Mariage sur contrat. (Dans les bras de son altesse T2) Terminée.

Dix-sept

Elles furent accueillit par des exclamations, des applaudissements. La jeune femme mit sa main devant son visage trop aveuglé par tous ces flash de caméra.

- Mon Dieu, comment ce fait-il qu'ils soient déjà présent. Murmura la jeune femme pour elle même.

Les journalistes commençaient déjà à s'attrouper autour d'elles en les bombardant de question. La main de Sarah était toujours entre ses doigts mais ce contact se rompit quand ces parents arriva près d'elle et la prit aussitôt dans leurs bras.

Elle se sentit au même moment soulevée et se retrouva bientôt plaqué contre le torse dur de quelqu'un et ce parfum, la jeune femme le reconnut aussitôt, c'est celui de son mari. Maria se serra encore plus contre lui puis glissa sa tête dans son cou afin de mieux s'imprégner de son odeur viril.

- J'ai eu peur. Déclara Xavier dans un souffle, en glissant une main dans son dos et de l'autre caressa ces cheveux pour essayer de calmer ces légers tremblements.

- Je ... moi aussi. Répondît Maria en relevant son visage vers lui. Et tout naturellement, comme si c'était la chose la plus évidente, le milliardaire captura les lèvres de la jeune femme d'un baiser doux, léger et protecteur.

- Hum.....Veuillez bien m'excuser mais madame on doit vous examiner pour savoir si vous n'avez rien. Annonça un jeune homme avec, vêtu l'uniforme des pompiers.

- Je n'ai rien, je n'ai pas été blessé ni même frappé. Vous devriez l'occulter elle.

- Elle est déjà entre les mains d'autres pompiers avec sa famille, mais j'insiste pour que vous...

- Il a raison, même si tu ne saignes pas j'aimerais en avoir le cœur net. Appuya le milliardaire en continuant s'enlacer la jeune femme.

- Bien. Abdiqua Maria

Ça fait quelques minutes que Maria était assise derrière ce camion se faisant ausculter par au moins quatre pompiers à côté de son mari.

- Vous n'avez effectivement rien. Mais je vous conseille de vous reposer quand même.

Elle répondit un vague merci et s'éloigna d'eux.

- Tu vas où? Demanda Xavier.

- Je dois la voir

- Qui? Demanda Xavier perdu.

- Sarah, l'adolescente qui état avec moi.

- Maria...

- Non, tu ne peux pas comprendre, il faut que je la vois. Expliqua Maria en haussant le ton.

- Maria.. hurla soudain quelqu'un d'une voix aiguë.

- Sarah

Bientôt elle se retrouvèrent dans les bras l'une de l'autre.

- Je pensais que t'étais partie sans me dire au revoir.

- Jamais je n'aurais fait une telle chose. Je t'avais bien dit que quand on sortira de cette situation on échangera nos numéros. Je comptais pas partir sans le faire.

- T'es admirable. Répondît spontanément Sarah en l'embrassant sur les deux joues.

Ils échangèrent leurs numéros.

- Excuse moi j'aimerais parler avec tes parents, tu veux.

La jeune adolescente bougea sa tête de haut en bas comme pour donner son accord à Maria. Elle la laissa pour quelques minutes avec Xavier et fit signe à ses parents de la suivre un mètre plus loin.

- Je voulais vous parler de votre fille. Annonça la jeune femme de bût en blanc face à eux.

- On aimerait sincèrement vous remercier d'avoir sauver notre petite Sarah. Débuta la mère.

- Combien vous en voulez? Votre prix sera le nôtre? Annonça le père en faisant un geste comme pour prendre quelque chose dans sa poche, peut être un échiquier.

- Vous faites fausse route. Je n'aimerais en aucun cas être récompensé, tout ce qui compte c'est qu'elle est en vie et qu'elle va bien. Je voulais simplement vous parler de son état psychologique. Elle se sent ignoré, méprisé. Elle ne se sent pas aimé c'est pour cette raison qu'elle voulait se jeter dans le vide.

- Oh mon Dieu. Cria sa mère en mettant ses doigts devant sa bouche.

- On ne s'en est jamais rendu compte de cela. Argumenta son père.

- Vous devriez faire plus attention à elle et lui manifester beaucoup plus d'attention et d'affection puisqu'elle en manque cruellement.

- Oh merci, de tout cœur merci. On vous sera éternellement reconnaissant. Annonça la mère de Sarah les larmes aux yeux en tenant les mains de Maria entre les siennes.

- Vous serez toujours la bienvenue chez nous. Et si vous avez un quelconque soucis vous pouvez toujours vous tourner vers nous. On vous doit la vie de notre petite fille. Déclara solennellement le père de l'adolescente. Voici notre carte il y a nos numéros de téléphones respectifs ainsi que notre adresse au cas ou vous voudriez garder contact avec votre fille. Continua t-il en tendant une carte à la jeune femme. La famille Jean Luc.

- Merci

- C'est à nous de vous remercier madame. Déclara t'ils en cœur en la serrant contre eux.

Plusieurs minutes déjà depuis qu'ils étaient dans la voiture vers le chemin du retour. Le milliardaire n'avait pas besoin d'appeler Martin son chauffeur qu'il était déjà là puisque presque toute la ville était au courant de la tragédie quia faillit avoir lieu étant donné que s'était diffusé en direct sur les réseaux  par les gens présent avec leurs smartphones et les journalistes qui étaient arrivé de suite.

La jeune femme s'est endormi de suite après avoir monté dans la voiture le visage tourné vers Xavier, sûrement exténuée par le trop plein d'émotions qu'elle vient d'avoir.

- Maria.... murmura Xavier en la voyant bouger dans tous les sens, comme victime d'un mauvais rêve.

- Ehhh, ça va! Je suis là avec toi, tout va bien ma chérie. Murmura Xavier qui entre temps avait détaché la ceinture de sécurité de la jeune femme pour la ramener près de lui afin qu'il puisse la bercer doucement dans ces bras. Ce qui à l'air de fonctionner puisqu'elle s'est très vite rendormit.