne peux plus continuer de vivre
Je préfère mourir, boire à en être ivre
Oublier ce douloureux penchant
C'est la mort qui approche a pas lentJe ne veux pas que ça recommence
Ce passé doit passer sous silence
Vais je en être capable
Je me sens si vulnérableJe ne peux plus dire un mot
A cause De cette accumulations de maux
Je n'en peux plus de souffrir
Je veux juste en finirÉcrit le 15/11/21
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Censure sentimentale
PoetryJ'ose enfin poser sur le papier (ou l'écran) ces sentiments subversifs. Être attirée par son enseignante alors qu'on est son étudiante est difficilement acceptable, surtout lorsqu'on a été éduquée dans une famille conservatrice. Sans cesse tiraillée...