Le vice humains

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Malgré mon hypersensibilité envers tous types de violences et en particulier celle réalisé sur les animaux, j'ai toujours eu cette faculté à comprendre la source de folie qui mène à des actes terribles. Selon moi, même l'être le plus pure,aimant et aimé de cette terre peut, en une fraction de seconde, commettre l'irréparable. Lorsque les remords apparaissent par la suite et que l'acte est présenté comme étant totalement impulsif j'estime qu'il est pardonnable, ou du moins entendable. La punition doit être appliqué bien sur mais l'humain n'est pas fou, l'humain à simplement connu un moment de folie. Cette nuance est importante. Ce qu'il faut comprendre c'est que ce n'est pas une question d'éducation, de tempérament ou encore d'événements marquant d'une vie. Un enfant battu ne tuera pas forcément un innocent plus tard. Tout est une question d'alignement, le mauvais moment avec la mauvaise personne et le cerveau vrille. Un simple élément insignifiant peut engendrer un comportement inadéquat. Un odeur particulière, une pièce oppressante, un geste de trop.... L'homme à forcément du vice puisqu'il est passionné. Le terme de passion s'associe forcément à la notion d'extrême. L'extrême positif comme l'extrême négatifs, l'un dans l'autre peuvent entraîner des comportements néfastes mais profondement honnête et fruste. Chaqun à son échelle de folie ou de passion évidemment mais néanmoins l'homme est égoïste à un moment où à un autre de sa vie ainsi nous savons d'avance qu' il n'est pas parfait. Il a du vice. Les bonne mœurs et la bienséance que nous cultivé la société nous permets de convaincre les autres et de se convaincre soi même de sa bonté et de son côté très lisse. Néanmoins, c'est parfois des sentiments primitifs qui parlent.
Cette réflexion je l'ai eu en regardant une émission sur des femmes en prison. Des femmes dites dangereuse emprisonné pour des années, pour assassinats ou complicité d'assassinat principalement.
J'ai compris que dans chaque situation ça n'a été qu'un dérapage qui n'aurait jamais dû se produire. Tuer n'était pas un besoin malsain mais un besoin de protection. Face à la menace l'individu peut avoir des réactions complètement inexplicable. Dans 1% des cas, c'est la mort ou l'envie de donner la mort.

C'est aussi ce reportage qui m'a poussé à me pencher sur les sereal Keller. Leurs motivations est différente puisqu'elle correspond à un disfonctionnement cérébrale lié à une lésion au niveau d'un des deux ancephales.

C'est en fouillant les archives de ma grands mères passionné par les affaires des années 40 à 80 et répertoriant les crimes de Bonhomme complètement timbré tel que ted Bundy, Richard chose ou encore "le tueur des sentiers" signé Carpenter que j'ai devellope une véritable lubi pour ces histoires. Il y a un côté assez malsain dans l'intérêt que je porte à ses monsieur. Dans un premier temps leurs actes me dégoûtent et m'affole. Pourtant par la suite je m'arrange pour récupérer toujours plus de détails sordide, de photos explicites ou encore la connaissance de nouvelle pratiques vicaire. La curiosité. C'est le mot que je pose naïvement sur mon état.

La Psycjologie A Deux BallesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant