Le lendemain à mon réveil je trouvais les autres en grande discussion autour de la table du salon. Quand j'ai passé le seuil de la pièce leur regard se sont tournées vers moi et Adrien a ouvert la bouche.
- Nous allons essayer de rejoindre les bords du monde. Tu veux venir avec nous je sais que tu as une vie ici mais ce n'est pas la réalité.
Avant même que j'ai le temps de réfléchir à la proposition, des mots franchir mes lèvres
- J'en suis !
Je me suis donc approché d'eux tandis qu'Alice se décalait légèrement pour me faire une place.
- Tu connais mieux ce monde que nous nova selon toi qu'elle et l'itinéraire la plus sûre.
- la base des insurgés se trouve au sud, au nord cour des pleines qui feront de nous des proies faciles. L'est est quant à lui le territoire des grands prédateurs. Il serait dont logique d'aller à l'ouest seulement se sont des kilomètres de forêt bien trop dense pour laisser passer un eragon
Ou un whiverne .il faudra donc progresser à pied à travers la végétation par un temps difficile et une forêt remplie de plantes et animaux venimeux et de prédateurs carnivores qui sont certes moins dangereux que ceux avec qui vous avez fait la rencontre à votre arrivée ici mais qui auront l'avantage du terrain mais seul une petite partie du territoire a été exploré ce que je peux vous dire c'est que la bas c'est réservé au survivant les conditions seront inconnues mais nul doute qu'elle seront dangereuse. Soudain un de mes hommes rentra brutalement dans la pièce.
- J'ai entendu votre conversation chef ! Permettez-moi de partir avec vous !
- Tu es sûre de toi Arnold, et Lucie ?
- Sam avait de toute façon décidé de tenter une expédition vers les bords du monde et Lucie et moi contions le suivre ! Veux-tu que j'aille l'avertir afin qu'il se joigne à nous
Un grand sourire éclairait le visage d'Arnold, je me suis tourné vers Adrien, Alexandre et Alice, J'avais remarqué que c'était principalement eu les meneurs du groupe. Remarquant ma prière silencieuse, Alexandre c'est tourner vers ces camarades.
- Je suis pour, ils seront un atout incontestable. Ils connaissent le territoire mieux que nous et sont formés pour pouvoir y évoluer.
- Si Alexandre est d'accord alors moi aussi. S'exclamât Emma avec son énergie habituelle.
Alice approuva l'initiative d'Alexandre d'un signe de tête tandis qu'Adrien et les garçons exprimai bruyamment leur joie d'avoir de nouveaux compagnons.
- Va le chercher Arnold !
Arnold sortie précipitamment de la maison et revient quelques minutes plus tard accompagnées de Lucie et Sam. Celui-ci m'étreignit rapidement sont pendentif en forme de loup d'argent ressortant sur sa chemise blanche comme moi mon châle, celui-ci ne quittait jamais son coup.
Suite à leurs arrivés nous avons passé une bonne partie de la journée à préparer le voyage nous partirions demain à l'aube, avec des whiverne d'abord puis nous les relâcherons quand nous ne pourrons plus continuer avec eu à nos côtés. Le lendemain à l'aube un soleil rayonnant accueillit notre départ et un vent calme balayait la cime des arbres bordant la cité, les faisant doucement ployer vers le sud. A notre arrivée au 5 -ème étage, le reste de notre petit groupe nous attendait il avait harnaché nos montures après les avoir salués nous nous sommes avancées vers les whiverne couverts en divers endroits d'un cuir ouvragé. Nous sommes descendus, nous aidant des monte-charges jusqu'au sol encore couvert de la rosée du matin. Le ciel sans nuage nous prédisait une matinée sans pluies qui faciliteras notre progression sous évitant ainsi de se trouver ralenti par la boue et d'éventuels crues. Alors que nous nous éloignons je n'ai pas pu m'empêcher de jeter un dernier regard a la cité qui avait accueilli mon enfance. D'aussi loin que je me souvienne j'ai vécu au sein de la cité. A mon arrivée j'ai eu la chance de tomber sur des chasseurs qui retournaient à la cité. Sam était à mes côtés il nous on amener à la citée et confier à l'orphelinat, j'ai pu apprendre par cette nouvelle famille tout ce qu'il y avait à savoir sur ce monde. Malgré le passage du temps, je restais toujours plus proche de Sam que des autres enfants de l'orphelinat. Perdu dans ma contemplation de la cité je ne vis pas l'arbre se dressant devant moi. Ma monture fit un brusque écart afin de l'éviter, celui-ci faillit me désarçonner et eu le mérite de me tirer des souvenirs dans lesquels je me perdais. Cette inattention me conféra une réprimande rieuse de là par d'Arnold. Nous avons marché longuement et avons poussé nos montures à l'épuisement. Lorsque le premier des whiverne refusât d'avancer, la nuit prenait déjà le monde dans ces bras. Alexandre avançât l'idée de trouver un abri sécurisé pour la nuit. Nous étions arrivés à la lisière de la forêt, demain viendrait le temps de se séparer de nos montures. Nous avons décidé d'établir notre abri dans les arbres. Des cordes furent entremêlées entre les branche basse des arbres de telle façon qu'elle formait un filet solide et un agglomérat de branche et de feuilles isolées avec de la terre argileuse dressée au-dessus du filet afin de nous servir de toit. Une fois notre campement de fortune installé, Adrien alluma le feu. Nous nous sommes installés autour du feu et avons puiser dans nos provisions que nous avions du rationné la quantité de nourriture que nous pouvions transporter ne nous permettant aucun excès. Il fut ensuite décidé que nous monterions la garde par groupe de deux chacun son tour jusqu'au matin. Une fois notre repas frugal terminé, on étouffa partiellement le feu puis tandis que les autres rejoignaient notre campement improvisé, Adrien et moi nous installions pour montrer la garde. Entouré de là légère auréole de lumière et de chaleur créé par les braises du feu que nous veillions à entretenir afin de conserver notre visibilité. Seul nous parvenais les bruits de la forêt et la respiration tranquille de nos compagnons au-dessus de nous. Adrien fut le premier à rompre le silence.
