Chapitre 2: Cette société nous a donc tous tué !

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Vendredi 8 juin //PDV April //08h

Cela faisait maintenant 3 mois que Adam m'avait quitté après m'avoir annoncé qu'il m'avait tromper. Et cela faisait maintenant 3 mois que je recevais constamment des insultes de la bande de Leila et d'elle même. Elle n'hésita même pas à dire que mon père était parti parce que ma mère m'attendait, ou alors que je n'étais qu'un fille de p*te ou bien que mes frère, les jumeaux, étaient gays. Elle prenait un malin plaisir a me rabaisser dès qu'elle le pouvait. Je m'étais vriament renferméé sur moi même et ne parlais presque plus, même à ma famille. Je pense que ça devait être dur pour eux car nous avion toujours été soudés. Mais j'avais trouvé le moyen de faire chapper cette douleur, je me mutilais, je ne suis pas suicidaire car pour moi a vie vaut d'être vécu. ais je me disais souvent que je serait mieux, là haut avec ma meilleure amie. Mais peut être voulait elle que je vive encore car quelque chose me poussait à ne pas e faire, pourtant j'en avais tellemnt envie des fois. Peut être faisais-je ça pour ma famille, je n'en avait pas la moindre idée.
J'arrivais au lycée avec les jumeaux, je n'avais pas parler du trajet comme je le faisais depuis 3 mois. Cette après midi je n'avais pas cour et avait prévu de passer l'après midi avec Beau pur me changer les idées.
Je marchais dans le couloir en baissant la tête, tout le monde riait de moi et je ne le supportais plus. La cloche sonna et j'allas m'assoir à la table du fond, seule comme je le préfairais. Leila et sa bande rentra dans la classe et ils me pointèrent du doigt et rirent. Je soupira et sorti mes affaires. La matinée rima avec cours ennuyeux et récevoir des insultes ou des moqueries.
La cloche de midi sonna et je sortit de la classe. En sortant dans la cour du lycée, une main m'attrapa par l'épaule et me projetta au sol. Mon sac et mon skate s'éparpillèrent par terre. C'en était de trop. Je leva la tête en furie et rencontra le regard vicieux de Leila. Je me leva et la regardait droit dans les yeux, aujourd'hui, j'allais me battre, me défendre.

Leila: "Les merdes ne regardent par leur reine donc baisse les yeux !"

Moi *en criant*: "Alors pourquoi me regardes tu !"

Leila *rigolant*: "Oh, mon esclave se rebelle que c'est amusant."

Tout le lycée était maintenant autour de nous.

Leila: "Heureusement que ton père s'est barré quand il en était encore temps car sinon il aurait pleuré tellement sa fille est une moins que rien, oh je plains vraiment ta mère et tes frères, oh les pauvres..."
Je me jeta sur elle lui assenant des coups partout où je le pouvais mais ne répondit rien à ses insultes, la violence suffisait. D'un coup quatres bras m'attrapèrent et m'éloignèrent d'elle, me débattais.

Luke: "Calme toi !"

Il me regardait droigt dans les yeux. Il ne m'avait jamais vu autant énervé.

Leila: "Oh c'est mignon, les deux gays ont pitié de leur soeur..."

En entandant ses paroles, je m'extirpa de l'emprise mes frères et lui pris les cheveux, je les tirais tout en lui donnant un coup dans le ventre pour qu'elle se taise.

Moi: "Ca fait tellement longtemps que je rêve de faire ça ! Je te préviens si tu redis une seule chose sur ma famille je t'arrache la tête et la plante sur un piquet que je mettrais dans mon jardin ! Cette société nous a donc tous tués, plus personne n'a de personaité ! Pour qu'une fille soit belle faut qu'elle soit mince et maquillé comme une voiture volée, ne manger que de la salade et mettre des jupes plus courtes les unes que les autres ! Et vous les mecs, vous devez couchez avec le plus de meufs possible et avoir vos bijoux telement gros que vous ne pouvez plus mettre de pantalon !"

Leila me regardaut ahurie que des paroles comme celle-là puissent sortir de la boche d'une fille qui ne parlait jamais. Le directeur arriva, il ne manquait plus que ça.

Le directeur: "April Brooks imédiatement dans mon bureau !"

Je releva la tête, je m'aprettais à le suivre, mais je me retint et lui répondit.

Moi: "Non, je ne viendrais pour me faire punir alors que je me défends parce qu'on me harcèle depuis 3 mois, non je ne viendrais excusez moi oh et puis non oubliez ces excuses car vous ne valez pas mieux qu'eux !"

