🌺Il existe un monde où tout est possible, un monde où la magie est banale, où les animaux parlent, où les adolescents sont des tueurs...
Mais est-ce qu'il existe un monde où TU peux les côtoyer ?
Bienvenu dans ce livre de One-shot spécial Manga x O...
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Hello! Nous y voilà, le 20eme chapitre, déjà ! J'espère qu'il vous plaira, j'ai carrément eu un coup de foudre pour Izuki alors, je me devais d'écrire sur lui !
Il faut dire qu'on a le même '' humour ''... J'espère que vous allez réussir à comprendre la subtilité désespérante de mes jeux de mots... Lewl. Bisouuuus
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- Hm… allo ?
- … T/p ? Pourquoi c’est toi qui répond ? Et ne me dis pas que tu es encore au lit ?!
- Riko… il est quelle heure ?
- 11h. Dis moi, tu es avec Izuki ?
Toujours les yeux clos, la gorge enrouée et la tête chauffant à bloque, tu te demandait bien pourquoi ta meilleure amie te posait cette question.
- Non, pourquoi ?
- Bah… c’est son téléphone, non ?
- … merde, j’ai du inverser à la soirée de Kagami… on a les même.
- Hm. Peu importe, bouge toi ou je viens. Et si tu croise Izuki, dis-lui de se ramener illico !
- Oui, chef !
Tu lâcha '' son'' téléphone en même temps qu’un soupire et t’étira avant de rouler sur le côté sur ton matelas. Enfin, tu tenta de le faire. Parce qu’en réalité, tu rencontra une masse brûlante sur laquelle ta main se posa.
Malheureusement, ton mal de crâne était bien trop fort pour te laisser ouvrir tes yeux t/c tranquillement. Mais tu y parvint.
Et ils tombèrent directement sur le visage blême de ton voisin d’en face.
- Shun ? Tu articula.
Il ne répondit pas de suite, déglutit avec difficulté et son visage devint soudainement rouge pivoine quand ta jambe frôla la sienne.
D’ailleurs, ton cœur manqua un battement. Parce que tu venais te rendre compte d’une chose improbable : il était nu, et toi aussi.
- Que… tu commença avant de t’assoir, la couette sur la poitrine.
Un regard dans ta chambre suffit à comprendre, en même temps il ne fallait pas être idiot… vos vêtements jonchaient le sol et dans ta corbeille dormaient non pas une, ni deux mais bien trois capotes usagées.
- C’est pas vrai…dis-tu péniblement.
Ta main se porta sur ton crâne qui tapait trop fort, tu n’arrivais pas à te souvenir des deniers événements de la veille après 23h passées, en faite juste après t’être enfilée 1 mètre de shooter avec les membres de l’équipe de Seirin dont tu étais la manager.
