incompétent

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Bip...bip...bip...bip...

Rien d'autre, et cette lumière, elle n'osait même pas ouvrir les yeux, elle avait trop peur, trop peur de voir ou elle était, elle ne voulais pas , non pas encore plus encore elle ne voulais pas.

Alors qu'elle commençait à s'agiter une infirmière, alertée par son rythme cardiaque indiquant qu'elle était réveillée, un peu trop même.

B: calmez vous, FRANK!, viens m'aider vite

E: non, laisser moi, naaaan !

La blonde se débattait, elle ne voulais pas rester, pas ici, pas dans un hôpital, tout sauf ça...
bientôt ils étaient 3 pour la maintenir.

B: s'il vous plaît, calmez vous
Continua belle, tout en essayant de la maintenir.

E: allez...vous... faire...voir
Réussi elle a dire, essoufflée, fatiguée, en plus de cela les calments ne faisant plus effet elle ressentait toute la douleur, elle était partout elle ne pouvais même pas la située, ces bras, ces jambes, son dos.

B: Frank, maintenant,vite

Emma avait a peine eu le temps de réagir, qu'une seringue de tranquillisants transpercé déjà ça peau la faisant tomber dans un sommeil profond et reposant.

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Manoir Mills 8h00

Les rayons du soleil, apparaissait petit a petit dans la chambre de la brune, reflétant contre le sommier noir, créer des lignes de lumière, un sur son visage, la réchauffent légèrement, Régina ce décida à se lever, le corps légèrement endoloris.

Elle était sortie de l'hôpital il y a déjà 3 jours, après une semaine de d'observation elle avait pu quitter celui-ci, ne s'en sortant qu'avec de légère brûlure superficielle et une irritation au niveau de la gorge.

Les médecins lui avait prescrit une semaine de repos mais la brune ne l'avais pas décidé ainsi, accro a son boulot elle ne le souhaitez pas négocient donc seulement 3 jours.

Elle se rendit dans la cuisine, prépara deux tasses, de la cannelle de quoi manger.

R: Henry ne court pas dans les escaliers

Une tête brune passa la porte un air faussement choquer.

H: comment tu sais ça ?

R: tu est prévisible jeune homme, allez viens t'asseoir ton petit déjeuner est prêt.

H: pfff toi aussi d'abord

Régina ébouriffa ces cheveux , un large sourire sur le visage et entama son café.

H: tu vas mieux ce matin

R: oui, beaucoup mieux

H: j'ai eu peur tu sais

R: je sais mon chérie, mais je suis la maintenant

Elle passa une main protectrice sur l'épaule de son fils et se leva pour entamer la vaisselle, Henry la suivant pour l'essuyer.

H: tu as des nouvelles d'Emma ?

R: Emma? L'adjointe SWANN ?

H: oui qui d'autre, celle qui t'a sauver la vie

R: eh, fait attention toi, et non je n'en est pas pourquoi

H: elle t'a sauver quand même, c'est pas rien

De Boston à StorybrookOù les histoires vivent. Découvrez maintenant