Moi Noham , j'aimerais me définir.

Moi, Noham.

Moi Noham , j'aimerais me définir.

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Pdv Noham :

Une nouvelle année encore dans le même bahut, la Belgique toujours fidèle à elle même. Temps de merde, pluit, drache, soleil, puis un arc-en-ciel. En ce beau mois de septembre annonce la rentrée des classes, le 5 septembre je rentre à ma cinquieme secondaire. J'ai 17 ans annoncement proche de la majorité l'an prochain. Je suis un homme tout de même, bien que je dois avouer avec honte, que je ne me suis jamais mis en couple. Je sais comment ça fonctionne, j'ai vue des amis, s'aimer, se détester, s'aimer à nouveau, puis se quitter, ainsi de suite. Je suis un jeune plutôt grand, je fais 1m82, j'en suis assez fière, j'étais petit et fêles quand j'étais jeune. Les années m'ont bien gâter, j'en remercie le ciel nuageux.

J'arrête de rêvasser, me sortant enfin de la maison. La temps s'annonçait dégueulasse depuis ma fenêtre, mais comme je l'ai dis je suis belge ne jamais ce méfié de ce que je vois. Dans le miroir tout en me brossent les dents, j'admire mon reflet, mes cheveux châtains sont en bataille, mes yeux bleu, assortie à mes cernes, et ma peau toujours aussi peau, l'été je devrais plus pensé à sortir cas joué toute la journée sur ma play.

Je me douche assez rapidement, devant mon placard, je ne fis pas attention, chopant mon pull champion, un jean bleu marine à trou. Ça semblait juste correct avec mes converses de la même couleurs que mon jeans. Le Déjeuné été sur la table, à mon entrée dans la cuisine maman étant déjà partie.

En dernier minutes, un toast dans la bouche, j'enfile mon manteau. Mon sac pris au volant ainsi que mes clés je claque la porte diriction ma nouvelle année. Écouteur aux oreilles sur le chemin que je prenais à pied, il y avait le bus mais impossible pour moi. Je ne suis pas un lève tôt, je me leverais qu'à 7h30 pour toi école, désolé si tu le prends si mal.

J'écouter ma musique préféré d'Ariana Grande, quand je compris que j'avais franchis la ligne. Tu sais cette ligne de l'enfer ? Tout le monde, te regarde car tu l'a franchis. Vraiment les nouveaux psychologiquement sont pas près à être détails par les yeux jugueur des anciens élèves. J'exagère peut-être... Car j'ai cette impression chaque Année, j'ai effectivement pas la conscience tranquille.

Les jambes tremblante, ma main serrant mon sac à dos pendant sur mon épaule, je décide de m'avancer plus vers l'enfer. Je soupir comme prévue rien ne ce passe, car bien évidemment, aucunes mains sortant du sol m'aurait traîner sous terre, suis-je un idiot ?

Encore dans mes pensées je ne sentais pas toute de suite la présence dans ma dos. Car de ce que je sache, je ne procéde aucunement de troisième, disposé derrière ma tête. Un bras m'entoure les épaules, tandis que mon corps chute vers le sol, mais je garde tout de même un certain équilibre pour ne pas tombé, la personne me lâche enfin.

-- tu ne dis plus bonjours, à ta super meilleure amie Kamélia ?

Elle s'est Kamélia Goma, ma meilleure amie depuis quelques années maintenant. Elle est belge avec des origines congalaise, je ne l'est pas connue depuis la naissance ou une ânerie du genre. Madame était au Congo, pendant que je naissais dans ce Pays aux quatre saison. Je soupir intérieurement à cela.

-- désolé majesté.

-- je t'excuse pour cette fois monsieur. Vraiment, toi et la sociabilité zéro.

Elle me dévisagea avec ses magnifique yeux bleu gris, qui était contraste avec ses cheveux châtain crépus, et sa peau brune, son petit nez se plissa quand elle sentit que je la regardé un peu trop.

-- Noham, je sais que je suis belle. Mais j'aime les belle filles, pas les beau garçons dans ton genre.

-- ce n'est pas ce que tu crois.

-- je crois, ce que j'ai envie de croire.

-- et puis tu es trop petite a mon goût.

-- euuhm ?! Paardoon ? J'ai cru mal entendre 1m56 ce n'est pas petit ! Monsieur 1m82 ! Toi t'es une girafe. Non mais oh ! Je vais te taper.

-- c'est bon, c'est bon, arrête de sauté pour essayé de me taper on nous regardent.

-- ouais, oh sinan ta vue ! C'est frite au midi.

-- Waw si enthousiaste pour si peu.

-- on ne plaisante pas avec les frites Noham.

Je lui fis signe de tête, et enfin nous entamons ce premier jour de cours.

À suivre.....