Je designa Leila et sa bande.

Moi: "Tant qu'ici on est riche et qu'on a des airbags tellement gros qu'on ne voit que ça on est autorisé à tout faire ! Mais les autres vous en avez rien à carrer ! Oh et vous pouvez me virez je ne reviendrais pas ici de toutes les manières !"

Le directeur me regardais sous le choc ainsi que tout le lycée, et je ne vous décris même pas la tête de mes frères Jai et Luke. Ils avaient d'ailleurs été rejoints par James et Daniel, fin Skip, deux membres de leur groupe avec qui je m'entendais vraiment bien, c'étaient un petit peu mes meilleures amis. Je pris mon skate et sortit du lycée, je rentrais chez moi. En me retournant je vis Luke et Jai au téléphone, un avec Beau et l'autre avec Maman je suppose. Je m'en fichais, j'allais encore me faire engueuler alors que j'étais la victime dans tout ça...
Je sonna à la porte et Beau ouvrit, énervé, et me laissa entrer. J'enlevis mes chaussures et me jetta sur le canapé.

Beau: "Tu n'aurais pas quelque chose à me dire !"

Il me lança un regard noir, je savais qu'il était énervé contre moi.

Moi: "Oui, je te dirais tout, je vous dirais tout, appelle Jai, Luke, James et Skip je vais attendre qu'ils arrivent pour tout vous raontez"

Le visage de Beau s'attendrit. Je ne me rendais même pas compte que je pleurais, je ne pouvais plus empêcher ces larmes de couler.
Quand ils arrivèrent tous, ils s'assirent dans le canapé et moi sur la petite table.

Moi: "Bon alors tout à commencer quand Adam m'a quitté, il me trompait avec Leila depuis pas mal de temps et m'a quitté lui disant que je ne l'ui arrivait vraiment pas à la cheville. Je n'étais pas triste, ni énervée, je ne ressentais rien.

Je ravala difficilement des larmes. Je leur racontait tout, tout ce qui c'était passé en détail. Je pleurais car j'étai tellement triste de ne pas avoir eu le courage de leur dire avant. Je remonta alors mes manches et ils découvrirent mes cicatrices certaines n'était presque plus visibles, d'autres fraîches d'hier soir. Je gardais la tête baissée sur me cicatrices et leur dit aussi que des fois j'avais eu l'envie de me suicider mais que quelque chose me retenait à le faire, surement eux. C'est alors que je sentis des larmes tomber sur mes bras, ce n'était pas les miennes. Je releva la tête et vit Beau en train de pleure, je ne l'avais jamais vu pleurer. J'avais l'impression de recevoir un couteau en plein coeur en le voyant pleurer puis je me rendis compte qu'ils pleuraient tous. Je m'en voulais de leur avoir fais subir ça. Une multitude bras m'entoura alors: un calin collectif, ça me fit sourire.

Beau: "Désolé de na pas avoir vu avant que tu n'allais pas bien , que tu voulais te..."

Moi: "Ta gueule, tu n'y es pour rien, vous n'y êtes pour rien alors ne vous en voulez pas ! Faites le pour moi s'il vous plait ! Par contre je vous demanderais juste un petit service, de me faire profiter de la vie et de me redonner le sourire, vous en êtes capable !"

Ils me regardèrent et rigolèrent.

James: "Bas dis donc même en étant triste t'arrive a être vulgaire !"

Ca me fit rire, et on rigola tous ensemble. Voilà, ils me redonnent déjà le sourire alors qu'il n' ya à peine  minutes je pleurais.

Skip: "Perso moi je retourne pas en cours cette aprem je vais squatter votre baraque ! Qui reste avec moi ?"

Jai: "Puis vous avez qu'à dormir ici cette nuit et on passera le weekend ensemble !"

Ils aquiesèrent tous et moi aussi vu que je n'avais pas cours.

Skip: "Par contre je crève de faim ! On commande des pizza ?"

Un oui collectif se fit entendre. Beau s'occupa de commander les pizzas et on attendit.

Voilà, encore un chapitre assez court je trouve mais bon... Un moment difficile pour April, mais sa famille est là pour elle. A vous d'essayer dimaginer la réaction de sa mère. J'espère que ça vous plait et encore excuser moi pour les fautes d'orthographe ou de frappe.  ♥♥

April's StoryOù les histoires vivent. Découvrez maintenant