One Shot ⛔ [Sukuna x Oc]

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-Oui. Je sais ça fait trèèèèèèèèèèèès longtemps que je n'ai rien posté... MAIS j'ai pas eu le temps puis j'ai oublié et après j'ai tout simplement eu la flemme parce que je n'avais pas d'inspiration. Cependant j'ai décidé de faire un chapitre 2 même ce n'était pas prévu à la base. Ne me demandez pas d'être régulière ce sera pas possible, je suis trop prise pour poster régulièrement. Bref cette note de l'auteur commence à durer donc je vous propose de reprendre notre récit 😏😏😏😏😏-

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Sukuna était encore coincé DANS Yuji et oui, cet emprisonnement s'éternisait trop à son goût. Surtout que le roi des fléaux n'avait toujours rien à faire à par attendre sa libération. Il n'avait rien d'autre à faire que ruminer ses souvenirs. 

Pour se détendre, il alla dans la source thermale présente dans son extension du territoire. La chaleur lui faisait du bien, il s'y allongea pour détendre tous les muscles de son corps musclé. Tout était calme, le bruit de l'eau qui s'écoulait et le silence de mort qui régnait habituellement ici. Puis il se redressa, s'asseyant dans l'eau. Il observait son reflet à la surface de l'eau. Et peu à peu, le roi des fléau se replongea dans ses souvenirs...

Début du flashback

Il y a fort longtemps, un jour de printemps où il était encore libre de ses mouvements et que les exorcistes lui foutaient la paix, Sukuna alla près d'une rivière pour profiter de la sérénité ambiante. Car oui, Sukuna avait beau être un fléau puissant et sanguinaire, il arrivait que parfois lui aussi ait besoin de se couper des bains de sang pour en apprécier d'avantage la cruauté. Et, dans ce genre de moments, il se rendait dans des endroits vides, abandonnés où le silence n'était jamais brisé, où la vermine humaine ne grouillait pas, où il pouvait enfin être seul avec ses pensées. Comme la rive sur laquelle il se trouvait actuellement. Il la remontait le long du lit de la rivière et inconsciemment ses pas le menèrent à un bâtiment abandonné. Ce n'était pas un simple bâtiment, mais une partie d'un immense palais laissé à l'abandon. Le seigneur fléau se dit que c'était l'endroit parfait pour être au calme. Or, ce n'était pas aussi agréable que prévu, pensait-il en se promenant à l'intérieur du bâtiment. Il y régnait une atmosphère poisseuse, lugubre et malsaine. Il ne faisait aucun doute qu'un fléau habitait ici et au vu de la tension qui l'entourait, ce n'était un faible fléau... Mais ça, il s'en foutait royalement bien sûr. C'était le roi des fléaux, pourquoi se sentirait-il menacé par un fléau plus faible que lui ? C'était le plus puissant en ces lieux et il comptait bien affirmer son autorité. Il cria à l'esprit vengeur de sortir de sa cachette et de venir l'affronter puisqu'il commençait sérieusement à l'ennuyer.

Sukuna s'attendait à tout. A un tas de graisse où dégoulinait du sang par les pores ; à un fléau n'était composé que de bouches ayant de grandes dents aiguisées, aussi tranchantes que des épées ; à un fléau si immense qu'il n'en verrait pas le sommet mais non. Ce qui sortit de l'ombre à cet instant fut bien pire que ce que à quoi il imaginait. Ce fut une jeune femme qui sortit, se dévoilant au souverain. Elle était parée de riches et beaux vêtements rouges et dorés. Ses cheveux étaient retenus par plusieurs ornements en or. De la tête au pieds, elle était somptueuse presque jalousée des favorites de l'empereur tant cette femme était envoûtante et magnifique. Il ricana en croyant qu'elle était suicidaire et que cette tenue était celle dans laquelle elle voulait en finir avec sa misérable vie puis il fut quelque peu surpris que la jeune femme n'ait vraisemblablement pas peur de lui. La seule chose qui semblait étrange fut la couleur ambrée de ses yeux. Des yeux d'or qui plongeaient dans le regard de feu, cruel et menaçant du roi. Mais il n'y prêta pas attention. Il ne voulait plus s'attarder ici, cette pathétique humaine ne l'intéressait pas et il ne gaspillerait pas son énergie pour la tuer lentement alors autant s'en débarrasser rapidement. Grave erreur... Car au moment même où ce dernier ferma les yeux pour rire à gorge déployée, imaginant l'expression de douleur et de larmes qu'allait faire l'humaine dans quelques minutes, celle-ci lui sourit. Mais pas un sourire chaleureux, rayonnant, plein de vie et de joie. Non... Ce fut un rictus des plus effroyable, un à faire pâlir un fléau de classe B. Son regard avait lui aussi changé, un mélange de provocation et de menace avait remplacé la mélancolie et la tristesse de ses yeux ambrés. Une grimace si effrayante qu'il n'était plus sûr que la chose qui se trouvait en face lui ne soit qu'une simple humaine. C'était impossible.