Beaucoup de gens souhaitent voler. Niveau physique, ils aimeraient avoir des ailes ou bien, simplement enfourcher un balai comme à Poudlard.
Hélas, on n'obtient pas toujours ce qu'on imagine...
C'est sûrement ce que disent les deux dokushas, entrain de se balancer au dessus du sol, maintenus par deux clowns du désespoir, n'est-ce pas ?
Car sans même voir quoique ce soit passer, vous finissez dans une autre salle, à la portée de ce théâtre des ombres :
Vous atterissez dans une cellule, lâchés par ces bouffons.
Froide, putride, et horrible.
"- Mais qu'est-ce qui vient juste de se passer !?" T'exclames-tu, lorsque tu réalises que tu es de nouveau à terre.
Tu regardes la cellule, et la grande porte funestre qui s'en ferme. C'est incroyable, on dirait une cage à chien, mais pour humains.
"- Dokusha-Chan... On a perdu le gamin..." Murmura Dokun, sa voix frôlant la fébrilité.
"- Kookto !"
Ton cœur se fendit plus à l'idée de ce qui pourrait lui arriver, qu'à votre situation déplorable.
Tu t'approchas des grilles.
Pour une cellule, les barrières étaient plutôt distancées, mais pas assez pour que ni toi, ni Baptiste, ne puissiez passer outre.
"- Est-ce que.. est-ce que t'as encore ton couteau de la trahison ou.. je ne sais plus quoi ?" Demandas-tu, te disant que ça pourrait peut-être avoir une quelconque utilité.
Mais, tristement, Dokun hocha la tête négativement, morne.
Tu soupiras gravement, ton expiration tremblant légèrement pendant ce temps-là.
Mille et une pensées venaient engourdir ta tête, alors que tu étais tiraillée entre la recherche d'une solution, et l'imagination de ce qui pourrait arriver par la suite.
Ce n'est qu'au bout de 15 longues minutes, dans un endroit sans horloge, que tu te consentis à laisser tomber... pour le moment.
Et ainsi, tu allas t'asseoir aux cotés de Dokun, qui était assis depuis longtemps.
Ton esprit vagabonda sur ton précieux et adoré Kokichi Ôma. Le vrai, pas Kokevil.
"- ... T'as déjà été amoureux ?" Demandas-tu soudainement à Dokusha-Kun.
Ce dernier fut surpris de ta question, car tu le sens se raidir et se redresser.
Dans la cellule tombant de crépitude, il y avait un petit coin avec de l'herbe. Dokun s'amusa à en tirer des bouts, et jouer avec.
"- Non, jamais. De toute façon, l'amour est synonyme de douleur."
"- Sûrement mais... Que veux-tu dire ?" Demandas-tu, cherchant à connaître son opinion.
Il ne répondit rien, tournant simplement la tête et tu ne le forças pas à continuer.
Tu posas juste ta main sur son épaule en guise de soutien, et maintenu l'inconfortable silence.
"- Tu crois qu'on va se faire couper la tête ?" Demandes-tu soudainement, te disant que le 'roi de cartes' rimait avec Alice au pays des merveilles... ou de la folie.
"- J'espère..." Marmonna Dokun.
{Ellipse}
Finalement, vous vous étiez endormis. Pas que vous n'aviez pas beaucoup de conversation, mais surtout que vous n'en aviez plus beaucoup la force.
VOUS LISEZ
Kᴏᴋɪᴄʜɪ×Rᴇᴀᴅᴇʀ 2°
Fiksi Penggemar[TOME 2] Code: (T/P)=Ton prénom (T/S)=Ton surnom (T/N)=Ton nom (C/T/P)=Couleur de Ta Peau (C/C)=Ta couleur de cheveux (L/C)=Ta longueur de cheveux (C/Y)=Ta couleur de yeux (C/P)=Ta couleur préférée (C/P/2)=Ta deuxième couleur préférée (M/P)=Musiqu...
