One shot

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Le soleil s'apprêtait à se lever sur le quartier des plaisirs. Tengen san et toi vous dirigiez vers l'appartement où vous étiez installés pour la mission. Cette première nuit d'infiltration du quartier des plaisirs fut un succès car vous aviez réussi à placer Tanjiro, Inosuke et Zenitsu dans les trois maisons où les femmes d'Uzui s'étaient infiltrées.
Tengen san avait jugé que tu lui prêterais main forte de l'extérieur et que donc il n'était pas nécessaire de te placer dans une maison.
Une fois arrivés à l'appartement, le pilier alla s'installer dans le salon pour boire un verre et se détendre avant d'aller se coucher. Tu t'apprêtais à te diriger vers ta chambre quand Tengen san t'invita à le rejoindre dans le salon.
« - Tu veux boire quelque chose ? lança-t-il.
- La même chose que vous, répondis-tu en t'asseyant sur le fauteuil à côté de lui.
Il rit.
- Comme tu veux. »
Il te servit un whisky pur.
Tout en savourant vos whisky, vous discutiez de la mission.
En l'écoutant parler, tu te rendis compte qu'il était incroyablement beau, avec ses cheveux mi-longs lâchés, ses grands yeux bordeaux, et ses muscles impressionnants. Tu pris conscience que tu ne l'avais pas vraiment détaillé depuis qu'il était venu vous chercher au domaine des papillons il y a de ça deux jours. Mais là, en l'écoutant parler, tu pus mesurer pleinement sa beauté et son charme indescriptible.
Au bout d'un moment, tu te rendis compte que tu ne l'écoutais même plus parler et que tu fantasmais sur lui. La chaleur te montais aux joues, ton cœur battait très vite et une sensation d'excitation grandissait au niveau de ton bas-ventre.
Mon dieu, pensa-tu, voilà que je suis en train de mouiller en regardant Tengen san, il faut que j'arrête tout de suite, autrement il va s'en rendre compte et ça sera très gênant.
Tu rassemblai tes efforts pour contenir ton excitation grandissante.
« - Tu te sens bien ? te demanda Tengen san.
Oh seigneur, il a remarqué.
- Oui oui très bien merci Tengen san, mais je crois que je vais aller me coucher maintenant.
Il faut mettre fin à ce moment gênant, pensa-tu.
- Je vois bien que tu n'es pas dans ton état normal, dit-il, dis moi ce qu'il y a.
Il veut que je le dise, pensa-tu, mais je suis sûre qu'il a deviné, il n'est pas dupe, il a sûrement une grande expérience dans ce domaine.
Ton cœur battait de plus en plus fort, et tu rougis d'autant plus à cette pensée.
Tu te levai.
- Non, tout va bien, ne vous inquiétez pas, mais je vais monter dans ma chambre maintenant, dis-tu en détournant le regard.
Il se leva à son tour, et mis sa main sur ton menton pour tourner ta tête vers lui et planter son regard dans le tien.
- Comme tu veux, souffla-il avec un sourire en coin. Il lâcha ton visage et recula légèrement, toujours sans te quitter des yeux. Mais si tu as besoin de moi, je serai là », ajouta-t-il.
Bon sang, le contact de sa main sur ton visage et son regard intimidant t'avaient déjà coupé le souffle et tu fus incapable de bouger. Tu restai là, haletante, ne sachant que faire.
Il retourna s'asseoir sur son fauteuil, son buste appuyé au dossier et légèrement penché sur le coté et les jambes écartées, et replanta son regard dans le tien. Tu ne pouvais pas te tromper, ce regard, son attitude démontraient du désir pour toi.
