Real Zayn?

Chapitre 1.

Alors qu'il est minuit, les faibles lumières qui éclairent ma rue s'éteignent petit à petit comme mon cœur. Je n'ai qu'une pensée et elle est uniquement pour lui... Je marche, j'avance. J'ignore où je vais mais je voulais m'éloigner de ma tante, de mon père, de ma sœur.. De tout ça. Tous me font souffrir et ne se soucient pas de moi. Ma mère est morte hier soir, je l'aimais tant.. Elle qui avait comblé ce vide dans mon cœur.. Elle était toujours là pour moi ! Mais la police n'a pas retrouvé son corps.. Je voulais la trouver, ou la retrouver.

Alors que je pris un chemin qui mène à l'entrée du métro, je heurte quelqu'un. Je me retrouve les genoux à terre, dans la boue, où j'ai souvent l'habitude de patauger à cause de cette stupide famille. Je relève la tête lentement et je vis un homme assez grand, un léger sourire aux coin des lèvres, un sourire moqueur. Il se mit à pleuvoir, les gouttes de pluie se mélangent à mes larmes qui coulaient le long de mes joues, la pluies les dissimulaient. Mes longs cheveux sont trempés, je me relève avec difficulté et tente d'identifier le garçon qui m'a fait tombé, il était resté là à me regarder souffrir en souriant bêtement. Je n'eus aucune envie de le regarder une seconde de plus en repensant à son arrogance et son égoïsme, alors je le gifle simplement, il plaque rapidement sa main contre sa joue déjà rougie par mon coup, pour calmer la douleur. Il me fixe dans les yeux puis repars sans aucune expression dans le regard, j'en fis autant en repartant vers la bouche de métro. Alors que j'allais entrer, un homme vont se placer devant moi, il était TRES grand !

Moi : Excusez-moi pardon, mais je dois passer..

Il hocha négativement de la tête, je fronce un sourcil et deux autres hommes aussi grand et musclé firent leur apparition et m'entourèrent. Il commençaient à craquer leurs doigt et serrer leurs poings, je paniquais. Quand soudain, une douce voix leur empêcha de me faire du mal.

? : Nan les gars. Pas maintenant.

Ou presque...

Un d'eux me donne une énorme baffe, je tomba par terre puis trou noir.