💕Partie 8💕

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       ***Dans la peau de Aïcha***

Une semaine était passer après le décès de mon père Allah y rahmo. on étaient aller l'enterrer au Maroc dans le cimetière où sont enterrés son père et d'autres membres de sa famille. Les funérailles s'étaient bien passés hamdoulillah, toute la famille de mon père était là pour le pleurer.

Le lendemain de l'enterrement de mon père je suis rentrée chez moi en France avec ma grand mère et ma tante ainsi que ma cousine.

J'allais rentrer chez moi mais ma tante m'en empêche en me tenant par le bras

-Khalti: Eh tu fais quoi là ? Ce n'est plus chez toi ici.

-Moi: Quoi ?

Je la regarde avec incompréhension qu'est-ce qu'elle vient de dire ?

-Khalti: T'as bien entendu, c'est pas chez toi ici alors je ne vois pas ce que tu fais là

-Moi: Je te rappelle qu'ici c'est chez mon père donc chez moi aussi, mon père m'a laisser cette maison et je vais y vivre

-Khalti: Ton père ne t'a rien laisser du tout, il n'a pas écrit de testament disant que cette maison te revenait, non il n'a rien laisser alors je pense que cette maison me revient obligatoirement de droit vu que je suis sa sœur

-Moi: Et moi je suis sa fille je te rappelle

-Khalti: Tu n'est pas digne d'être sa fille !

Ma grand mère qui était à côté et qui nous écoutait depuis le début prend la parole

-Jedda: Comment tu peux lui dire ça Fatima ?

-Khalti: J'ai raison maman

-Moi: Co..comment tu peux me dire ça Khalti ?

-Khalti: Ne m'appelle pas Khalti ! Je ne suis pas ta Khalti ! Maintenant tu vas t'en aller d'ici car cette maison est celle de mon frère et ça me revient de droit

J'avais les larmes aux yeux, comment elle peut me traiter de la sorte ? Comment ? Qu'est-ce que je lui ai fais pour mériter ça ?

-Moi: Pourquoi tu me traite de cette façon ? Je suis ta nièce bon sang !

-Khalti: Tu n'est pas ma nièce ! Tu n'est personne pour moi maintenant dégage d'ici

-Jedda: Fatima ne lui parle pas comme ça. C'est la fille de ton frère donc ta nièce que tu le veuilles ou non, tu n'a pas le droit de la chasser de la maison de son père

-Khalti: Maman s'il te plaît ne te mêle pas de ça, si toi tu veux repartir au bled, repars mais moi je vais rester vivre ici avec ma famille dans la maison de mon frère

-Moi: Pourquoi tu me déteste dis-moi ? Qu'est-ce que je t'ai fais à la fin ?

-Khalti: Ne m'appelle pas Khalti. T'es une meurtrière rien de plus, d'abord tu provoque la mort de ma fille cadette en la noyant et maintenant tu provoque la mort de ton propre père en l'abandonnant mais quel genre de personne es-tu ? Tuer ma fille ne t'as pas suffit, il fallait que tu tue aussi mon frère sorcière que tu es ! En en plus de ça elle ose me demander ce qu'elle m'a fait.

Mes larmes coulaient sans cesse sur mes joues. Comment elle peut me traiter de meurtrière ? Sa fille je ne l'ai pas tuer elle s'est noyer et son corps a été emporté par la mer, si au moins c'est moi qui était morte à sa place aujourd'hui je n'aurais pas eu à supporter toute sa rage et colère. Ses mots sont comme un couteau tranchant qui me transperce le cœur. Comment peut-elle me parler de la sorte et me sortir toutes ses horreurs ? Je suis de son sang tout de même.

-Khalti: Maintenant tu vas t'en aller d'ici. Cette maison m'appartient à présent, elle n'est plus à ton père ni à toi. Va t'en maintenant salle traînée !

De gouvernante à femme d'un grand homme d'affairesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant