Oikawa n'a pas l'impression d'être dans la réalité. Il est comme dans un autre univers, un peu vague, un petit paradis qu'y a l'air irréel. Il ne sais pas quoi faire, à part se laisser aller, laissé sont corps faire ce qu'il veut et laisser son cerveau de côté. Ses lèvres sont humides, et ses yeux ne peuvent pas se détacher de ceux de son attaquant, comme si ils étaient mutuellement attirés. C'est bizarre, Oikawa n'aurait jamais pensé que ce soit si facile. Il pensait qu'il aurait du attendre des années avant d'enfin dire à Iwaizumi ce qu'il ressentait...
Mais enfaite non.
Les voilà dans le champ, qui les as vu grandir, entrain de s'embrasser passionnément. Touts leurs souvenirs se réunissent, touts leurs rires, touts leurs pleures, touts se réunit en ce baiser. On aurait dit une scène sorti d'un livre. La pluie ne s'arrête pas, ils ont froid, mais les gouttes les traversèrent comme si ils étaient juste invisibles.
Quand ils n'eurent plus de souffle, ils se séparèrent et s'observèrent. C'était la première fois qu'Oikawa voyait ce quelques choses dans les yeux du brun. Ça brille, c'est beau.
-Iwa, veux tu m'épouser ?
"CLAC"
-T'es con. répondit Hajime après lui avoir mit une claque. On est trop jeunes pour ça.
Oikawa se massa la joue quelques secondes avant de coller son front contre le torse mouillé de son attaquant. Ses doigts serrent la laine de son pull, il n'a pas envie de le lâcher. Comme si, si il le faisait, ce serait le moment ou il se réveillerait du rêve. Et ça, ça ne doit pas arriver. Il veut profiter de ce moment de perfection encore un peu...
-Mais.. Mais si on se mariait.. Je serais sur que tu serais à moi pour toujours.. murmura Oikawa, les oreilles rouges.
Hajime sentit son coeur s'accélérer. Pour ne pas qu'Oikawa l'entende il se redressa. Puis il prit son visage entre ses mains et le regarda solennellement:
-Oikawa Tooru, maintenant que j'ai accepté mes sentiments, on ne se séparera plus. On restera ensemble, liés, comme on l'a toujours été.
Il prit une feuille qui était tombé par terre, et la donna à Oikawa :
-Oikawa. Veux-tu rester avec moi ? Veux tu être celui que j'aime?
Hajime senti son coeur faire un triple salto dans sa poitrine. Il devait rêver. Ce n'était pas possible. Nan. Il rêve. C'est sur.
Ses yeux s'embuèrent de larmes, elles sont chaudes. Les typiques larmes de bonheur.
Il prit à son tour une feuille et la tendit à Iwaizumi:
-Et toi ?
Ils se regardèrent et éclatèrent de rire. Les larmes ne tardèrent pas à couler à leurs tour. Ils se serrèrent fort, ne voulant pas se réveiller de ce doux rêve. Non, ils voulaient encore rêver un peu.
Après quelques minutes de rigolade, Oikawa plongea son regard dans celui foncé de son amoureux:
-Merci de m'aimer.. dit-il laissant une larme couler dans son cou.
-Tu sais Oikawa... Je pense que je ne regretterais jamais d'être tomber amoureux de toi...
Un long moment s'écoula après cette phrase si légère et belle qui flotte au dessus d'eux comme un nuage.
-Même si bon te supporter encore un moment va être très chiant vu ton caractère de chien. finit-il par sortir.
Oikawa le regarda perplexe, avant de froncer les sourcils :
-T'as vue le tiens ?!
-Haha.. je t'aime.
-Moi aussi.
Enfaite c'est si simple de dire ça. De dire ses mots. C'étais pas si dur que ça. "Je t'aime".. Oikawa comprend enfin ou voulait en venir la petite rousse. "Ce battre pour l'amour", c'est vrai que c'est ça un peu.
.
.
-Mh... Mais Iwa...
Et nous revoilà au point de départ. Les premières lignes de l'histoire. Tout au début, vous avez du les oublier, mais elles étaient pourtant bien là.
Le brun passa doucement ses mains sous le tee-shirt de son attaquant, il fit glisser ses doigts le long de sa colonne vertébral, un sourire pervers collé au visage. Iwaizumi se plaqua le plus possible contre le mur, et détourna le regard, les joues en feu.
"A qu'elle moment ça à bien put tourner en quelque chose de si érotique ?" de demanda-t-il.
-Arrête... murmura l'attaquant.
Oikawa ne l'écouta pas et commença à charcuter son cou. Il fut vite jeter par un coup sur la tête. Quand Tooru releva la tête, il croisa le regard noir de son attaquant:
-T'as pas interêt à laisser des traces. dit-il froidement.
-D'accord Iwa...
Il n'eu pas le temps de finir sa phrase que le brun le poussa sur le lit. Oikawa essaya de rétorquer, mais Hajime était déjà entrain de lui soulever le tee-shirt, en lui laissant plein de baiser sur les cuisses. Quand il arriva au niveau du nombril, il lança un regard malicieux à son capitaine, qui, se mord la lèvre de plaisir.
-Pervers. dit le passeur.
Le brun ignora cette remarque, et continue de laisser de nombreux baisers sur le torse du garçon Arriver dans le cou, il suspend son geste pour énerver son capitaine, mais il se lassa vite de se petit jeu et viens délicatement poser ses lèvres humides sur celles de son aimé. Leurs langues se réunirent, et leurs salives ne firent vite plus qu'une.
Après ce long baisers, Oikawa reprit le dessus et poussa l'attaquant sur le dos. Il se mit par dessus et le regarda de haut, le crâne bourré d'idées obscènes. Hajime était vraiment trop sexy, ça lui était insupportable. Il voulait que le garçon garde des marques . Que tout le monde sache qu'il l'appartenait. Il voulait le mordre, lui laisser une multitude de suçons. Mais Iwaizumi restait de marbre, et refusait catégoriquement qu'il reste des preuves de cette nuit sur son corps. Ça rendait fou Oikawa, qui ne rêvait que de ça.
Ils finirent vite, tout les deux, en boxer. Leurs souffles sont chaud, ils essayent d'être discret pour pas que les parents de Tooru ne les entende. Mais les gémissements du garçon deviennent de plus en plus fort quand l'attaquant lui toucha la partie. Hajime du lui mettre la main devant la bouche, à son plus grand désespoir.
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Ils finirent la nuit l'un contre l'autre, blottis sous les draps. Les cheveux mouillés à cause de la pluie d'Oikawa contre le torse de son attaquant.
Avant qu'ils ferment les yeux pour de bon, qu'ils sont près à laisser cette nuit derrière eux, Oikawa murmure :
-Je veux rêver à tes côtés Iwa-chan.
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Jᴇ sᴜɪs ᴛᴏᴍʙᴇ́ ᴀᴍᴏᴜʀᴇᴜx ᴅᴇ ᴛᴏɪ ᴜɴ ᴊᴏᴜʀ ᴅᴇ ᴘʟᴜɪᴇ
Fanfiction"Devenir le plus fort, battre tout le monde. Les écraser. Etre au sommet. Et ne jamais re-descendre." Pour qu'au final je n'arrive pas à te dire un simple je t'aime ? L'amour c'est si aléatoire que tu crois acquis de choses qui ne le sont pas. F...