Akil: À Lundi.Moi: Tu n'as rien oublier?
Lui: Non.
Moi: ok bye!
La porte vient tout juste de se refermer derrière lui, j'attends une bonne vingtaine de minutes avant de me lever et me précipiter dans sa chambre.
Il part en voyage d'affaire ce week-end je vais pouvoir fouiller dans sa chambre.
Muni de mon téléphone aka l'arme utlime, je pénètre dans sa chambre. Les volets étaient un peut fermés laissant passer que quelques rayons de soleil et ce n'était pas aéré, l'odeur du tabac et de l'herbe chatouillaient mes pauvres narines.
J'ai allumé la lumière et j'ai commencé à fouiner un peu partout. Les récoltes ont été bonnes, quelques photos par ci et par là dévoilants les stupéfiants qu'il avait. J'ai continué à fouiller car je n'avais pas trouvé ce que je cherchais et, j'ai fini par le trouver cacher au fond de ses affaires: le fameux petit flacon contenant le liquide qui m'a achevée.
Je l'ai également pris en photo et je suis sortie aussi discrètement que je suis entrée en veillant à ce que tout soit resté à sa place.
J'ai passé le reste de mon week end à élaborer mes plans pour les détruire.
Lundi soir:
Je préparais le dîner, Akil devait arriver d'une minute à l'autre.
Ce week-end était de tout repos, j'étais tranquille mais malheureusement ça n'a été que de courte durée.
Je coupais quelques légumes lorsque j'ai senti des mains se poser sur ma taille, je les reconnais parmi des milliers, ces mains dégoûtantes n'étaient autres que celle d'Akil.
J'étais tellement dans mes pensées que je ne l'ai pas entendue arriver, ça m'a surprise et j'ai sursauté.
Lui: Coucou princesse.
Moi: *me tourne face à lui* Ça va? Ça c'est bien passé ?
Lui: ouais...c'était un peu chiant.
Il me dépose un baiser sur les lèvres et je me détacher délicatement de lui et j'ai fait mine de faire la vaisselle.
Il me met une claque sur les fesses et pars se laver.
Dès qu'il a quitté la pièce, j'ai lâché ce que j'avais dans les mains et me suis appuyé sur l'évier manquant de tomber par terre.
Ma respiration et les battements de mon coeur étaient irréguliers. Je dois supporter, je suis obligée.
[...]
Quelques jours plus tard j'ai décidé de passer à l'action, je préparais le diner et j'ai attendu qu'Akil aille se laver pour mettre la drogue qu'il a utilisé sur moi dans son verre.
Ce soir là il était déjà défoncé, il a peut-être eu une mauvaise journée. Tant mieux ça m'aidera beaucoup.
Une fois à table j'engage la conversation:
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Naya : Il va me rendre folle
General Fiction- Je vais les détruire comme ils nous ont détruites. Sous les menaces du patron de mon père, je dois protéger ma famille en me mariant avec son fils, avec un homme que je connais à peine?... L'amour va-t-il venir après le mariage comme on dit? À qu...