OS (lemon kiribaku)

Petit citron

-Tu m'excite.
-Mec.
-Quoi encore ?
-Y'a le chien qui nous regarde.

Je me lève d'un bon et fais gentiment dégager le clebard hors de la chambre.

-Heureux ?
-On a failli la traumatiser la pauvre.
-C'est qu'un putin de clebs.
-Non, c'est lili !
-J'aurais jamais du accepter d'adopter un chien.
-Mais kat's elle est trop mignonne.
-C'est surtout un putin de tue l'amour.
-Mais je sais comment me rattraper chéri.
-Arrête de m'appeler comme ça.
-D'accord votre altesse.

Il se met assis à califourchon sur moi tout en rigolant. Cet enfoiré sait qu'il me domine totalement et ça le fais rire. Quel connard.

-Tu veux faire l'amour ?
-C'est quoi cette question de merde encore .
-Ou bien tu préfère qu'on baise ?
-L'amour ! Je taff demain moi !

Il rit de plus belle et enlève son tee-shirt ce qui le laisse une vue imprenable sur ses incroyables abdos et pectoraux. Ce mec est clairement bien foutu (note à part mais vous n'avez pas besoin d'être maigre ou musclé pour être bien foutu, la beauté c'est très subjectif).

-T'as fini de me mater ?
-Pas vraiment.
-Tu préfère pas toucher plutôt ?
-Et te faire ce plaisir ? Non merci.

J'aime l'emmerder, c'est vraiment l'une de mes plus grandes passion dans la vie. Sans que je ne m'y attende il retire mon tee-shirt d'un coup et commence à parsemer mon torse et ma poitrine de millier de baiser. L'ambiance chauffe bien plus vite que ce à quoi je ne m'attendais. Voilà à peine deux minutes que nous nous embrassons et nos pantalons sont déjà au sol ne laissant sur nos corps burulant de désir que des caleçons, plus ou moin esthétique au passage.

-Préli ?
-Bah oui connard.

Je sais, je suis trop gentil avec lui. Ça me perdra. Il retire mon caleçon et commence à me masturber d'abord lentement puis de plus en plus vite. Bien évidemment je ne reste pas inactif et j'attrape son entre jambe pour faire de même avec la sienne. Nos voix se mélangent dans une passion qui nous dévore. Le son primaire de nos actions font monter une tension sexuelle entre nous.

-On change de position ?

Il hocha la tête en haletant et m'allonge sous lui sur notre lit. Ses yeux me transpercent l'âme, j'ai l'impression d'être dans un mauvais feuilleton ceux dans lesquels on tombe amoureux de l'autre avant même d'apprendre son nom.
Sans plus de cérémonie il attrape mes hanches pour les rapprocher de lui. Il met un doigt, puis un deuxième mais puisqu'on l'a fait il y'a seulement quelques heures je lui fais signe que c'est inutile et que je suis fin près à le recevoir.  Il se m'embrasse avant de se reculer pour mettre un préservatif chose qui lui prend un peu de temps. Heureusement que je l'aime sinon ça m'aurait refroidi direct. Il se retourne et attrape mes jambes qu'il pose sur ses épaules, j'aime cette position et il le sait.

-C'est bon ?
-Ouais.

Il s'introduit doucement en moi, centimètre par centimètre jusqu'à être totalement à l'intérieur. J'ai l'impression d'être rempli et ce n'est pas une sensation des plus désagréable. Il commence des mouvement plus ou moin lent pour ne pas me faire mal mais ça ne me convient pas alors je lui fais signe qu'il peu y aller plus fort. Faire l'amour n'est pas une excuse pour être aussi lent qu'un paresseux.

-C'est mieux comme ça vitre altesse ?

Sans que je ne m'y attende cette enflure à accéléré d'un seul coup me provoquant quelques gémissements très peu masculin. Ses coups de butoirs viennent me perforer et cogner jusqu'au bout. Ma prostate n'est pas laissé sans reste, elle se faut carrément martyriser à vrai dire. Nous nous embrassons bien que la position dans laquelle nous sommes nous met quelques bâtons dans les roues. Au bout de quelques minutes monsieur vient dans la capote et me masturbe un peu pour que je ne sois pas laissé sans reste. Nous transpirons mais qu'est-ce qu'il est sexy comme ça. Il mattrrape par les épaules et me regarde l'air sérieux.

-Kat's.
-Oui ?
-Je t'aime.
-Moi aussi je m'aime.

704 mots.
Bon alors pour celui là je me suis senti obligé de faire cette vanne, désolé si elle n'est pas au goût de tout le monde.