LOVE ME LESS

PROLOGUE

Je cour, je compte mes pas.

vingt-sept, vingt-huit, vigt-neuf, trente.

Je m'écroule.

Je me relève.

Je suis forte.

Je suis faible.

Je ne suis qu'une ame perdu.

Je ne suis qu'une ombre.

Ou est-tu ?

Je leur échape, je continue de courir.
Ils arrivent, je les entends, ils se rapprochent.
Ils vont m'attraper, non pas encort une fois, j'en est assez.

Les pas se rapproche, je sens les vibrations de leurs marche dynamique et lourde dans le sol. S'il me retrouve, ils n'hésiteront pas.
Ils vont tirer, je le sais, je le sens.

Je cour, je ne compte plus mes pas.

Je vais y arriver.

Je n'y arriverais pas.

Je les sème.

Ils me rattrape.

Ou est-tu ?

Je puise dans mes forces. Je vois le bout de cette foret, la sortie, ma libération. Cette fois ci, je vais y arriver je le sens. Je prie, ou pas. Aucune rédemption n'est possible pour moi, mes prières ne fontionerons certainement pas. Je ne peu rien y faire.

Je ne cour plus, je suis épuisé.

Ils sont la.

Ils m'encerclent.

Ils m'ont rattrapé.

Tu n'est pas assez forte.

Ou est-tu ?

Cet homme, il pointe son arme vers moi. S'il pense me faire peur, oh non loin de là, je n'est pas peur de mourir, c'est mon destin.
Je l'entend, ce click qui me rammène à la réalité. Il vien d'enlevé le cran de sureté. C'est la fin.

Je suis à terre, c'est fini.

Je n'est pas peur.

Je suis épuiser.

C'est fini.

Tu m'avais promis.

OU.EST.TU ?

Pas la, tu n'est pas la. Et je l'entend, la détonation. Je ne ferme pas les yeux, je veux qu'il voie mon regard froid et meurtrie quand ils lui enverront ma tete sur un plateau d'argent.

"mi alma perecera en tus manos"

Tu a tord, ils ont gagnés.