Echange de récit érotique entre deux amis

Dimanche, 05h40, je suis saoul

Je te rejoins dans ton sommeil. Tu es restée dormir ce soir-là parce que tu étais fatiguée. Tu m'as laissé les clés, je rentre donc en essayant de faire le moins de bruit possible. Je me déshabille en te regardant dormir comme un ange. Je me glisse en caleçon sous le drap, et me serre pour tenir dans ton petit lit. Tu sembles dormir profondément et je ne veux pas te réveiller. Mais alors que je me colle doucement contre toi, tu sors de ton sommeil. Je suis alors en grande cuillère contre toi. Je te touche dans ton entièreté, toi qui dors seulement avec ton short. Tu n'as pas l'air de vouloir te rendormir. On échange quelques mots et c'est rapidement que mes mains viennent te tenir compagnie. D'abord innocemment, puis elle commence à explorer ton corps doucement. Elles passent sur ta poitrine que j'aime tant, et continuent leur chemin. Je peux sentir que tu es entre sommeil et éveil, mais tu apprécies ce qu'il se passe. Je continue donc mon chemin et descends petit à petit sur tes hanches. En guise d'approbation tu rapproches ton bassin du mien et tu viens sentir mon érection naissante. Je passe alors ma main dans ton short, et, délicatement, viens poser ma main sur la totalité de ton sexe. L'intimité commence à faire place à l'envie. Je te caresse pendant une dizaine de minutes, prenant le temps de faire monter l'envie. Je titille ton clitoris, et quand je sens que tu commences à me désirer, j'insère un puis deux doigts en toi. Nous sommes toujours aussi serrés, dans le noir, sans dire un mot, mais les battements s'accélèrent. Je libère mon sexe de mon caleçon et le positionne contre le tien. Un long moment se passe juste à se frotter l'un contre l'autre tandis que ma main gauche continue ses excursions. Tu es toujours entre le rêve et le réveil quand je te pénètre doucement. Le sentiment de plénitude te conquis alors. Je t'entoure de mes bras et commence les mouvements de bassin tandis que tu n'as toujours pas ouvert les yeux. Au milieu de la nuit calme je devine un petit râle de soulagement et de plaisir.
Je décide alors d'accélérer graduellement le rythme tout en activant ma main. Hormis ton envie, ta seule réaction est de tourner ta tête pour m'embrasser.

J'ai tes deux seins en main et titille tes tétons désormais tout durs pendant que nos bassins commencent à s'agiter. Tu me dis que tu ne regrettes définitivement pas d'avoir choisi de passer l'été avec moi et je te réponds avec un suçon dans le cou.

J'accélère le mouvement sentant que ce réveil improbable commence à faire effet. C'est alors que, tout en gardant le même rythme constant, je sens te tendre, ta respiration se couper et je ne t'entends plus pendant plusieurs secondes.

Finalement, tu expires doucement, exaltant de plaisir. Tu m'embrasses et me dit bonne nuit. De mon côté je suis comblé, j'ai pris du plaisir et avant tout j'ai pu t'observer en prendre. Nous nous endormons dans la même position, alors même que je suis toujours en toi. Tu continues ta nuit comme si rien ne s'était passé et demain nous nous réveillerons en nous rappelant que tout ça n'était que fiction et que 5000 kilomètres séparent nos deux corps.