Désir chapitre 4

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Bakugou x Fem!Reader
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« Aide » est un mot de quatre lettres qui ne fait pas partie du vocabulaire de Bakugou.

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En fin de compte, il a accepté de vous rencontrer toutes les deux semaines pour passer en revue les domaines dans lesquels Nariko se débattait et comment il pouvait aider à la maison. Bakugou a quitté la salle de classe avec le sac à dos de Nariko et a erré dans le couloir vers les salles de classe de deuxième année. Il se tenait dans l'embrasure de la porte et regardait Nariko fouiner dans un terrarium avec un bâton. Mme... quel que soit son nom, montrait à Nariko les différents bugs que sa classe étudiait.

Le sourire de Nariko alors qu'elle creusait dans la terre en regardant les insectes interagir lui rappela sa conversation avec Kirishima à propos du camping. Peut-être qu'il pourrait trouver le temps ce week-end pour un rendez-vous père-fille.

« Oh, » grommela-t-il. Nariko se tourna et sourit quand elle le vit.

« Papa, tu dois vérifier ça ! » Nariko l'appela. Bakugou soupira. Il voulait juste rentrer chez lui.

"Une autre fois peut-être. Il est temps de partir », a déclaré Bakugou. Nariko tendit le bâton au professeur et sauta. "Que dis-tu?"

« Merci, Mme Kirihara ! » Nariko sourit.

« N'importe quand », sourit Mme Kirihara en retour. Ses yeux parcoururent le corps de Bakugou de haut en bas, examinant chaque centimètre de peau nue. Bakugou se hérissa et fit sortir Nariko de là. Les vautours. C'était peut-être un héros célèbre, mais le fait que tout le monde s'immisce dans sa vie juste pour avoir un morceau de lui était exaspérant. C'était pourquoi Kirishima était l'un de ses amis les plus proches – l'homme ne voulait rien de lui. Il pouvait sentir son regard le suivre dans le couloir jusqu'à ce qu'il disparaisse dans le virage. Il secoua le sentiment d'être observé et baissa les yeux sur sa fille.

Nariko était étrangement calme. Bakugou pouvait dire qu'elle voulait savoir si elle avait des ennuis et que l'inquiétude la dévorerait vivante jusqu'à ce qu'il dise quoi que ce soit.

« Vous avez du mal à lire ? » il a brisé la glace. Ses cheveux duveteux et hérissés rebondissaient alors qu'elle hochait la tête. « Pourquoi ne me l'avez-vous pas dit ? » Nariko cueillit ses ongles jusqu'à ce qu'elle trouve une réponse.

"Tu es toujours occupé et je ne voulais pas te déranger," dit-elle doucement, "Tu travailles si dur." Le fait qu'un enfant de sept ans ait pu comprendre cela l'a frustré. Oui, il était occupé, mais pour elle, il aurait toujours le temps – ou du moins essayer.

Si elle était capable de comprendre cela, alors qu'a-t-elle remarqué d'autre ? Commenterait-elle le fait que son père n'avait qu'une poignée d'amis mais qu'un seul d'entre eux traînait régulièrement avec eux deux ? Savait-elle à quel point c'était douloureux pour lui d'avoir un lit king-size qui n'était qu'à moitié utilisé ?

« A partir de maintenant, tu dois promettre que tu me demanderas de l'aide. Peu importe ce que je fais. dit Bakugou et ouvrit la porte pour que Nariko monte dans le camion. La lumière dorée du soleil réchauffait le taxi et les yeux de Nariko étaient dangereusement sur le point de se fermer alors qu'elle s'installait.

« Et quand tu n'es pas là ? » marmonna-t-elle. Bakugou renifla et tourna la clé dans le contact. Le camion s'est réveillé après une deuxième tentative. Pas dans le coin? Quand ne serait-il pas là ? Tout ce qu'il faisait, c'était travailler et prendre soin de Nariko. Il n'y avait pas de temps pour sortir avec quelqu'un ou pour sortir à part rencontrer Kirishima en dehors du travail une fois par mois. Pas qu'il le voudrait. Il a essayé de sortir ensemble il y a des années, mais les personnes qu'il a rencontrées voulaient Ground Zero et la renommée qui l'accompagnait. Il avait besoin de quelqu'un qui voulait Katsuki Bakugou et Nariko.

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