El Juego

Chapitre 1

Je me réveilla en sursaut, comme d'habitude. Encore ces fichus cauchemars. Je regarde sur mon téléphone et y voit affiché 7h30.
Je me lève avec grande difficulté et descends les escaliers pour aller prendre mon petit déjeuner. En arrivant en bas, je remarque mon oncle qui m'a recueilli quand j'étais petite, dans la cuisine.

François: Déjà levé ?

moi: ah tu sais, je m'habitue maintenant. dis-je désespérément.

Il s'approche de moi et mets ces deux mains sur chacune de mes épaules.

François: je te promets qu'on va tout faire pour que tu oublies ces merdes qui te sont arrivé d'accord ? dit-il avant de déposer un léger baiser sur mon front. Bon moi je vais y aller, je t'aime ma puce. Reprend-t-il en ouvrant la porte d'entrée.

moi: je t'aime aussi tonton.

il ferma la porte et partit travailler. Pour ma part, je suis déscolarisée. J'ai eu une mauvaise présentation de l'école et puis, mon oncle n'a certainement pas le temps pour tous les préparatifs que cela donne. Mais franchement, je suis plutôt bonne élève. Je n'ai peut être pas les connaissances que les personnes « normales » peuvent avoir mais, j'ai mes capacités.
Après sont départ, je me fais un petit déjeuner qui n'est pas si petit que ça. Après ce bon déjeuné, je vais en direction de la salle de bain et décide de prendre une bonne douche rafraîchissante. J'y reste un bon moment, 1h je pense. Je prend une serviette et reste comme ça pendant très longtemps également. Je regarde l'heure et m'aperçois qu'il est déjà 11h.
Quoi ?? Je m'empresse de me lever et d'aller chercher des vêtements. Je ne sais pas trop pourquoi je suis inquiète car je n'ai rien de prévu aujourd'hui mais mon esprit l'est quand même. Je prends un jogging et un pull puis je m'attache les cheveux vite fait. En fin de compte j'aurais pu rester en serviette. Je me prépare une petite pasta à réchauffer au micro-onde et vais m'installer sur mon canapé. J'allume la télé et mets la chaîne principale.
Je mangeais tranquillement quand ils annoncent qu'un bombardement s'apprête à avoir lieu. Sur le coup je rigole car beaucoup de conneries sont affiché aux infos. Enfin, jusqu'à ce que des bombes retentissent partout. Dans la télé, dehors, partout il y avait des bruit me rendant sourde. La maison tremble, je tombe et manque de me prendre ma fourchette dans la tête. La porte s'ouvre. Heureusement, il s'agit de mon tonton. Je voyais flou à cause de la poussière répandue un peu partout dans la pièce. Je sentis une main m'agripper le poignet pour me relever. Je voyais que mon oncle essayait tant bien que mal de me parler mais je n'entendais rien. Je sentis mes jambes lâcher et puis, plus rien. Trou noir.

...........
J'ouvris les yeux avec difficulté a cause de la lumière qui était dans la pièce. Je suis dans une chambre très spacieuse. Les draps sont blancs, ils sont frais, comme ci ils venaient d'être lavés. Je remarque alors, une grande fenêtre, ou plutôt une baie vitrée vu la grandeur, donnant sur d'immenses buildings. Je ne pense pas qu'on soit dans mon petit village dans l'illinois. Non, on dirait plutôt.. New York.
Putain mais qu'est ce que je fou là moi ?!
Je pris le temps d'analyser toute la pièce. Étant sure de ne pas être attaquée, je me lève et ouvre la porte de cette chambre. Un énorme couloir se présente devant moi. De grands tableaux y sont accrochés un peu partout. J'avance très lentement, ne comprenant pas la situation. Un escalier gigantesque est au bout du couloir, menant au rez-de-chaussée. Je descend ces marches. J'arrive dans la cuisine. Je peux voir une dame, grande avec les cheveux ondulés, châtains. Elle est vêtu d'un pantalon très classe ainsi que d'une chemise blanche, tout aussi classe. Elle se retourne et me lance un sourire chaleureux.

??: ah, tu es réveillée à ce que je vois, Jennifer. Ou plutôt devrais-je dire.. Rosita ?

surprise par l'entente de mon prénom, je prend un couteau qui était posé sur le plan de travail et le pointe vers cette femme. Elle m'effraie, je vais pas le cacher. Comment me connaît-elle ? Et, pourquoi m'a-t-elle appelé Rosita ? Je ne comprend vraiment rien.
Voyant mon geste assez brusque, elle lève légèrement les mains et fait le tour du plan de travail pour arriver devant moi. Je maintiens mon bras, toujours le couteau pointé vers elle.

