La redescente est bien plus agréable que l'a été la montée. Le soleil nous accompagne toute la journée, se cachant parfois derrière un petit nuage blanc. Au bout de quelques jours, il fait tellement chaud que tu en arrive à ne mettre qu'une petite jupe noire et un débardeur blanc. En début d'après-midi, ses rayons frappent si fort que nous devons faire des pauses à l'ombre. C'est justement un midi que notre parcours nous amène devant les ruines d'une église. L'intérieur y est poussiéreux mais frais. Les bancs retournés et les divers objets épars recouvrent le sol, des graffitis recouvrent certaines parties de murs, transformant cette pause en jeu d'exploration et d'habileté. Nous essayons de trouver un parcours qui nous enfonce dans ces décombres de vies passées, tout en essayant de reconstituer les différents événements qui ont mené à l'état actuel du lieu. Ta main dans la mienne, nous nous aidons à franchir les différents obstacles sur notre chemin, tantôt allongés sur un banc encore en état, puis accroupis pour passer sous un pupitre renversé. Nos histoires et théories sur le lieu deviennent rapidement absurdes". Tu trouves une simple chaise solitaire, toujours en bon état, contre un mur à l'autre bout de l'église. Je vois soudain dans tes yeux, la flamme des idées diaboliquement sexy s'éveiller.
"Tu vois cette chaise? C'est elle qui a démarré toute cette folie. C'est une chaise magique. Tant que tu es dessus, tout le monde autour de toi doit obéir à tes ordres sans discuter."
"Ah oui?"
Tu plonges ton regard dans le mien pour voir si j'ai bien compris ton insinuation, et c'est le cas.
On se met à courir à travers les décombres, cette fois-ci non plus main dans la main, mais au contraire à essayer de gêner l'autre dans sa progression. Après quelques secondes, essoufflé, je suis le premier à poser mon postérieur sur la chaise magique.
L'idée que désormais tu obéiras à la moindre de mes paroles fait déjà son effet dans mon pantalon.
"Et bien c'est le moment où je vais savourer ma victoire. Viens donc poser ton ventre sur mes genoux, l'heure de la fessée est arrivée"
Sans discuter tu viens te mettre en position. Je n'ai même pas à le demander : tu relève ta jupe, et baisse ton tanga au niveau de tes genoux pour m'exposer tes belles fesses rondes. Tu sais ce qui t'attends, et tu sais que tu l'appréciera autant que moi.
Le claquement résonne dans toute l'église délabrée.
"Compte" je t'ordonne
"Un" tu me réponds sans délai
Une deuxième fessée retentit sur tes fesses brunes et immédiatement j'entends un "Deux"
"Vraiment magique cette chaise"
"Trois, oui maître" après un troisième écho
Après la fessée, je laisse ma main se balader sur tes fesses et trouver le chemin de tes orifices. Ma deuxième main agrippe ton cou et l'enserre.
"Détends-toi" je te dis à voix basse, alors qu'un de mes doigts atteint l'entrée de ta fente, et qu'un autre vient se poser sur ton anus. Tes mains viennent écarter tes fesses pour que mes doigts s'insèrent plus facilement en toi: encore une marque que tu es la meilleure des soumises.
Je glisse un doigt dans chaque entrée et explore ton fort intérieur comme si je le découvrais pour la première fois. Mon érection, complète désormais, étouffe sous mon jean je dois sortir mes doigts de ton intimité pour éviter que la situation ne devienne encore plus confortable pour moi. Je me penche à ton oreille pour te donner un nouvel ordre
"A genoux. Suce-moi petite pute"
Immédiatement tu changes de position et obéis. A genoux devant moi, tu commences par me saisir le membre dans une main pendant que ta langue s'active sur mes couilles. Je me détends et m'installe confortablement, te laissant à ton œuvre. Rapidement ta langue vient glisser le long de ma verge alors que tes mains caressent mon paquet. La pression grandit dans ta bouche, jusqu'à ce qu'il n'y ai plus de place, alors je te demande de te relever.
"Et bien qu'est-ce que tu attends? Empale-toi."
Tes lèvres viennent se poser sur les miennes alors que mon érection pénètre ta rose, jusqu'à se loger profondément. Tu remontes sur ma queue, ce qui me donne un bel aperçu de ta petite poitrine à travers tes vêtements. Je te regarde droit dans les yeux alors que j'attrape ton téton et le pince. Aucune protestation. Cette obéissance et soumission ne fait que renforcer mon désir pour toi. Sentant l'orgasme s'approcher doucement, je t'indique que tu ne vas pas tarder à devoir descendre avaler le résultat de tes efforts.
Tu me glisses alors à l'oreille entre deux baisers
"Est-ce que j'ai le droit de changer d'entrée? Je voudrais bien sentir la soumission quand j'avalerai"
Je suis sûr que tu as dû sentir l'effet que ta phrase a provoqué entre mes jambes. A peine empalée entièrement sur ma queue, au moment où je sens ton anus serré autour de la base de mon érection, je sens l'orgasme arriver. Une grosse gifle accompagnant un "C'est le moment d'avaler tout, salope" te fait clairement passer le message.
À moitié sonnée par l'ordre soudain et la claque, tu obéis mécaniquement. Tu as tellement l'habitude de faire ce que je t'ordonne sans réfléchir, que ton corps se met en mouvement tout seul, et tes lèvres plongent sur mon membre dressé. Tes lèvres se referment autour de mon sexe alors que le feu d'artifice est déjà commencé. J'explose dans ta bouche alors que tu tente de continuer tant bien que mal les vas et viens avec tes lèvres. Une fois les joues pleines et les couilles vides, tu inclines ton visage vers le haut et tu ouvres la bouche pour que je puisse bien voir le résultat de tes efforts. Une ou deux zébrures blanches traversent la peau sombre de ton visage et viennent se perdre dans tes cheveux. Ma main vient se poser autour de ton cou: Tu connais la routine, je veux te sentir déglutir et avaler ma semence. Les yeux dans les yeux, tu avales tout ce que je viens de te cracher dans la bouche. Ta langue passe même récupérer ce qu'elle peut autour de tes lèvres pulpeuses avant que ta bouche ne se fende d'un sourire radieux. Sur un ton guilleret tu me dis:
"Putain là si je remet mon tanga il va rester collé. La gifle et les insultes, j'ai vraiment l'impression d'être ta pute, et ça m'excite terriblement. Que tu sois sur cette chaise ou pas, si tu me fous une gifle comme la dernière, je te préviens, je te suce direct"
"Si je t'en donne le droit"
"Bien entendu maître" tu me réponds après avoir déposé un baiser furtif sur mon érection encore toute dressée.
Je me relève enfin et tu en profite pour me voler ma place sur le siège et d'un air joueur tu le dis
"Je t'ordonne d'être mon maître et de m'utiliser pour te satisfaire. Tu peux passer par n'importe quel trou, et faire de moi ta chienne à n'importe quel moment."
Je viens te caresser la tête et te réponds :
"Sortons de cette endroit béni, nous sommes beaucoup trop corrompus par la luxure pour y être les bienvenus"
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Voyages Lemon
RomanceToi et moi pendant nos voyages, nous partageons des moments qu'aucun autre couple ne partage... Les aventures sexy d'un couple en voyage en Équateur. C'est une version romancée d'une suite d'histoires basées sur mes expériences passées. J'espère un...