𝗦𝗞𝗬𝗙𝗔𝗟𝗟- 𝘁𝗵𝗲𝗼 𝗵𝗲𝗿𝗻𝗮𝗻𝗱𝗲𝘇 𝗲 𝘇𝗼𝗲 𝗰𝗿𝗶𝘀𝘁𝗼𝗳𝗼𝗹𝗶.

𝗰𝗮𝗽𝗶𝘁𝗼𝗹𝗼 𝗱𝗶𝗲𝗰𝗶

Love in the dark-

"You have given me something I can't live without
Tu m'as donné quelque chose, je ne peux pas vivre sans
You mustn't underestimate that when you are in doubt
Ne sous-estime pas ça quand tu doutes
But I don't want to carry on like everything is fine
Mais je ne veux pas continuer à prétendre que tout va bien
The longer we ignore it all the more that we will fight
Plus on l'ignore, plus on devra se battre
Please don't fall apart
Je t'en prie, ne t'effondre pas
I can't face your breaking heart
Je ne peux pas supporter de te briser le cœur
I'm trying to be brave
J'essaye d'être courageuse
Stop asking me to stay
Arrête de me demander de rester"

✰✰✰

-Tu m'as jamais dit qui était Violette. Zoé passait son doigts sur l'avant bras du numéro dix-neuf, retraçant son tatouage.

Ils avaient passé la matiné à jouais à ce petit jeu, chacun son tour, ils devaient donné la signification d'un de leurs tatouages.

-C'est ma petite cousine, il souriait, je la considère comme ma petite sœur. Il se tournait pour être face à sa belle et posait sa tête sur le buste de cette dernière.

-Pourquoi une rose ? Elle toucha avec la pulpe de son index la main droite de son amant.

-Je croyais que c'était chacun son tour hermosa. Il riait légèrement tandis que sa blonde passait ses mains dans ses cheveux pour les caresser. C'est par rapport à la couleur.

-Comment ça ? Elle le regardait intriguait.

-Le rose est l'image du rêve, et du bonheur, quand j'ai signé mon premier contrat pro, ma grand-mère m'a offert un bouquet de rose rose qui venait de son jardin, elle aime beaucoup jardinier et apporte beaucoup d'importance à la signification des choses. C'est elle qui me l'a expliqué, pour m'en rappeler toute ma vie, je me suis tatoué une rose. Elle hochait la tête.

Il inspectait les avant bras et les épaules de sa belle avant de jeter son dévolu sur un tatouage qui l'intriguait pas mal.

-Pourquoi dix-sept ? Il laissait glissé son doigt au niveau du chiffre situé à la naissance des seins de la jeune femme.

Elle fermait les yeux, elle s'y attendait un peu à cette question. Ce tatouage était particulier pour elle.

-VIXI.

-Hein ? Il la regardait curieusement.

-Ici, en Italie, le dix-sept porte malheur, en chiffre romain, il s'écrit XVII, c'est l'anagramme de VIXI.

-Et ça veut dire quoi ? il continuait de caresser ce fameux chiffre, faisant frissonner l'italienne.

-C'est du latin, ça veut dire "j'ai vécu", autrement dit, "je suis mort". Elle souriait faiblement.

Il essuyait la larme solitaire qui coulait sur la joue de son amante avec son pouce avant d'embrasser délicatement ses lèvres, puis sa mâchoire, son cou et finit son chemin jusqu'à ce tatouage si symbolique pour elle, qu'il embrassa à son tour.

•••

-Donc pendant que moi je travaille toi tu vas faire la pute chez un putain de footballeur?

Giovanni avait appris la liaison qu'entretenait sa copine avec Théo durant le mois de décembre, juste après les fêtes de fin d'année.

-Non mais je rêve, t'as toujours pas compris que tu m'apprenais ? T'es à moi Zoé ! Il l'a pris par sa queue de cheval avant de la traînait avec force jusqu'à leur chambre.

-On va voir si tu cries autant quand c'est moi qui te baises salement p'tite salope.

-Non, s'il te plait... Avait-elle réussit à murmurer.

-Ta gueule ! Il enleva sa ceinture de son jean, et commença à fouetter sa compagne avec. Les bras, les jambes, le ventre, le dos, tout y était passé.

Elle avait dans un premier temps essayé de se débattre, elle a voulu s'échapper, quand elle comprit que c'était une cause perdue, elle avait finalement opté pour ne rien faire, elle le laissa se défouler sur elle, elle pleurait, attendant patiemment que ça se finisse.

-Dis-lui que c'est fini entre vous. Il lui jeta son téléphone à la figure. Dis lui, ou sinon je m'occupe aussi de lui. Et ça sera vite fait, une balle entre les deux yeux et le tour est joué.

Recroquevillée sur elle-même, le corps rempli d'égratignures et de plaies saignantes, elle envoya un message au seul homme qui avait su la rendre heureuse. L'homme dont elle était amoureuse.

"On ne peut pas continuer comme ça.

Nous deux, c'est fini"

Elle n'avait jamais autant souffert que quand elle avait appuyé sur le bouton "envoyer".