Chapitre 13

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Cette voix, sa voix, en l'entendant j'ai sentis un frisson me parcourir tout le corps. Mais je décide de ne pas me retourner. De ne pas lui donner une once de mon attention pour lui. J'entends ces pas ce rapprocher de moi puis plus rien.

Mick : ont dois parler maintenant.

Je ne me retourne pas. Toujours sans lui donner mon attention.

Mick : j'aurais pas dû insisté ce matin. Je suis désolé. Mais...

Je me retourne pour lui faire face. Et voit dans c'est yeux remplis de tristesse. Je me sens coupable maintenant.

Léa : je suis désolé d'avoir été aussi injuste avec toi. J'aurais pas dû parler de ton père et encore m'énerver contre toi alors que tu étais juste gentille avec moi. Vraiment je suis désolé.

Mick s'approche doucement de moi et me prend dans c'est bras doucement puis place sa tête sur le sommet de ma tête.

Mick : on n'a tout les deux été bêtes. Je suis désolé.

Léa : ont devrait apprendre à parler tout les deux.

Mick : alors tu voudrais m'en parler de cette nuit.

Léa : je pense oui.

Après c'est quelque mots je suis rester dans ces bras puis est inspiré doucement. Je lui explique doucement ce qui met arrivé cette soirée.

Léa : je fais des crises d'angoisse parfois. Comme sa sans vrais raison. Quand je t'ai appeler je l'ai fait sens réfléchir enfaite. J'étais complètement ailleurs c'est mon cerveaux qui a tout décidée. Ta pas à t'inquiète pour sa je vais bien vraiment.

Mick : quand je suis parti tu as dit merci Antoine.

Léa : ho, hum tu sais Antoine étais une personne importante pour moi. Je, enfin, parfois sa m'arrive de penser à lui.

Mick : ok si tu veux en parler je suis là.

Léa : et toi tu veux en parler ?

Mick : c'est rien tu sais parfois je rêve de mon père. De pouvoir le retrouver comme avant.

Après c'est mots nous sommes restés dans les bras de l'un l'autres. Comme si de rien était la sensation d'être dans c'est bras et l'une des meilleures au monde. Je me rend compte que nôtre dispute était vraiment débile. Et je me suis emporté pour un rien.

Léa : je suis vraiment désolé d'avoir exploser sur toi ce matin.

Mick : arrête de t'excuser ! Dit-il en rigolant.

Léa : c'est ma phrase sa ! Mick ta pas le droit.

Mick : j'ai tout les droits ok je suis Mick Schumacher non ? Au faite ne refais plus jamais sa.

Léa : de quoi ?

Mick : de conduire comme Max, t'es pas Max t'es Léa Gasly. Tu m'as fais peurs, j'étais énervé contre toi mais tu m'as fais comprendre que je pouvait pas rester énervé contre toi je tiens trop à toi pour qu'il t'arrive quelque chose. Je l'aurais pas supporter.

Léa : je vais bien Mick ne t'inquiète pas !

Mick : oui mais si il t'étais arrivé un truc. Ont c'était disputé touts les deux puis fin je sais pas.

Léa : eh eh Mick arrête je suis la je suis en vie. Il c'est rien passé pendant la course.

Peut importe ce que je disais Mick ne se calmait pas alors je décide de me rapprocher de lui encore plus. Je place mes mais des deux côtés de sont visage et le caresse doucement avec mes pouce tout en essaye de le calmer comme je pouvais. Mais rien n'y fait impossible d'arrêter.

Je le regarde et ne sais pas quoi faire. Il ne se calme pas et continuer à parler en boucle d'un hypothétique accident que j'aurais eu si je continue à conduire comme je l'es fais aujourd'hui. Alors je décide de me rapprocher de lui et de poser délicatement mes lèvres sur sont front. Il me regarde et ne comprends pas je vois l'incompréhension dans sont regard.

Mick : euh merci ?

Léa : tu parler trop je savais pas quoi faire pour t'arrêter mini Schumi, et ne t'excuse pas

Mick : j'ai rien dit mini Gasly

Nous étions toujours proches et sa ne me déranger pas loins de là. Je me tourne dans c'est bras pour lui faire dos et regarder le coucher de soleil. Après 10 minutes nous décidons alors de rejoindre tout nos amis en bas de l'hôtel puisque ce soir ont manger dans le nôtre.

Le repas ce passe bien j'ai évité mon frère pendant ce dernier. J'ai vraiment aucune envie de lui parler. Je lui en veut pour toute à l'heure.
En sortant du restaurant mon frère m'attrape par le bras et me tire en arrière.

Léa : quoi !

Pierre : je voulait m'expliquer pour toute à l'heure, enfaite en ce moment c'est compliquer avec katerina. Et quand tu es arrivé comme une furie bas tout nous a interrompue en pleine dispute.

Léa : je suis désolé pour vous, c'est grave ?

Pierre : je sais pas enfin si je sais ce que je veut. Mais c'est compliqué. Je l'aime tu le sais mais parfois l'amour suffit pas. La distance ne nous convient plus et puis je me suis réinstallé en France elle, elle doit rester en Italie pour les études.

Léa : donc c'est fini ?

Pierre : je crois. Je vais la voir le week-end prochain puisque il n'y a pas de grand prix.

Pierre m'a raccompagné devant ma chambre avant de repartir pour la sienne. En arrivant dans ma chambre je part prendre une douche et en suite allez dans mon lit me reposer. La journée à été longue et épuisante. Demain je rentre chez moi pour une semaine de pause. Puis après ont enchaîne avec 3 grands prix et sa seras là pause estivale avant de reprendre les courses. La saison passe à une vitesse folle mais je suis déçu de ne pas avoir fait de podium encore. Mais la saison n'est pas fini.

Un amour à toute vitesse-Co écriture Où les histoires vivent. Découvrez maintenant