blasé, lassé de tout ce bordel qui ne cesse de se compliquer. Et pourtant, crois moi, la solution, je l'ai toujours cherché, Qui tape un point de sacrifier. Alors pourquoi? Pourquoi J'ai peur, Pourquoi j'ai mal, pourquoi j'ai l'impression de ne jamais m'en sortir au final?
Pourquoi je suis le mouvement dans cette roue infernale et pourquoi parfois, je n'arrive pas à m'empêcher de devenir un beau connard irritable.
On m'a dit qu'on se pose tous un jour ou l'autre, que c'est dans notre nature. Quatre toujours heureux est utopique, qu'on préfère la paix
. La polémique attend juste un déclic.
Pourquoi on a voulu me l'enlever?
Pourquoi la vie sur cette personne s'est elle acharnée?
Tant de questions sans réponse. Juste apprendre à grandir avec ça et se contenter de ce cas doit m'apporter.
Bref, chronique d'un garçon bien moins sache qu'il n'y paraissait.
Tu sais, j'ai une image, je me cache derrière elle pour faire perdurer le mythe de la personne irréprochable.
Mais le soir, quand je me retrouve seul mois, c'est à quel point les remords.
Mais rongé à quel point je me trouve pitoyable.
On a déjà joué avec moi et j'ai déjà cherché à me guérir avec une autre personne sachant inévitablement que ça ne marcherait pas.
Attachement actif du détachement plutôt vif, c'est définitif Coeur de retour à l'état primitif, incapable de ressentir quelque chose qui est égal et mes sentiments d'avant.
J'ai essayé de me soigner.
Mais comment guérir si on change constamment de médicaments? C'est navrant.
Bref, depuis, j'ai ce soir où je me sens un peu vide.
Je réfléchis à ce que je veux faire dans ma vie qui vaudrait la peine d'être raconté.
Je suis un peu perdue dans mon avenir.
Je veux marquer les esprits mais en ai-je vraiment les capacités.
Sinon, pour changer un peu, je ressasse mes souvenirs du passé.
Cette putain nostalgique, toute ma vie sera sûrement très bien m'accompagner.
J'en ai fait des cauchemars.
J'en ai transpirer comme mon cerveau à mon insu me faisait imaginer.
Le pire des cas désespérés me faisait imaginer qu'il partait celui à qui je devais tout celui qui m'a construit. Il m'a fait confiance à m'en faire développer des atouts.
C'est la loterie de la vie qui m'attirait, qui m'a tiré une balle dans le crane incrusté pour que jamais je ne puisse l'oublier Plus tard dans la nuit, je me sens comme abandonné, comme si tout ce que j'avais fait jusqu'ici n'avait jamais compté.
Comme si mes réussites avaient été raflés, ne laissant devant les échecs dont je ne cesse de me souvenir en cette nuit étoilée, une étoile file un astre, une lumière, un espoir.
Mais j'ai appris avec Le temps qu'il est est tout simplement illusoire.
Je les regarde souvent et ça me fait penser à toi, à tous ces souvenirs qui sont partis en éclats.
Je sais pas si tu te rappelles encore, mais on avait l'habitude de les regarder.
On était un peu bizarre ensemble, mais c'est ce qui faisait notre relation, son charme.