LOVE SIDE T1/T2

𝟐𝟎. 𝐍'𝐚𝐛𝐚𝐧𝐝𝐨𝐧𝐧𝐞 𝐣𝐚𝐦𝐚𝐢𝐬

Bonne  lecture 🌙

N&M

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𝐍𝐀𝐈𝐋𝐄𝐀

𝑨𝒗𝒂𝒏𝒕 𝒍'𝒂𝒓𝒓𝒊𝒗𝒆́𝒆 𝒅𝒆 𝑴𝒐𝒏𝒐𝒔 :

Mes cheveux légèrement ondulé, mon maquillage léger mais le trait de liner flouté qui accentue mes yeux et mes lèvres légèrement rouge avec une brillance de gloss. Cette longue robe noir scintillante avec une grande fante, trop grande même. Le décolleté en carré et les fines bretelles laissait apercevoir mon torse a moitié recouvert.

Je me trouvais plutôt belle, enfin magnifique. Je tiens cette beauté de ma mère. Enfin bref, je mettais rarement, très rarement mon corps en valeurs. Toujours des sweats, jeans, pull, tee-shirt large. Je ne met jamais des choses trop près du corps ou trop "provoquante" comme dirait certains hijo de perro. (fils de chien)

Même si je m'admirais depuis un bon bout de temps, le stresse prenait le dessus et me tortilla l'estomac. Des fusils, du sang, des cadavres, des autres mafieux, des psychopathes, des tueurs.....Tout ça me faisait tellement peur et stressée.

Je suis déjà assez stressée et nerveuse mais il ne manquait plus que cette tirette ne veut pas allez au bout, ça commence vraiment à molestarme. (faire chier) Mon visage dans le miroir qui m'observait galérer avec cette putain de tirette.

En me regardant dans le miroir, je le vis. Je lâchais un petit hoquetement de surprise sans me contrôler, depuis quand il est la lui ? Il m'a fait flipper.

Sans m'en rendre compte, mes pensées s'embrouillèrent et mon regard sculpta son magnifique corps.

Olalalalla, tombe pas amou-

Je te laisse jusqu'à demain pour choisir la date de ta mort !

Je meurs tu meurs.

J'ignorais encore et comme toujours cette petite voix destructrice. J'analysais chaque partit de son corps. Ses yeux transparent, ses cheveux châtains toujours décoiffé, sa tenue....

Sa tenue.

Une chemise blanche déboutonné presque jusqu'à mis torse qui laissait apercevoir la quasi totalité de ses tatouages, un pantalon de tailleur noir. Une chaîne traînait sur son cou. Ses manches était légèrement remonté et sa taille était bouclé d'une ceinture, sûrement de marque vu tout ce qu'il se tape.

Après avoir finit de le dévorer du regard, je lâchais un jurons comme lui quand ses yeux se posèrent sur ma poitrine presque, vraiment presque voyante.

- Oh putain. lâchait-il.

Je posa mes mains tremblantes sur ma poitrine et le fixait choqué. Il venait de regarder mes seins ! Sans aucune gène. Tu as beau aimé cette robe mais plus jamais je ne la veux. Plus jamais.

Il souriait légèrement et s'avanca vers moi. J'avançais vers la salle de bain pour le fuir mais trop lente. Il me retenue le bras et son regard perçait le miens. Je regardai ailleurs et essayait de nier son regard mais je le sentais sur moi, vraiment beaucoup. Beaucoup trop même.

Je posa enfin mon regard dans le siens et le vis sourire. Sa main relâcha mon bras et ce fut un feu vert pour moi, je m'apprêtais à rentrer dans cette foutue salle de bain, mais il me retenue encore une fois. Sa main avait entouré ma taille et me colla a son torse, mes yeux s'écarquillèrent et son visage se rapprochait légèrement du main. Ma température corporelle commençait vraiment a augmenté, bouillir même. Sa tête pivoté derrière mon épaule et je sentis ses froides mains touché mon dos, le bruit de la fermeture se fit entendre et ses mains quittaient ma taille.