FR | Saga Nouvelle Vie (Alec Volturi, Twilight)

Tome 1 : Chapitre 13

Point de vue de Jeremy Fisher - 12 Juillet 2016

Je ne savais plus quoi faire pour emmerder ce clan d'Italiens ridicules. J'avais promis de consacrer le temps que j'allais vivre sur Terre à faire tout en mon possible pour les déranger de leur petit trône bien au chaud dans leur château ancien. Ma prochaine étape serait probablement de créer une dizaine d'enfants immortels et de les relâcher dans Volterra.

Ils m'avaient tous volés. Me femme, l'amour de ma vie et je ne comptais pas les lâcher. Depuis trois mois, je lançais des nouveau-nés sur leur Terre de temps en temps. Un seul pouvait faire un massacre à lui seul. Lorsque j'en ai créer une armée de dix-huit et que je les aient tous relâchés en même temps je n'imagine pas la colère dans laquelle je les avais mit.

Pour m'assurer qu'ils ne me trouvent pas, j'avais tout pensé. J'avais trouvé un vampire très peu connu en Espagne dont le don se résumai à sentir le don que des humains pourraient avoir potentiellement une fois changé en vampire. Il avait voyagé avec moi sans savoir ce dans quoi il embarquait, je lui avais dit vouloir un compagnon de route et il m'avait trouvé cette humaine que j'ai changé.

Un don comme le sien était difficile à trouver. Elle avait tellement vécue isolée qu'en évoluant elle ne voulait qu'être invisible aux yeux des gens et elle restait toujours chez elle et sortait à peine d'entre ses quatre murs.

Je n'imaginais pas un seul instant qu'elle pouvait m'être autant utile, une fois devenue vampire je l'ai formé brièvement et lui ai parlé du clan de ces Volturi qui étaient sauvages et voulait me tuer tout comme ils avaient fait à tous les membres de ma famille et que je voulais me venger. Grâce à elle depuis trois mois, j'étais sûr d'être en sécurité.

Elle arrivait, avec un don qui m'était étranger, à couper l'odeur des gens ainsi un traqueur ne pouvait pas me trouver car je ne possédais plus aucune essence physique tant que cette femme était à moins de quelques mètres de moi. J'étais toujours avec elle, elle ne parlait pas beaucoup et passait le plus clair de son temps à lire.

Je savais que les Volturi possédaient un traqueur très puissant et c'était ma façon de me protéger. Je marchais les cent pas dans le salon dans lequel je me trouvais, il appartenait à une de mes précédentes victimes et j'avais resté ici le temps de trouver un autre endroit. Je ne restais jamais bien longtemps dans le même lieu pour éviter d'être pisté d'une autre manière que mon odeur.

Tout d'un coup j'entendais la porte se déverrouiller, mon dîner était là. Un membre de la famille de la pauvre vieille dame, que j'ai tué et abandonner dans le centre-ville, avait été informé de son décès et venait vider son appartement.

Je restais tapis dans l'ombre alors que je le voyais entrer avec des bacs en plastiques noirs. Un jeune homme aux cheveux bruns était là. Il arrivait dans le salon et ouvrit la lumière.

__ « J'avais faim, il était temps. » Dis-je.

Il se retournait au son de ma voix et criait en me voyant. En à peine une microseconde je me retrouvais à sa gorge en train de le vider de son sang. Le goût de son sang était prononcé d'une touche d'alcool et je continuais d'aspirer le liquide chaud jusqu'à ce qu'il y en ait plus.