??: on va se calmer d'accord. Je comprend ton inquiétude, j'aurais eu la même réaction à ta place. Pour faire cours, je suis une amie à ton oncle d'accord ? Alors pose ce couteau et je pourrais tout t'expliquer. Me rassure-t-elle en mettant une main sur le couteau pour l'abaisser.
Je lâche finalement le couteau et le lui donne. Je ne comprend pas.. mon oncle ne m'a jamais parlé d'elle. Je pensais qu'il n'avait pas d'ami moi ? J'espère vraiment qu'elle ne me fait pas marcher. On m'a toujours appris à ne pas faire confiance aux inconnus. Elle se dirige vers le salon et s'y installe. Elle me fait un signe de la main pour me dire de venir s'assoir en face d'elle. Je prend un petit temps avant de marcher en sa direction et m'installer à mon tours. Elle prend une grande respiration et poursuis,

Carolina: Tout d'abord, je m'appelle Carolina et je suis une vieille ami de ton oncle. Il y a une semaine, ton oncle m'a appelé en urgence et m'a expliqué la situation. J'ai alors pris le premier avion et suis partie en direction de ton village. Quand je suis arrivée, tu étais endormie. Il m'a dit de t'emmener avec moi à New York et que je devais te protéger. Pour tout t'avouer, ton père t'a mère, ton oncle et moi faisait partie d'une mafia il y a longtemps. T'es parents nous ont trahis et ont pris tout ce qu'on avait, ton oncle et moi. Plus tard, ton oncle est partit dans ton village pour s'y installer et donc, quitter la mafia. Je n'étais pas trop d'accord jusqu'à ce que je sache que tes parents avaient eu une petite fille, toi. Je savais qu'ils allaient te faire du mal et ton oncle aussi. Alors, il t'as enlevé des mains de tes parents. Malheureusement, ils avaient déjà eu le temps de te faire souffrir, je pense que tu t'en rappelle . T'es parents t'avaient appelé Rosita mais ton oncle, pour te protéger de tes parents, t'as donné un second nom, un faux nom plutôt, Jennifer. Tout allait bien jusqu'à la semaine dernière. Ces bombardements étaient en fait la mafia de t'es parents. Ils sont venu dans le but de te retrouver et te tuer. C'est alors que ce que je t'ai expliqué, s'est passé.

Elle termina sur ça. Je resta là, bouche bée par ces paroles. Je n'y crois pas, je ne peux pas y croire. Ma famille sont des mafieux ? Et mon oncle, pourquoi ne m'en a t-il jamais parlé ?

moi: ou est mon oncle Carolina ?? Je vais devoir rester cachée tout le reste de ma vie ?? Criai-je.

Carolina: Rosita calme toi d'accord. Me dit-elle
Entendre ce nom me fait bizarre. Je ne me dis pas que c'est moi. Ton oncle se débrouille très bien, reprend-t-elle, et non tu ne va pas te cacher, enfin, pas pour l'instant.

Nan mais je rêve. Comment ça pas maintenant ?? Je suis pommée, PO-MÉE.
Elle comprend bien mon incompréhension et reprend la parole.

Carolina: Mon but est tout d'abord de faire de toi une personne amélioré. Tu as déjà d'énormes capacités physiques et intellectuelles, ça va être facile. Changer d'apparence et une meilleure option, même la principale. Ensuite, je vais te faire gagner un poste dans l'entreprise ou je travaille, en réalité, c'est la mafia qu'autre fois, on dirigeaient t'es parents ton oncle et moi. Mais, seulement les patrons, les assistantes, et les majeurs d'hommes de l'immeuble en font partis. Je t'apprendrais à te défendre ne t'en fais pas, Mais pour ça, j'ai besoin de ton accord. Es tu prête à me suivre ?

C'est du pure délire sont bordel. Je ne sais vraiment pas à quoi cela va me donner. Mais en y repensant, je pourrais enfin me venger de mes parents. Peut être que je fais l'erreur de ma vie mais, je dis oui.

moi: d'accord je suis prête. Dis-je sure de moi. Même si en réalité, je ne suis sure de rien.

Carolina: merci mille fois Rosita ! Elle se jette sur moi et m'enlace. Je suis surprise sur le coup mais son acte me donne le sourire, je l'enlace alors à mon tour.
Elle se détache et prend un sac. Un sac à main visiblement.

Carolina: commençons, on va faire un peu de shopping ? Dit-elle excitée.
Je souris rien qu'à ce mot et affirme par un geste de la tête. Elle me prend le bras et m'emmène dans une grande voiture luxueuse. Je me sens vraiment ridicule face à tout cela. J'ai l'impression d'être une bauf pour être franche. Elle démarre la voiture et dit en même temps:

Carolina: et c'est partis mon kiki !

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Voilà pour ce premier chapitre !
Alors oui, j'ai supprimer mon ancienne histoire et je m'en excuse mais je ne trouvais plus l'inspiration pour écrire la suite. J'ai alors commencé ce livre !
J'espère que jusque ici ça vous plaît et je vous souhaite une bonne lecture <3