Tu fis un pas vers lui. Tu t'arrêtai. Du regard, il t'incita à t'approcher encore. Tu t'avançai jusqu'à te trouver juste devant lui, toujours sans vous quitter des yeux. Sans se décoller du dossier du fauteuil, il leva sa main droite et la posa sur le côté de ta cuisse, et te caressa légèrement vers le haut, avant de brusquement t'attirer sur lui. Tu basculai en avant, à genoux sur lui, les yeux dans les siens. Tu étais tellement excitée que tu te demandais si tu n'allais pas exploser. Sa main n'avait pas quitté ta cuisse, et à présent il la remontait doucement vers tes fesses. Sa caresse était douce mais tu sentais qu'il se contrôlait et que le désir montait en lui, ce qui t'excitait encore plus. Avec son autre main, il fit passer tes jambes de chaque côté de lui, de sorte que tu te retrouves assise sur lui. Avec une pression de la main qui était sur tes fesses, il te ramena un peu plus près de lui. Tu sentis alors une bosse assez importante entre ses jambes. Ce contact entre tes propres jambes te procurai une sensation tellement agréable que tu ne pus t'empêcher de faire un léger mouvement en avant. Uzui monta sa main sur ta nuque et t'attira vers son visage, et pendant qu'il collait un peu plus vos deux bassins l'un contre l'autre en te regardant, il t'embrassa, doucement, avec passion. Vos langues se touchèrent, et tu sentis un frisson te parcourir et la sensation dans ton bas-ventre s'intensifier. Tu étais trempée, tu avais envie de le supplier pour qu'il te déshabille et qu'il te prenne brusquement, tu voulais le sentir en toi de toute urgence. Tu n'en fis rien, trop excitée pour parler, et seul un gémissement t'échappa pendant que vos langues se caressaient.
Vos souffles étaient de plus en plus courts a mesure que vos mouvements de bassins s'intensifiaient. Sentir son sexe dur se frotter contre tes lèvres et ton clitoris à travers les vêtements ajouté aux caresses de sa langue et sa main sur tes fesses te mettaient dans un état proche de la transe, et tu te demandai si tu n'allais pas avoir un orgasme. Au moment où tu pensais ça, il décolla ses lèvres des tiennes et se recula pour te regarder. Il ne put réprimer un sourire en coin à la vue de tes yeux suppliants, tes joues en feu, ton souffle court. Tu sentais que lui même avait du mal à se contrôler, mais qu'il appréciait cette douce torture. Tu l'appréciais aussi.
De sa main, il défit le noeud de la ceinture de ton kimono, dévoilant ta poitrine nue. Son sourire s'élargit tandis qu'il regardait tes seins avec envie. Il replongea son regard dans le tien et effleura ta poitrine avec ses doigts. Il t'embrassa ensuite en haut du ventre, et continua de t'embrasser en remontant vers ton cou. Il s'attarda sur ce dernier tout en glissant la paume de sa main sur ton sein, effectuant de légères pressions. Tu ne pus t'empêcher de gémir sous l'action combinée de sa main et de sa bouche. Ton sexe s'humidifia encore plus. Alors qu'il descendait sa bouche sur ton autre sein, n'en pouvant plus, tu décidai de mettre ta main sur son sexe, à travers ses vêtements, et de le caresser de haut en bas. Tu pus confirmer que sa queue était de taille imposante. Surpris, il leva les yeux vers toi. Il commençait lui aussi à avoir du mal à se retenir. Il remis sa bouche sur ton sein, caressant la pointe avec sa langue, mis sa main sur ton sexe à travers ton string, et se mis à effectuer des pressions sur ton clitoris, ainsi que sur tes petites lèvres et à l'entrée de ton vagin, doucement, de bas en haut, et de gauche à droite. Tu n'en pouvais plus, tu étais au bord de la jouissance, tu ne pouvais plus t'arrêter de gémir. Tu réussissais tant bien que mal à caresser son sexe également, et tu sentais son souffle s'intensifier contre tes seins.
