Né dans un monde sans beauté
Ou chaque pas est cruauté
Les plaintes s'envolent vers les cieux
Elles ne peuvent pas faire mieux
Et avec ça la vie m'a appris
Que chaque pas coûtait son prix
Plus tu verses ton sang, moins tu restes absent
Moins tu donnes pour ce monde, plus les secondes se comptentC'est ici que j'ai grandi, c'est ici que je survis
En ce lieu où je suis né, où je vais finir ma vie
Pour un oui ou pour un non
Les balles sortent des canons
Si on ne fait pas assez attention
Par nous enterrer ils finiront
Et le sang continue de couler
Sur ces terres de cruautésTous les deux jours en garde-à-vue
Pourtant ces bâtards n'ont rien vu
Le prix d'une police corrompue
Payée par les gangs de la rue
La vie ici est comme l'enfer
Quoi que je fasse je perds
Le langage n'est qu'une autre de leurs armes
Pour nous dévorer notre âmeLa vie ne m'a pas épargné
Tous nos espoirs ont stagné
Perdus entre quatres murs délabrés
Ils ont fini de se lamenter
Et la colère refait surface
La rage s'insinue et nous embrasse
Le feu monte encore et encore
Pour saccager les rêves tellement plus fort
Le désespoir est sans fin
Là ou tout le monde reste avec la faimC'est ici que j'ai grandi, c'est ici que je survis
En ce lieu où je suis né, où je vais finir ma vie
Pour un oui ou pour un non
Les balles sortent des canons
Si on ne fait pas assez attention
Par nous enterrer ils finiront
Et le sang continue de couler
Sur ces terres de cruautésJ'ignore comment les nobles font
Pour survivre dans ces bas-fonds
Et malgré tout le monde continue de tourner
Rameutant encore plus de gens mal famés
Et malgré tout le monde continue de tourner
Et fais de moins en moins de quartiers
Plus personne ne prend en pitié
Tout ces gens bafoués
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Poèmes en vracs.
ŞiirJ'ai longtemps hésité avant de mettre mes poèmes ici, les trouvant médiocres, mais ma petite sœur à réussi à me convaincre. Je n'en posterais pas à rythme régulier, en faisant uniquement quand j'ai le temps et l'inspiration, mais dès qu'il y en aur...