La fierté de l'amour //mal reader//

Nos passés

Shoto: "Du coup, on parle de nos vies, ou ça te dérange?"
Tp: "Vraiment?"
Shoto: "Oui."
Tp: "Alors, qui commence?"
Shoto: "Moi, si ça ne te dérange pas."
Tp: "Je t'écoute."
Shoto: "Pour commencer, faut savoir que mon père est connu grâce à son cabinet d'avocat. Mais il n'a jamais reussi à devenir juge. Il a pris une femme, gentille, pour faire un enfant prodige, digne de devenir le plus grand juge, afin d'être fier de sa famille et reconnu comme il se doit. Alors, il a forcer cette femme à se marier avec lui, donnant de l'argent à sa famille. Depuis, elle a enfanté un garçon. Ce dernier, vers ces dix ans, il a fugué. Il a repris contact avec le reste de sa fratrie et sa mère une bonne dixaine d'année plus tard. Ensuite, un second enfant est mis au monde. Mais, mon père ne voyait rien en lui qui ne correspond à ses attentes. Alors, il en a fait un troisième et pareille pour le second, rien en lui. Et le quatrième enfant est le dernier. C'était parfait pour lui. Une moitier correspond à la mère, l'autre, à lui. Il en était fière. Mon père m'a donner jusqu'à l'âge de mes cinq ans, une liberter. Mais, par la suite, il m'a donner des cours particulier. Au début, ça allais. Mais, par la suite, c'était bien plus pousser. Quand je fais une erreur, il me frappait. Sa compagne, ma mère, a fini par s'interposer, après quelques mois. Elle voyait bien quand elle me prenait dans mes bras, je souffrait. Alors, quand j'était avec elle, elle prenait soin de moi. Mais un soir, je l'ai surprise au bout de nerfs. Quand elle m'a vu, elle a été tellement surprise qu'elle a lâcher le téléphone avec qui, elle appelait sa mère, et elle ma brûler le côter où elle voyait son mari."

Tp regarde Shoto. Il s'approche de la cicatrice du bicolore et carresse du bout de ses doigts. Shoto reste silencieux. Il reprend une grande inspiration et reprend son récit.

Shoto: "Ma mère était déjà à bout. Et cette histoire a fait peter un cable à mon père. Il a trouver l'escuse de la folie pour l'interner en psychatrie. Je ne l'ai plus revue. Jusqu'à ce que je sorte avec un type. Il m'a fait comprendre que je ne devrais pas avoir honte, ni peur car j'était bloquer sur cette histoire. Alors, un jour, j'ai décider d'aller la voir. Tout c'est bien passer. Du coup, je la voit minimum une fois par semaine. Quand mon frère a pû partir de la maison, il l'a fait, me laissant seul avec Fuyumi. Par la suite, elle est aussi partie. Alors, pour éviter de voir mon père, je trainais en ville le plus possible. C'est la que j'ai revue Dabi. On a passer une bonne heure à parler avant qu'il ne reparte. Par la suite, on se revoyait jusqu'à la fin de mes études au lycée. Au début des vacances, Dabi et son petit ami sont venu m'aider à faire les cartons. Biensur, c'était quand mon père était au travail. Puis ensuite, je suis parti sens lui donner de nouvelles. Hawks m'a héberger jusqu'à ce que je trouve un appart et je suis partie. J'ai du choper un travail pour assurer d'avoir un toit sur ma tête. Mais, mon père a de bon contacts et a reussi à trouver mon numero. Enfin bref, voilà."
Tp: "Et, il se passe quoi actuellement, avec ton père?"
Shoto: "Je l'ai bloquer. Mais, s'il fait des recherches approfondient, il peux retrouver mon adresse et venir ce pointer."
Tp: "Wow. Tu en as baver."

Le bicolore se met à rire et Tp le regarde avec un sourire. Après un moment de silence, Tp brise le silence.

Tp: "Je ne sais pas si tu aimes ta cicatrice, mais moi, je la trouve belle. Malgré l'histoire douloureuse derrière."
Shoto: "Merci. A ton tour, maintenant."

Tp rigole légèrement face à cette attitude enfantine de Shoto puis prend une grande inspiration avant de joindre ses mains.

Tp: "Ma famille est plutôt normal. Ma mère nous aimes comme mon père malgré les caractère opposés. J'ai hériter de mon père la plus part des choses. Mais j'ai des limites et peux vite exploser comme Kats et ma mère. Et Katsuki, hérite de ma mère. Mais, il peux devenir très doux et domptable quand il le souhaite. Bref, tout ce passais bien. On connais Deku depuis notre tendre enfance. Au collège aussi, tout ce passais bien. Enfin, je te passe les détails mais pour éloigner les sentiments qu'il avais envers Deku, Kats avait décider de l'harceler, même à l'inciter à se suicider. Mais, une année plus tard, Deku a déclarer sa flamme et Kats, ne pouvant plus éloigner ces sentiments, ils se sont mis ensembles. Par contre, moi, vers la troisième, un nouveau a débarquer. Le Neito Monoma que tu as surment entendu il y a un moment. Il m'a reperer et a décider de se rapprocher de moi. Mais j'ai décider de l'ignorer. Alors, il a commencer à m'harceler. Ca avait durer deux bons mois. Il voulait absolument qu'on sorte ensemble. Alors, pour que ça se calme, j'ai fini par accepeter sa demande. Tout allais bien. Enfin, je n'étais pas heureux avec lui. Vers notre quatrième mois de relation, il a décider de passer l'étape au dessus. Il a décider de me faire l'amour. Je n'étais pas excite, mais il s'en foutait. On l'a refait plusieurs fois après. Et au bout de nos six mois de relation, Katsuki a décider d'agir. Il m'a dit que je devrais arrêter tout car je n'étais pas heureux. Alors, je l'ai fait. Kats a même menacer Neito. Par la suite, c'était calme. Mais un mois plus tard, il m'a encore harceler. Je me souviens, comme si c'était hier. Ca fesait environ un mois qu'il ma harceler pour que je retourne ensemble. Tss ... Un mois de juin, il pleuvait. Je n'en pouvait plus. Alors, j'ai repenser au paroles que Kats avait dit à Deku, pour l'inciter à se suicider. Et puis, monter le haut du toit d'un immeuble. J'avais pris une grande inspiration et je suis tomber. Je ne savait pas ce qui c'est passer mais je me suis reveiller, par une chaleur insupportable. Une personne est venu me voir. Un docteur m'a fait des tests. Je n'avais prononcer aucun mots. On m'a dit que j'ai perdu connaissance depuis environ deux mois. On était au beau milieu août. Quand mes parents ont pû venir me voir, ma mère m'a serrer fort dans ses bras. Une fois que je suis passer dans les bras de ma famille, je les ai regarder et j'ai prononcer "pourquoi on me laisse en vie?". Ma mère était choquer. Katsuki a fini par me serrer dans ses bras une nouvelle fois, en pleurant. Le grand Katsuki Bakugo qui montrait rien, pleurait dans mes bras. Il me suppliait de ne plus refaire ça, de ne plus le laisser seul car c'était horrible."