Au bout d'un moment, il leva les yeux vers toi. Il ne souriait plus, et tu voyais dans son regard un désir intense. Il te souleva légèrement d'une main, et tu compris qu'il enlevait ses vêtements. Il te reposa et t'embrassa, et tout en caressant ta langue de la sienne, fit passer sa main sous ton string. La sensation de plaisir était si forte qu'elle en devenait presque insupportable. Ses doigts parcourant doucement tes lèvres et ton clitoris, effectuant des pressions de gauche à droite et de bas en haut, sa langue caressant la tienne et son autre main caressant ton sein, tu sentais que tu allais jouir d'une minute à l'autre. Son mouvement de la main sur ton sexe se fit légèrement plus rapide, et les vagues de plaisir s'intensifièrent, encore et encore, jusqu'à ce qu'un déferlement de plaisir t'envahisse et que tu te tordes, criant et gémissant contre sa bouche, agitée de spasmes incontrôlables sous le coup de l'orgasme.
Il se décolla de tes lèvres et te regarda.
« Tengen san... » murmura-tu dans un souffle, suppliante, tremblante.
Il ne dit rien. Toujours en te regardant, il enleva ton string. Il te colla un peu plus contre lui, et caressa ton sexe nu avec le sien. Tu avais besoin qu'il entre en toi, tu ne voulais que ça, tu voulais le supplier. Tu sentais les veines de son sexe et son gland humide te caresser les lèvres et le clitoris.
« Tengen san... » répéta-tu, le regard encore plus suppliant.
Il ne céda pas et continua ses va et viens, et tu sentais le flot de ton vagin continuer à s'intensifier, se répandant sur son sexe dur. Tout en t'embrassant le cou et en caressant tes seins, il se mis à te taquiner en frottant son sexe à l'entrée de ton vagin, rentrait presque et ressortait immédiatement. Tu ne pouvais t'empêcher de gémir de frustration et de plaisir, et tu sentais que lui même tremblais d'envie.
Au bout d'un moment, n'y tenant plus, il te regarda dans les yeux et s'inséra doucement en toi. Tu ne pus réprimer un cri de plaisir tellement la sensation était exquise. Il grogna de plaisir également et t'embrassa.
Il commença à bouger, lentement, et tu sentais les détails de son large sexe aller et venir sur les parois de ton vagin, te procurant des sensations indescriptibles dans tout ton corps. Il se détacha de ta bouche et descendit dans ton cou, haletant sous les effets du plaisir grandissant. Il augmenta légèrement la vitesse de ses mouvements, et tu te cambrai un peu plus pour qu'il aille plus loin, bougeant également ton bassin au rythme de ses mouvements.
Il planta son regard dans le tien et augmenta la cadence. Tu gémis plus fort.
« Tengen san, ah... Tengen san... » Voir ton visage déformé par le plaisir que te provoquait son sexe allant et venant en toi, tes joues rouges et ta bouche entrouverte, l'excitait au plus haut point, et il ne te quittait pas du regard. Haletant d'excitation, il passa sa main sur tes seins et remonta vers ton cou qu'il serra légèrement. Tu sentais les vagues de plaisir partir du plus profond de toi et augmenter un peu plus à chaque coup de rein. Ton clitoris cognait contre ses abdominaux saillants, et la sensation de son sexe frottant les parois et le fond de ton vagin, tu sentais que tu n'allais pas tenir très longtemps. Le plaisir se faisait de plus en plus intense. Uzui sentit que tu te raidissais un peu plus à chaque aller retour, et tes mains serraient fort les muscles de ses bras. Il accéléra et augmenta la puissance de ses mouvements. La sensation de plaisir explosa dans tout ton corps pendant que tu jouissais à pleine puissance. Tu eus à peine conscience que tu criais son nom, agitée de spasmes incontrôlables. Tu eus également à peine conscience que lui aussi jouissais, et tu n'entendis même pas son râle tandis qu'il se déversait en toi.
Quand ton orgasme fut terminé, tu rouvris les yeux, haletante, et regarda Uzui. Lui aussi haletait et te regardait. Tu te penchai pour l'embrasser, et il te rendit ton baiser avec passion, tandis qu'il se retirait de ton vagin. Votre baiser dura longtemps, et ses deux mains te caressaient tout le corps.
Épuisés, tu te rhabillai et t'apprêtai à aller prendre une douche avant d'aller te coucher.
Tengen San t'emmena dans sa chambre et, après la douche, tu t'endormis dans son lit.

One shot Uzui Tengen X ReaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant